SORTEZ DE BABYLONE,
MON PEUPLE !
(Apocalypse 18. 4)
Ou
La communion spirituelle avec
le Diable
©Dewis Goubié
HILLAH
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réservés pour tous pays. Ne sont autorisées que les copies à usage privé
C'est le temps de la fin ; c’est le temps de
l’apostasie (2 Timothée 3. 1-5). L’Église, conformément à la
prophétie de Daniel 12. 9, 10, a une compréhension plus grande de la prophétie
biblique. Elle a à sa disposition les travaux de recherche en histoire, en
archéologie, en géographie, en astronomie, en biologie, en linguistique, . . .
Toutes
ces sciences, loin de contredire la Bible, loin de l’affaiblir, prouvent au
contraire surabondamment qu’elle est exacte, exceptionnellement vraie, divine
et révélée. Et pourtant, très peu la mettent en application ;
l’incrédulité gagne du terrain ; l’impiété aussi. Le péché sexuel se
répand comme une puissante peste. Le sexe est légalisé, démocratisé,
vulgarisé : le monde entier rend un culte, sous la direction des Nations
Unies, au condom, le fameux préservatif et au travers du préservatif au
phallus, l’organe mâle dont les représentations trônent avec orgueil comme
c’est le cas chez certains peuples païens. On partage le préservatif à tour de
bras. On l’impose à tous au nom de la lutte contre la pandémie du SIDA. On en
distribue aux collégiens d’Afrique. On en vend à presque tous les coins de
rue : dans les bars, les restaurants, les magasins, au marché et dans les pharmacies bien sûr. Partout
où cela est possible, on met à la disposition de tous le sexe sans ‘’risque.’’
L’avortement est toléré, légalisé voire encouragé au nom de la limitation des
naissances. On s’organise internationalement pour contrôler la ‘’prolificité’’
des nations pauvres, des peuples du tiers monde. On ligature des trompes, on enlève
des utérus, on place des corps étrangers dans l’appareil génital de la femme,
on l’oblige à avaler des poisons, au nom de la lutte contre la surpopulation en
application des thèses de Malthus. On s’attaque aussi à la fécondité de l’homme
en sectionnant ses canaux spermatiques. C’est abominable. Et dire que c’est à
des créatures de Dieu qu’on fait toutes ces choses.
Dans les pays dits développés, la maman peut, après
accouchement, abandonner son bébé et interdire qu’on révèle à l’enfant plus tard
l’identité de sa mère : c’est l’accouchement sous X. Les
homosexuels qui, dans l’Ancien Testament, étaient sans pitié tués, proclament à
la face du monde leur folie. Ils réclament le mariage et les mêmes droits que
les couples normaux, ils réclament le droit d’adopter des enfants. Pour ce
faire, ils organisent des marches dans les rues des capitales européennes au nom
de la démocratie. La saleté sexuelle est partout présente. Les pires
abominations sexuelles sont commises même dans le cadre du mariage légal. Des
âmes « bien pensantes » luttent pour la dépénalisation de la drogue et de l'inceste.
Tout cela prouve que l’antéchrist est véritablement à
l’œuvre. Presque plus rien n’est fait au nom de Dieu, ou plus simplement
au nom de la morale. Et dans cet océan de déchéance morale, de misère
spirituelle, de nombreuses dénominations vaincues par les esprits au service de
l’antéchrist s’en vont en captivité à Babylone. Malgré la connaissance qu’elles
ont, elles s’associent avec le catholicisme, la grande prostituée, la grande
magicienne, dans des regroupements tels que le Conseil Œcuménique des Églises,
l’Alliance Biblique Universelle . . . parce qu’elles ont perdu la foi en
l’entière inspiration de la Bible, parce qu’elles ont perdu surtout la foi
en la rigueur de Dieu à punir le péché. Le diable a fait croire à de nombreux
chrétiens que Dieu est devenu indulgent et très compréhensif à l’égard du
péché ; et comme preuve, il pose leur regard sur d’authentiques pécheurs,
de faux apôtres qui opèrent des miracles au nom de Jésus-Christ (Matthieu
7. 21, 23 ; Matthieu 24. 23, 24).
Tout cela trouble les chrétiens mal affermis dont les
cœurs sont remplis de convoitises, de mondanité, d’envies, d’orgueil et de
l’amour de l’argent qui conduisent loin de la foi (1 Timothée 6. 10). Aussi vont-ils s’agglutiner comme des
mouches dans des sectes dites chrétiennes afin d’entendre des choses
mielleuses, des choses agréables (2 Timothée 4. 3, 4) qui les
rassurent, les confortent dans leurs péchés, dans leurs folies, dans leurs
mauvaises voies. Ils parlent de foi mais n’en ont pas ; ils parlent de
prospérité mais ils la confondent avec les possessions matérielles.
En vérité, en vérité, bien que continuant à appeler le
nom de Jésus, ils ont fait naufrage par rapport à la foi, ils ne sont plus dans
la foi (2 Corinthiens 13. 5). Cette situation, cette manière
d’adorer n’est pas du christianisme ; elle est très loin de l’enseignement
du Christ. Malheureusement, c’est elle qui se généralise de plus en plus. Il y a
de moins en moins d’agneaux, et de plus en plus de loups ; il y a de moins
en moins de saints, et de plus en plus de pécheurs impénitents dans les
assemblées chrétiennes. « Mais, quand le Fils de l’homme viendra,
trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
Bientôt l’enlèvement ; que chacun veille sur sa
foi chrétienne comme une vierge sage. Éloignons-nous de toute souillure, de
tout péché et surtout de toute relation avec les mauvaises religions, en
particulier avec le catholicisme romain. Ne touchons plus à rien lui
appartenant, à rien qui soit en contact avec lui. Fuyons ses manifestations,
ses cérémonies, ses œuvres de charité, car tout ce qu’il touche est en
abomination au Seigneur (Apocalypse 18).
Méfions-nous
aussi des organismes nationaux et internationaux qui collaborent avec lui.
Agissons comme aurait agi notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ. Le catholicisme
romain est arrivé au faîte de sa puissance, il est arrivé au sommet de sa
gloire. À coup de meurtres, de calomnies, de désinformation et de séduction, il
est parvenu à asseoir son autorité sur des peuples, des nations et des foules
ignorantes (Apocalypse 17. 15, 16) qu’il conduit
paisiblement à la perdition éternelle.
Petit à petit, après l’union politique, l’union des
religions est en train de se réaliser. Seul un résidu, un faible reste de
l’Église de Dieu résiste encore. Ces fidèles d’entre les serviteurs de Dieu, à
l’image des sept mille qui n’ont pas fléchi les genoux devant Baal (1
Rois 19. 18 ; Romains 11. 2-5), continueront de combattre le
royaume du diable, l’antéchrist, son vicaire et Babylone la grande.
Quelle que soit l’issue de la lutte, quel que soit ce
qui arrivera, l’Église de Dieu et de Jésus-Christ triomphera. Babylone la
grande sera renversée à perpétuité.
À Jésus, notre unique Sauveur, soit la
gloire aux siècles des siècles. AMEN.
ESAÏE
2. 5
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