Un prédicateur de Tennesse, nommé Stevens, était avec sa femme ici au Canada. Il s’occupait d’apporter la Parole dans une grande Assemblée Évangélique. Ils avaient laissé les enfants chez les grands-parents. Le frère Stevens non seulement amenait beaucoup d’âmes à JÉSUS-CHRIST, mais il avait un don particulier pour chasser les démons (1 Cor. 12. 6-7). En raison de ce succès, Satan le détestait et cherchait à le tourmenter par des pensées négatives. Il lui dit : "J'ai le pouvoir de tuer tes enfants !" – Satan tu es un menteur ! Tu ne peux pas tuer mes enfants !’’ répondit le Frère Stevens. Et Satan répliqua :’’ Je vais te dire comment je vais le faire. Dans la forêt qui borde ta propriété, j’ai beaucoup de renards que j’ai empoisonnés avec la rage.’’ Tout de suite, le Frère Stevens se souvint qu’avant son départ, des amis lui avaient dit que des renards rôdaient dans sa propriété.
Dans un acte de foi tout simplement, le Frère Stevens avec trois autres chrétiens se réunirent pour la prière. Et par la foi, le long de la limite de sa propriété, ils tirèrent ensemble une ligne de sang. Car finalement cette propriété était aussi celle du Seigneur et qu’ils avaient la liberté d’invoquer Son sang pour protéger la propriété, de même que les enfants, qui eux aussi ont été rachetés par le précieux sang de JÉSUS. Ils avaient tous confiance à la puissance du sang de JÉSUS, qui avait le pouvoir de les préserver contre ces attaques de Satan, par ces renards enragés.
Une semaine plus tard, le Frère Stevens recevait une lettre de son frère lui annonçant : "Aujourd’hui, je suis allé me promener le long de ta propriété, et chose étonnante, sur la limite de ton territoire, j’ai vu là cinq renards morts sur la ligne de démarcation, tous les pattes en l’air comme s’ils avaient été frappés et surtout, ils étaient tous atteints de la rage, confirmé par l’Office Vétérinaire Canadien." Tous ces renards sont tombés, frappés par la puissance de Dieu au moment où ils ont essayé de traverser la ligne du sang que par la foi, nous avions tracée pendant la prière. –Le sang précieux de JÉSUS est donc bien une puissance surnaturelle qui est pour nous enfants de Dieu une réelle sécurité. – Quand j’ai appris ces nouvelles, j’ai pris la décision de tirer une ligne de sang autour de nos bâtiments pour l’Évangélisation dans l’Ouest de Cloverdale, British Columbia. A plusieurs reprises, nos bureaux ont été victimes d’effractions. Après avoir vu les dégâts de ces agents de Satan, je convoquai ma femme et mes enfants et en croyant à la Parole de Dieu, nous avons aussi tiré autour de nos bâtiments, par la foi, une ligne de sang. Ceci se passait en 1969. Et depuis cette date nous n’avons plus jamais eu nos Bureaux saccagés par des délinquants. Nous sommes donc bien en sécurité par le sang de JÉSUS, si précieux. – Dernièrement, me furent volés mon costume préféré, ma chemise avec sa cravate dans ma chambre d’hôtel, tandis que nous tenions des cultes dans la ville. Et peu après, des voleurs pénétrèrent dans la chambre où habitait ma fille Judy et une amie, et leur dérobèrent 300 dollars. Et après quoi, nous avons décidé ensemble de prolonger la ligne du sang jusque dans nos chambres d’hôtel. Après cette prise de position, nous nous sommes trouvés en sécurité. Et nous louons le Seigneur en poursuivant notre chemin de foi.
Depuis ces expériences merveilleuses, j’ai invité des centaines de croyants bibliques à tirer une ligne de sang autour de leur propriété. Car je suis sûr de déclarer que la puissance du sang est une sécurité pour ceux qui glorifient notre Seigneur et qu’Il honorera leur foi en Sa Parole. La voie la plus sûre est celle de la louange. Et comment y parvenir ? Tout simplement en comptant sur Son sang précieux qui plaide pour nous, puisque nous sommes devenus Sa propriété. UN racheté ne s’appartient plus mais il est devenu la propriété du maître qui nous a acquis et Lui se charge de notre sécurité (2 Thess. 3. 3 ; Jean 10. 28-29). Aucune sécurité sociale ne peut nous garantir une vraie et totale protection, mais celui qui ouvre sa bouche pour louer le Nom de JÉSUS et la valeur de Son Sang est sous Sa sûre protection.
Dans le livre des Proverbes, il y a au chapitre 30 verset 26 une description intéressante : Les gerboises (lapins), peuple sans force, mais qui placent leur gîte dans les rochers. Là, ce faible petit animal trouve sa sécurité. Quelle leçon pour nous aussi, qui sommes si faibles devant la puissance du mal, mais Christ notre Rocher est une forteresse pour qui s’y réfugie. Ps. 20. 2 : "Le nom de l’Éternel est une forteresse. " Si les gerboises se sentent en sécurité, à combien plus forte raison devons-nous nous sentir en sécurité en Christ, notre Rocher. Tandis que l’orage gronde, que les éclairs sillonnent le ciel, les gerboises se cachent au fond de leur demeure dans les rochers.
Nous pouvons beaucoup apprendre de ces gerboises. Combien d’hommes ou de femmes aimeraient se trouver en sécurité devant les éléments déchaînés de notre époque. Et pourtant, Christ est là qui les appelle et les invite à venir trouver secours auprès de Lui. Certains pensent peut-être : ‘’Oh voilà un chrétien fort.’’ Non, un tel surhomme n’existe pas. Lorsque nous nous sentons forts, nous sommes en danger. C’est une fausse sécurité. Nous nous réalisons en paix, en sécurité, quand nous, nous sommes conscients que Lui, JÉSUS est notre force et notre protection. Le chrétien en face des dangers se sent aussi faible que la gerboise. Quelle horrible chose, si nous devions penser que le Seigneur nous laisse nous débrouiller en face des tentations et de la puissance du mal, de la puissance du péché. Mais voilà, qu’heureusement, il y a un Rocher, une forteresse pour les justes. Les parois du Rocher sont Sa Parole et Ses promesses. Les mettre en mouvement par notre foi, nous donne immédiatement courage et force, pour nous réfugier auprès de JÉSUS. Là nous réalisons protection et grâce en face de tous les dangers, quels qu’ils soient. Et ceci jamais ne l’oubliez, de peur que vous ne deveniez les jouets de Satan. Quand je repasse toute ma vie en revue, tant de fois je fus en danger, mais quelle consolation de pouvoir dire que chaque fois, le Seigneur est venu à mon aide et m’a accordé Sa délivrance. C’est pourquoi, l’Ecriture nous invite à nous réfugier auprès du Rocher des siècles (Ésaïe 26. 4). Oui, c’est la plus grande sécurité que nous pouvons envisager. Un roi ne peut réaliser dans sa forteresse la sécurité de la gerboise dans les rochers. Aucun Homme d’Etat entouré de tous les fonctionnaires des Services secrets et de la police ne peut se sentir aussi sûr que la gerboise dans les rochers. Mais encore plus en sécurité se trouve celui qui s’attend à Christ et qui connaît la puissance de Son Sang pour le protéger. Il peut sans cesse chanter la Gloire du merveilleux Sauveur JÉSUS et Son Sang précieux. A Lui, oui à Lui seul, toute la gloire éternellement !
Ne voudrais-tu pas, toi aussi, par la foi, tirer une ligne de Sang, autour de toi, de ta propriété et de tout ce que le Seigneur t’a donné ou confié, en sachant la force merveilleuse et miraculeuse qui se trouve dans Son Sang ? Ainsi, tu pourras vivre en sécurité. Car ni Satan, ni ses légions ne peuvent franchir cette ligne du précieux Sang de JÉSUS, l’Agneau de Dieu. Donc tu sais que l’efficacité du Sang de JÉSUS est une réalité biblique irréfutable. La Parole de Dieu nous dit : "Sachez que ce n’est point par des choses périssables, comme l’argent ou l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre apprise de nos pères, mais par le précieux Sang de JÉSUS, l’Agneau sans défaut et sans taches. "(1 Pierre 1. 18-19) Comme racheté du Seigneur, tu as droit à cette protection par le Sang de JÉSUS qui fut répandu pour notre justification. Et dans cette sécurité, tu peux joyeusement marcher dans la voie de la louange et de l’adoration que nous devons à notre glorieux et adorable Seigneur et Sauveur JÉSUS-CHRIST, notre Roi qui très bientôt vient sur les nuées étincelantes pour nous chercher et nous permettre de toujours vivre avec Lui éternellement. Amen, amen !
Un ouvrier chrétien travaillant dans un pays communiste avait été arrêté et emprisonné. Peu après son arrestation, on le sortit de sa cellule. On l’emmena dans une salle d’interrogatoire de la police secrète. Il se trouva là assis devant une table. Il y avait une Bible ouverte, devant un officier de police et un docteur. Le prisonnier reçut l’ordre de s’asseoir et l’interrogatoire commença. On lui demanda :
– Croyez-vous aussi que ce livre est la Parole de Dieu ?
– Oui, répondit-il !
L’officier de police lui demanda de lire un certain verset. C’était Marc 16. 18. Le chrétien lut le passage :
– « Et quand ils auront bu quelque breuvage mortel, cela ne leur nuira pas. »
– Croyez-vous aussi à cette portion de la Bible ? demanda l’officier.
– Oui, répondit le chrétien.
L’officier plaça alors un verre rempli d’un liquide sur la table et expliqua :
– Dans ce verre, il y a un violent poison. Si ce livre est vrai comme vous le soutenez, cela ne vous nuira pas. Et pour vous prouver que nous ne plaisantons pas, regardez donc !
L’officier fit entrer un gros chien et le fit boire de ce liquide. En quelques instants, le chien était raide mort par terre. L’officier regarda le chien et demanda à l’homme :
– Maintenez-vous toujours que ce livre que vous appelez la « Parole de Dieu » est vrai ?
– Oui, répondit à nouveau le chrétien. Il est la Parole de Dieu ! Il est vrai !
– Alors buvez tout le verre ! hurla l’officier de police.
Et le chef communiste regardait vers le docteur.
Le chrétien savait que c’était là l’épreuve suprême. Il demanda la permission de prier avant de boire. Ils la lui accordèrent. Se levant, il prit le verre entre ses mains et s’agenouilla devant la table. Il pria d’abord pour sa famille, qu’elle reste inébranlable dans sa foi. Puis il pria pour l’officier communiste et le docteur, afin qu’ils trouvent Dieu et deviennent également de vrais chrétiens. Puis terminant sa prière, il dit :
– Oh ! Seigneur, Tu vois comme ils T’ont défié. Pour moi, je suis prêt à mourir. Mais je crois Ta parole qui dit que rien ne m’arrivera. Si Tes plans étaient différents, je suis prêt à Te rencontrer. Ma vie est entre Tes mains. Que Ta volonté soit faite.
Là-dessus, il leva le verre et le vida d’un trait. L’officier de police et le docteur furent très surpris. Ils ne croyaient pas qu’il le ferait, pensant qu’il se rétracterait. Et ils s’attendaient à le voir tomber mort, comme le chien. Mais les instants devenaient des minutes. Les minutes semblaient être des heures. Un silence complet régnait dans la salle. Chacun attendait l’inévitable mort. Le docteur et l’officier se regardaient, sans mot dire.
Après de nombreuses minutes, le docteur bougea enfin et prit le bras du chrétien et lui tâta le pouls. Il était normal. Puis il chercha d’autres symptômes mais il n’en trouva aucun. Les deux hommes ne se regardaient plus.
Au comble de la stupéfaction et de la surprise, le docteur poursuivit son examen, sans réussir à déceler aucune trace du mal ; et plus l’examen se poursuivait, plus son étonnement croissait. Il se laissa finalement tomber dans son fauteuil et après un moment de réflexion, il fouilla dans une de ses poches, en sortit sa Carte du Parti, la déchira en deux et la jeta par terre.
Puis prenant la Bible, il dit :
– Dès aujourd’hui, je veux aussi croire ce Livre. Il doit être vrai. Moi aussi, je suis prêt à croire en ce Christ qui vient de faire une si grande chose devant mes yeux.
Une fois de plus, la Parole de Dieu était justifiée et confirmée par Son Auteur dans cette cruelle épreuve que venait de subir un chrétien qui savait en qui il venait de placer sa confiance.
(Tiré de Nouvelles des pays de l’Est)
Cher lecteur, que penses-tu de cette narration ? Ne crois-tu pas que tu devrais toi aussi rejeter ton incrédulité et prendre la Bible au sérieux, en la lisant et en y conformant ta vie ? Car il y est écrit : Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme et dans ce qu’il pense être un juste raisonnement. Le monde a toujours recherché une philosophie conçue de son cerveau, une marchandise venant de Rome ou du C.O.E. de Genève. C’est à juste titre que la bouche des athées proclame que la religion est l’opium du peuple. Lorsqu’on élimine la ligne de démarcation entre ce que Dieu appelle le péché de l’homme et l’obéissance qu’Il demande à Sa parole, c’est le désordre tel que celui que nous vivons en notre pauvre époque du renégat. Car Dieu ne peut se manifester qu’au travers de la personne qui croit à toute Sa Parole et en accepte toute Sa ligne de conduite, pour son grand bien.
Dans Son amour, Dieu nous a tout donné dans la personne de Jésus sur la croix et si dans notre cœur nous acceptons Sa personne et Son œuvre, nous faisons la plus grande découverte de notre vie, le vrai bonheur auquel nous sommes tous invités à participer. Et mon expérience merveilleuse deviendra aussi la vôtre pour tous les jours de la vie et pour l’éternité.
Jean Schwab, Yverdon, Suisse.
Récit du Dr Percy collett
Un homme qui a vu le Ciel
Le Docteur COLLETT commença son ministère au milieu des Indiens du Brésil, en 1925, comme jeune médecin missionnaire. Sa femme est une Juive de Russie dont la famille entière, son père et elle exceptés, périt sous la Révolution Bolchévique. Quand je lui ai demandé où était son foyer, il me répondit que le siège de sa mission se trouvait en Oklahoma mais que son « home » était la jungle du Brésil.
(Le texte, traduit d’une cassette, conserve le style du langage parlé.)
« Attachez vos ceintures !
Je vais m’efforcer de vous emmener au ciel le plus vite possible ce soir, car c’est là que nous désirons tous aller ! Je vous transmets les amitiés de ce grand pays du Brésil mais plus encore, des salutations du ciel !
Ce qu’on nomme " le ciel " est quatre-vingts fois plus grand que la terre. C’est une planète. Dieu prépare cette vaste planète pour tous les rachetés afin qu’ils vivent avec Lui éternellement.
Un petit regard en arrière : ma mère fut reprise par le Seigneur lorsque je n’avais que cinq ans. Elle est au Ciel car je l’ai vue là-haut. C’est à cette époque-là, petit orphelin de cinq ans, que je vis mon premier ange ; il vint dans ma chambre et me parla. Plus tard, à quatorze ans, dans la ferme de mon grand-père un ange apparut, se tenant devant mes chevaux. Il me parla ainsi :
—Tu es appelé par Dieu pour Le servir. Tu iras dans le monde entier.
Je dis à mon grand-père que j’avais vu un ange et il me répondit :
—Mon garçon, s’il en est ainsi, à partir de ce jour, tu n’es plus sous mon autorité, mais sous l’autorité du Seigneur.
Et dès lors, j’ai vécu constamment sous la juridiction de Dieu de façon effective, définitive et sans question, conduit par la puissance du Dieu vivant. Je vis plus tard des anges dans la jungle, et même réellement " une grande nuée de témoins".
À la fin de mon ministère, durant sept ans, j’ai prié avec désespoir : " Ô Dieu, fais-moi voir Ta gloire. " Quelle requête ! Car enfin l’Éternel me laissa voir Sa gloire. Voici de quelle manière cela arriva : nous étions plusieurs réunis en prière sous une onction puissante du Saint-Esprit et nous fûmes soudain tous projetés à terre sous la main du Dieu vivant. Certains d’entre vous, âmes précieuses, savez ce que c’est que de tomber par terre sous la puissance de Dieu. C’est une grande réalité : Dieu est puissant. La Bible dit : " Il vous remplira du Saint-Esprit et de Feu " et vous le savez, quand vous avez un feu, il y a la force.
Dans cette réunion où il avait plu au Seigneur d’exaucer ma prière, je me trouvais donc étendu à terre et Il envoya un ange du Ciel pour me permettre de voir Sa gloire.
Mes chers frères et sœurs, il y a quelque chose de grand devant vous et je vous invite à y attacher votre espérance. Il y a un pays là-haut pour vous et, en comparaison, vous verrez que cette terre n’était rien du tout. Les plus belles maisons d’ici-bas ne sont rien comparées aux demeures de ces lieux glorieux et merveilleux. En effet, Jésus a dit : " Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père… Je vais vous préparer une place. Puis, Je viendrai et vous prendrai avec Moi afin que là où Je suis, vous y soyez aussi. " (Jean 14. 2, 3)
Jusqu’au ciel, c’est un long voyage : j’ai fait le voyage. Six heures pour y atteindre, six heures pour en revenir, à une allure fantastique. Le ciel est très loin de la terre. Il est si grand, si gigantesque : quatre-vingts fois notre terre. Cela fait 2 millions de miles de pourtour. Des arbres magnifiques, des rivières, mais ce dont je veux en particulier vous parler ce soir, c’est du fleuve d’eau vive. Il coule du trône de Dieu. Et Dieu est sur le point d’ouvrir les écluses de cet immense torrent et il atteindra la terre avec la puissance du Très-Haut. Alors, la plus magistrale explosion de tous les temps se produira lorsque cela arrivera. Dieu a un plan et Son plan est exactement à l’heure et je ne crois pas que nous, les chrétiens, nous verrons la fin de ce siècle. Quand cette chose arrivera, je ne veux pas être laissé ici-bas pour connaître la tribulation. Je veux être parti dans ce majestueux enlèvement que la Bible annonce, et je sais que nous ne verrons plus la mort après cela.
J’ai reconnu dans le ciel beaucoup de grands hommes de Dieu. J’ai vu de très chers pasteurs et aussi les Patriarches, les Apôtres et les Prophètes et, plus précieux que tout, Le Seigneur JÉSUS ! J’ai marché avec Lui dans le Ciel, dans ces lieux célestes merveilleux, j’ai marché avec JÉSUS ; j’ai rencontré Job, le patriarche, lui à qui Dieu avait demandé : " Où étais-tu Job, quand J’ai posé les fondements du monde ? " J’ai vu Siméon qui avait reçu dans ses bras Jésus bébé et avait dit : " Maintenant, Seigneur, Tu laisses ton serviteur aller en paix, car mes yeux ont vu Ton salut… " Plus loin, l’apôtre Paul, lui qui avait été " ravi jusqu’au troisième ciel ". Le ciel est un lieu tout en or, glorieux, merveilleux et si beau !
Ainsi donc, j’avais quitté la terre. Je m’étais trouvé séparé de mon corps. Lui était allongé là, dans un coma total. Les docteurs sont venus l’examiner, le sang coulait dans ses veines mais mes capacités mentales étaient complètement absentes. Pendant six jours !
Mon âme était sortie de mon corps. Vous avez une âme, chaque être humain a une âme parce que Dieu, nous dit la Bible, souffla dans les narines de l’homme le souffle de Dieu, " et il devint une âme vivante ". Votre âme, c’est exactement votre personnalité, elle a votre expression, elle agit, elle parle, elle est exactement ce que vous êtes. C’est elle qui opère, en vous, elle est aussi appelée " l’homme intérieur ". (Paul dit : " Si notre homme extérieur se détruit, l’homme intérieur se renouvelle de jour en jour.")
À cet instant, je regardais mon corps immobile, prostré devant la présence de Dieu. Alors l’ange du Seigneur vint. Mon ange était à mes côtés ; il était resté avec moi depuis 79 ans, n’étant pas retourné au ciel depuis ma naissance. Il était aussi enthousiasmé que moi à la pensée d’aller là-haut ! Vous avez chacun un ange qui veille sur vous, que vous le sachiez ou non, jour et nuit pour vous protéger. Là l’ange de l’Éternel descendit. Cela vous semble-t-il étrange ? Lisons la Bible : " L’ange de l’Éternel apparut dans les temps anciens à Abraham, il lui parla et mangea avec lui." Quel grand homme de Dieu fut Abraham ! Je l’ai vu et Sara sa femme, et l’apôtre Paul. Cinq jours et demi passé dans le ciel, marchant avec Jésus !...
Il y a des danses dans le ciel, elles sont superbes ; on danse sur la mer d’or pur, transparent, semblable à du cristal, devant le Trône et pour la gloire de Dieu.
Le ciel est rempli de musique : des instruments innombrables connus et inconnus sur terre, jouant tous pour chanter le Nom de notre Dieu.
Savez-vous que là-haut, le temps n’existe pas ! Il n’y a pas d’horloge, il n’y a pas de temps, une fête continue de musique, de joie, et de gloire rendue à Dieu. La gloire de Dieu remplit tout.
Quelle apparence ont les élus, là-haut ? Eh bien ! Les Noirs, les Chinois sont magnifiques. Les Français, les Russes, les Juifs, tous sont beaux dans les cieux, car tous sont devenus un seul peuple, sous la grâce de Jésus le Fils de Dieu. C’est la miraculeuse réalité : j’ai vécu cinq jours et demi (jours terrestres) en présence du peuple de Dieu dans le ciel.
Alors que mon âme avait quitté mon corps, elle montait. Imaginez ce qu’elle ressentait ! Et c’est ce qui vous arrivera lorsque vous mourrez : immédiatement votre âme commencera son ascension vers la Maison du Père. Ainsi, en nous élevant (les deux anges avec moi) nous passâmes par une énorme trouée à travers les étoiles et le système solaire. Je vis le système laissant derrière nous le soleil, la lune, les étoiles, montant plus haut. Nous traversâmes et franchîmes l’espace.
Après nous être totalement dégagés de l’espace, nous vîmes plus loin d’autres étoiles, des millions, ayant toutes leurs faces tournées vers le ciel et chantant à la gloire du Seigneur. Oui, toutes ces étoiles chantaient la grandeur et la Majesté de toute la création du Dieu vivant. Nous poursuivions notre voyage à une vitesse prodigieuse. Je parlerai tout à l’heure du voyage de retour car c’était spectaculaire.
À une distance précise, l’ange du Seigneur nous dit :
— Nous voici tout près.
Chacun, bien-aimés, vous vivrez ces choses : quand vous quitterez cette terre vous effectuerez ce prestigieux voyage.
Là, près du ciel, il y avait des tonnerres et des éclairs : d’énormes tonnerres et des éclairs immenses. Partout du feu et des nuées ! La colonne de nuée et la colonne de feu qui avaient accompagné Israël dans le désert étaient là, exactement là ! Le feu et la toute-puissance du Très-Haut étaient là, juste devant nous tandis que nous arrivons à la glorieuse demeure des rachetés.
Alors nous pénétrâmes dans cette spectaculaire enceinte qui entourait le ciel. Nous avions laissé bien loin la terre mais, après l’avoir quittée, nous avons rencontré d’épaisses ténèbres — l’endroit même où les astronautes avaient, pour un temps, perdu toute possibilité de communiquer avec la terre — c’est là que Satan habite et là que se déroulent les combats spirituels. C’est un lieu de conflit permanent. Ce combat a commencé lorsque Lucifer a voulu se faire égal à Dieu. Il fut précipité hors du ciel et, depuis ce jour, les combats se poursuivent. Mais finalement l’ange de l’Éternel, dans la dernière bataille détruira les anges du Diable jusqu’au dernier.
Mais nous, nous allons vers la Maison Paternelle ! C’est l’heure du souper… L’heure approche où nous allons partir pour la Patrie Céleste. C’est l’heure du souper ! C’est la fin maintenant ! Ce sont là les derniers messages apportés sur la terre : Venez à la Maison, entrez par la porte ! Nous allons partir !
Après avoir traversé ce spectaculaire barrage de feu, nous trouvâmes devant nous les féeriques Portes du ciel. Et elles s’ouvrirent toutes grandes pour nous laisser entrer. Ainsi, nous fûmes introduits dans la première partie du ciel, où sont ceux qui ont été justes, sauvés, pardonnés en croyant au sang de Jésus. L’ange m’expliqua : "C’est le Paradis qui est également, comme l’expliqua le Sadhou Sundar Singh, l’endroit où sont instruits, au sujet de qui est Jésus, ceux qui n’ont jamais entendu parler de Lui, ou qui ont existé avant Sa venue (NDLT). Ici, le Paradis, mais ce n’est pas tout ! " Lorsque vous recevrez le baptême du Saint-Esprit, dit l’ange, et que vous parlerez dans le langage de Dieu, selon la Parole, des fleuves d’eau vive coulent de votre sein. " (Jean 7. 38, 39)
D’où vient-elle cette eau vive ? Elle coule du Trône de Dieu ! Directement du Trône de Dieu jaillit le fleuve d’eau vive et c’est ainsi que vous parlez en langues ! C’est l'Événement qui se produisit le jour de la Pentecôte. DIEU INTERVINT et l’homme reçut la glorieuse puissance du Dieu vivant comme l’avait annoncé Jésus : " Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit surviendra sur vous." Et là il y avait les secondes portes. Rien, non rien de ce que vous avez pu voir sur cette terre ne peut égaler la splendeur de cette majestueuse Entrée du Ciel. Elles s’ouvrirent et alors, nous nous tînmes muets d’admiration devant l’éclat de la Majesté du Trône de Dieu. Il était là, le Trône du Dieu vivant ! De quelque côté qu’on se tienne devant ce Trône, on ne peut s’en détourner : Il est partout. Dieu est Dieu, le PÈRE était sur Son Trône et JÉSUS se tenait à Sa droite.
— Viens avec moi, dit l’ange.
Je le suivis et il m’indiqua dans le sol tout en or des empreintes de pas : " C’est exactement ici que s’est tenu l’apôtre Paul – ici, c’est le troisième ciel." Paul avait été ravi jusqu’au 3e ciel, et je me tenais là, mes pieds posés juste dans les empreintes laissées par Paul ! C’est vrai ! Après cela, nous avons marché jusqu’à ce que nous vîmes Abraham. Je lui demandais :
—Depuis combien de temps es-tu ici, Abraham ?
Il répondit :
—Oh ! Un jour… peut-être deux.
Vous savez, un jour est mille ans avec le Seigneur, alors par rapport aux millions et millions d’années de l’Éternité… Les premiers millénaires dans les cieux ne comptent que comme un jour ! Abraham se leva et parla avec moi. Vous rendez-vous compte ? J’ai parlé avec Abraham, lui qui avait reçu les anges et mangé avec eux.
Après, je me tournais et vis Jésus ! Jésus, marchant dans ma direction, et moi j’avançais vers Lui ! Dès cet instant, j’ai marché à Ses côtés et cela pendant cinq jours et demi. Ensuite, je vis s’approcher ma mère, elle me salua :
— Hello ! Percy
— Hello ! Maman.
J’avais eu de très nombreuses visions de ma mère. Elle vint près de moi et m’embrassa. Elle m’embrassa, dans le ciel ! Près d’elle se trouvait Marie, la mère de Jésus. Ma mère m’invita :
— Viens danser avec moi, Percy.
Or je savais qu’elle n’avait jamais dansé sur la terre. Car il était hors de question qu’elle danse, c’était tout simplement impossible qu’elle y pensât seulement. Ses parents étaient d’authentiques chrétiens baptistes ! Ma mère était une artiste : elle avait fait une belle peinture sur un des murs de notre grande maison et mon père y avait placé une croix. Partout mon père plaçait la croix pour qu’on ne l’oublie jamais. Mon père désirait que je sois médecin, ma mère que je sois missionnaire, de sorte que j’ai accompli leur souhait à tous les deux.
Alors là, nous avons dansé avec ma mère ; 1500 miles d’un bout à l’autre de la mer de cristal, et en revenant. Ça c’est de la danse ! Tout cela en 4 minutes et demie. Ça c’est vraiment de la danse. Préparez-vous à danser vous aussi là-haut. Dans le ciel les danses sont magnifiques.
Après, Jésus m’emmena dans le haut de la ville. La ville se dessine en un carré parfait. Pour monter, nous avons pris un véhicule céleste. Arrivé au sommet, je contemplai un spectacle extraordinaire. Jésus me montra ma propre demeure, 700 miles plus bas. Je regardais la place de la ville, il y avait Elie à côté de moi. Elie avait été enlevé au ciel dans un char de feu. Au ciel, les moyens de transport sont ces magnifiques chars, les mêmes que celui dans lequel Elie avait été enlevé. Ils sont d’une beauté grandiose. Sur le sommet de la ville, j’étais là, Jésus se tenant à mes côtés.
— Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père.
Vous imaginez-vous la vue ? Sur plus de 500 000 km, les maisons (plus semblables à des palais) sont disposées par rangées, en descente, ayant toutes la façade orientée vers le Trône de Dieu. Il existe un mouvement qui fait que, d’où que l’on soit, on voit toujours le Trône.
Alors je me suis mis à rendre visite, dans ces belles demeures, à quelques amis que j’avais connus ici-bas. Le premier que je vis fut Smith Wiggle Worth. Je l’avais bien connu car il y a des années, je l’avais accompagné dans une de ses campagnes d’évangélisation. Quand il priait pour les malades, il faisait quelque chose que je n’ai jamais fait car on ne peut pas copier un autre serviteur. Sous la tente en Californie, il vint une femme attente d’une tumeur entre les épaules. Smith prit cette tumeur dans ses mains en disant :
—Tumeur, je t’ordonne de sortir d’ici
Et elle sortit. J’avais vu de mes propres yeux.
Plus loin de là, je vis l’apôtre Paul et sa maison. Toutes ces belles demeures occupées, habitées ! Leur toit n’est pas fait de vieilles tuiles rouges : le manteau du Seigneur les couvre. Et sur chacune, on peut voir des étoiles : celles-ci représentent les âmes que chacun a gagnées pour le Seigneur. Le haut de ces demeures n’était qu’une couronne de gloire. Jésus me conduisit plus loin et me montra une chose extraordinaire. LA COURONNE qu’Il portera sur Sa tête après qu’Il sera venu pour chercher Son Église, car c’est nous qui allons couronner Jésus ! Nous Le couronnerons "ROI des Rois et SEIGNEUR des Seigneurs " au grand festin des " Noces de l’Agneau ".
Voulez-vous assister au festin des Noces de l’Agneau ? Bien sûr que vous êtes invités ! Il me fit entrer dans la salle des Noces et Sa bannière sur moi, c’est l’amour dit la parole. J’étais dans la salle du festin et Il me dit : " Prends un fruit, Percy." À perte de vue, il a des tables, toutes sont chargées de fruits et là, les boiteux, les aveugles, les pauvres et tous les affligés, qui sont nés de nouveau, seront assis pour le banquet avec Jésus. Lorsque je pris un fruit, immédiatement un autre le remplaça. Oh ! on n’aura jamais à se demander s’il y en a assez pour tout le monde ! Le ciel est un lieu d’abondance. C’est un beau et glorieux pays.
Jésus me fit voir où se réunissait " le conseil de Dieu ". Oui, tout est ordonné dans le ciel. En Dieu est l’ordre et non la confusion. Jésus m’amena du côté de la Main Gauche de Dieu, et cette immense Main du Dieu Saint descendit. Jésus me dit : — Mets-toi dessous.
Je me plaçais dessous et m’assis sur le Siège de l’Amour. Le siège de l’Amour ! Depuis que j’ai vécu cela, je ne puis qu’aimer, aimer tout le monde. Ensuite, je m’assis sur le siège de la Connaissance, sur celui de l’Administration, celui de la Sagesse, tout cela sous la Sainte Main de Dieu. Jésus me fit asseoir sur chacun des sièges. Comment puis-je être le même ? Jamais plus ! Puis quittant ce sanctuaire, Jésus m’amena devant le Trône de Dieu LE PÈRE ! Ce n’est pas une petite chose : cinq-cents (500) miles terrestres depuis la base du Trône jusqu’en dessous du Trône. Sous le Trône, j’ai entendu les millions de voix qui prient :
" Jusqu’à quand devons-nous attendre. Jusqu’à ce que ô Seigneur, nous soyons vengés de nos ennemis ? "
Jésus m’a fait avancer sur le chemin magnifique qui est devant le Trône. Là, montant et approchant du Trône, je tombais, prostré dans la présence de Dieu. Je ne vis pas Sa Face car ce n’est qu’après l’enlèvement que nous pourrons voir Sa Face, mais j’ai vu Ses pieds. Il nous est dit que la terre est son marche-pied. Il me parla et me dit :
— C’est bien, bon et fidèle serviteur.
Quel message ! Dieu m’a parlé, à moi, dans le ciel ! Comme Il parla aux prophètes dans les temps anciens, pareillement j’entendis Sa voix. Après, je descendis de devant son Trône, puis Jésus me dit :
— Maintenant, Je veux te faire traverser le fleuve d’eau vive. Le fleuve d’eau vive est un fleuve de 2 000 miles de large, il coule de dessous le Trône devant l’Autel du Dieu vivant. Il coule jusqu’à la limite du ciel, là où est la Porte si superbe, immense, qui le retient. Un jour, Dieu touchera de Son Pied cette Porte et la poussera. Il est sur le point d’ouvrir cette gigantesque Écluse et, lorsqu’Il le fera, va se produire l’Explosion, la formidable explosion ! L’Esprit de Dieu pénétrera jusque dans les profondeurs cachées… et le Diable sera chassé de sa place.
Comme je traversais ce grand fleuve avec Jésus, Il étendit Sa Main et cueillit un fruit de l’Arbre, celui qui porte douze sortes de fruits chaque année. Il me le donna et je l’ai mangé : Je ne serai plus jamais le même ! Après avoir atteint la rive, Il m’amena devant le feu qui brûle sur l’autel. Quel FEU ! Je vais vous dire comment monte l’encens jusqu’au Trône. Tout le temps, un peu de l’eau du Fleuve jaillit sur l’autel et cela provoque une vapeur éblouissante qui s’élève au-dessus de l’autel. C’est exactement ce qui se passe, et l’encens, dans cette nuée, monte jusqu’au Père. Jésus, en ce lieu, saisit de Sa Main un charbon ardent, Il le posa sur la langue de mon âme ! … Comment pourrais-je être encore le même ? Jamais plus ! Je suis ici-bas seulement pour un but : transmettre ce message à la terre. Vous apporter l’amitié de ceux qui sont là-haut.
Que me fit encore voir Jésus ? Sagesse, Amour, Sainteté… J’en avais vu assez maintenant pour commencer à comprendre ! Il me fit approcher d’une immense fenêtre et me dit :
—Je vais te faire connaître ce qu’est l’Éternité. Je te donne des yeux qui vont te permettre de voir à des millions de kilomètres.
Aucune limite, aucune mesure ni fin avec Dieu. Jésus dit :
—Voici d’où Mon Père et Moi nous venons. Pas Mon Père mais Mon Père et Moi ; de l’Éternité.
— Jésus, je t’en prie, explique-moi ce qui est encore au-delà !
— D’autres créations, d’innombrables autres créations. Nous sommes venus ici pour créer ce merveilleux Ciel Nouveau, pour construire cette Nouvelle Planète, pour vous, un lieu où tous les rachetés, réunis, vivront dans la présence de leur Dieu.
Puis Lui et moi continuâmes à marcher et atteignîmes ce qu’Il m’indiqua être la « Mer de l’Oubli ». Vous avez entendu parler de cela dans votre Bible. Il y avait là un lieu, aussi immense que la ville de St-Louis, où tout se trouvait enregistré. Là sont comptés les cheveux de notre tête comme Jésus l’a dit ; littéralement chaque cheveu de notre tête est compté par Dieu. Et, plus important, les paroles que nous prononçons : ‟Toute parole vaine.″ Toutes les paroles de toute notre vie sont enregistrées là quand nous les prononçons. Toute voix qui s’exprime, tout est inscrit ! Croyez-le. Et quand arrivera le Jour du Grand Jugement de Dieu, là au Ciel, cette immense mémoire sera jetée au fond de la mer, et ni Dieu ni personne ne s’en souviendra plus jamais. La mer de l’oubli… Alléluia !
Qui désire aller au ciel ici ? Levez votre main !
Magnifique !
Jésus continuait de me faire voir tout le ciel et ce qu’il contient :
— Veux-tu voir où sont préparées les merveilleuses robes pour le grand festin des Noces ? Où sont fabriqués ces vêtements ?
C’est là ; à perte de vue, des anges occupés aux travaux d’aiguilles ! Oh, vous allez porter de très belles robes, nos sœurs ! Laissez-moi vous dire une chose : il vaut la peine de payer le prix pour pouvoir porter ces beaux vêtements ! C’est le plus merveilleux ouvrage de fine broderie que je n’aie jamais vu. Tout entièrement confectionné par la main des anges. Ce sont de vrais vêtements ! Et ils nous iront parfaitement à chacun ! Nous serons magnifiquement parés. Bien sûr, le Saint-Esprit est notre parure spirituelle mais aussi nous serons revêtus de " ce fin lin, éclatant et pur ".
Le Conseil de Dieu était réuni, Jésus m’y amena.
— Percy, tu vas être ordonné maintenant.
Être ordonné … dans le ciel !...
Il me fit asseoir au centre de tous ceux qui étaient là. Des archanges se tenaient tout autour. Il y avait ces Prophètes merveilleux tout autour de moi, il y avait Elie, etc. Moi, j’étais assis juste au milieu, porté par le… Saint-Esprit Lui-Même. Il est vraiment une personne. J’ai parlé avec Lui. Dans ce lieu, Jésus me donna cent instructions exactement, pour les apporter à la terre. J’ai appris où Caïn avait trouvé sa propre femme. J’ai découvert que ces instructions se trouvaient être les réponses à tout ce qui resté des énigmes pour la race humaine. J’ai su tout cela en étant assis sur le siège de la Sagesse.
— Posez tous vos mains sur Percy, dit le Seigneur.
Des mains vinrent de tous côtés et se posèrent sur moi ; il y avait celles de Paul, celles d’Abraham, celles d’Elie et finalement Jésus posa les siennes sur mon front.
— Tu vas repartir sur la terre.
— Suis-je obligé de retourner là-bas ?
—Oui, tu vas retourner pour apporter ce message !
Au même instant, mon apparence et mon âme devinrent un corps et je pus voir mes vraies mains, mon véritable corps. Jésus me parla encore :
—Quand tu reviendras, ce sera avec ton corps !
Aussitôt éclata un concert merveilleux d’instruments célestes et subitement je me vis debout, dans l’attitude d’un soldat. Jésus dit :
—Tu repars maintenant. Endure la souffrance comme un vaillant soldat…
À ce moment, commença une scène d’au-revoir inoubliable. Il y a tant à raconter ! Tout à l’heure, j’étais dans ma chambre et je devais venir dans cette salle pour parler à 19 h 30. Mais dans ma chambre, il y avait des anges, ils parlaient avec moi, j’étais si bien. Je n’avais pas envie de quitter ma chambre.
Alors donc, tous là-haut, se mirent à me dire "au revoir " : les anges, tous les patriarches, toutes les précieuses personnalités du Royaume des Cieux me firent des adieux, me souhaitant la paix, tous ensemble devant le Trône de Dieu, ma mère était parmi ceux qui me saluaient et aussi les archanges. Le ciel est un lieu glorieux, de gloire inimaginable, indescriptible. Tout est là, si grand, si majestueux ! Ainsi, j’allais franchir les Portes magnifiques, l’ange de l’Éternel et mon ange étaient avec moi, je restais à contempler ce grand Trône blanc éclatant de lumière dont le sommet est multicolore – les 7 couleurs de l’arc-en-ciel. Combien grand est notre Dieu et combien grand est Son Nom !
Nous commençâmes à descendre – Extraordinaire !
En chemin, nous rencontrâmes les âmes qui venaient au ciel ! Nous sous sommes arrêtés pour parler à certaines de ces âmes. Il y avait un homme à qui nous demandâmes :
— Quelle était votre activité sur la terre ?
— J’étais le seul chrétien dans toute ma ville (une très belle ville riche).
— Oh ! Si vous descendez, allez dire à ces gens que vous m’avez vu.
Il me donna son nom ! Continuant le retour, nous rencontrâmes aussi les âmes qui effectuaient leur voyage de 6 heures depuis la terre jusqu’au ciel. Elles montaient de façon individuelle, non pas toutes ensemble mais les unes après les autres comme les croyants venaient de mourir dans la foi au Seigneur Jésus. Ainsi par exemple, nous vîmes deux jeunes filles, l’une avait les cheveux noirs, l’autre les cheveux roux, nous nous arrêtâmes :
— Jeunes filles, comment montez-vous au ciel, si jeunes ?
—Nos corps ont trouvé la mort dans un accident, sur une autoroute en Californie. Nous étions toutes deux remplies du Saint-Esprit et sommes si heureuses de monter vers Dieu ! Oh ! Dites à notre mère de ne plus pleurer, car elle pleure sans pouvoir s’arrêter.
Chaque jour, les nouvelles parviennent au ciel de ce qui se passe sur la terre et chaque fois qu’une âme est gagnée au Seigneur, les cloches du ciel se mettent à sonner. Et c’est la sagesse de Dieu qui nous enseigne à gagner des âmes.
Nous revînmes sur la terre. Je revins dans mon corps, et soyez certains que j’ai un corps en parfaite santé : j’ai maintenant 82 ans. Nous nous rendîmes le lendemain dans une église de Californie du Sud et je parlais de ces deux jeunes filles que j’avais vues. Au milieu de la réunion une dame se leva et se mit à sauter :
— C’est mes deux filles ! C’est mes filles ! Vous les avez vues ! Alléluia ! Demain on va les enterrer. Eh bien on chantera le cantique de Sion, à la cérémonie.
Voilà la consolation, ces paroles avaient consolé cette maman !
" Consolez-vous les uns les autres par ces paroles " — le consolateur est le Saint-Esprit. Jésus a dit : " Quand le consolateur sera venu, Il vous conduira dans toute la vérité. " " Oh ! Merveilleux Saint-Esprit ! Nul homme ne peut dire : "Jésus est le Seigneur, si ce n’est par le Saint-Esprit. " Et nous, nous pouvons déjà parler " le langage de Dieu. " Quelle langue parle-t-on dans le ciel ? J’ai parlé le langage céleste et j’ai compris exactement le sens de chacune de mes paroles. Là-haut, ce n’est pas l’anglais, le français ou l’allemand qui est parlé. Vous parlez le langage de Dieu et vous pouvez l’apprendre ici-bas. Vous avez l’école pour cela ici-même. Alléluia ! Comment l’apprend-on ? Vous vous mettez à genoux devant le Seigneur et laissez les mots jaillir de votre sein — c’est comme cela que vous apprenez à parler les langues qu’on parle au ciel. C’est la parfaite réalité — demain je parlerai encore. »
Le Dr Percy Collett, missionnaire dont vous venez de lire le récit, nous place devant une réalité que nul ne peut réfuter. C’est tout simplement la confirmation de tout ce que nous apprend la Bible. S’il y a des gens en ce monde qui cherchent à nier la réalité des Saintes Écritures, en toute honnêteté, nul ne peut contredire cette expérience si réelle. Si souvent, l’on entend un athée dire : « Jamais personne n’est revenu pour nous prouver que le Ciel et l’Enfer existent. » Et voilà leurs arguments taillés en miettes ! Souvent l’homme cherche uniquement une échappatoire pour vivre à sa guise. Mais quelle terrible rencontre au moment où il franchit malgré lui le seuil de l’Éternité. (Moi-même, je fus un jour enlevé par le Seigneur pour me montrer l’horreur de ceux qui volontairement ont refusé de croire à la Bible et de se soumettre à Son enseignement.) Dieu n’envoie personne en Enfer. Mais comme le Ciel est pour ceux qui ont reçu le message de l’amour et du salut qui est en Jésus-Christ, et parce que ceux qui n’ont jamais été au bénéfice de Son glorieux pardon et cette vie nouvelle que reçoivent les vrais croyants, ils ne supportent pas cette merveilleuse présence de JÉSUS ici. Nous sommes précisément sur la terre pour nous préparer pour l’Éternité. Si ici-bas, nous n’avons pas voulu apprendre cela, nous échouons dans ce lieu de tourments, par suite de notre stupide entêtement et incrédulité, en refusant l’amour de Dieu manifesté en Christ, désirant nous sauver sur cette terre, en recevant en notre cœur, Son Amour et Son pardon, la Vie éternelle. C’est pourquoi, lecteur ou lectrice, qui que tu sois, rien ne pourra te sauver, que le sang de JÉSUS versé au Calvaire. Et ne laisse pas passer cette occasion qui t’est donnée en ce jour d’appel car Il revient très bientôt pour mettre à l’abri, de ce qui attend le monde, ceux qui L’auront aimé de tout leur cœur en marchant avec Lui.
TÉMOIGNAGE DE DEUX EXPÉRIENCES
VÉCUES DANS L’AU-DELÀ AVEC JÉSUS-CHRIST
(Traduit de l'espagnol)C'est un témoignage vécu et écrit en langue espagnole par Bernarda FERNANDEZ. Son mari et elle sont évangélistes itinérants aux États-Unis. Ils travaillent sous la responsabilité de la Mission ''El Cristo Viene, Inc.'' (le Christ vient) qui publie le magazine ''FE EN MARCHA ''
On peut écrire (en espagnol ou en anglais) à l'adresse suivante :
Bernarda FERNANDEZ
c/o ''FE EN MARCHA ''
P.O. Box 949, CAMUY
PUERTO-RICO, 006.27. (USA)
Première expérience :
Ce matin-là, mon mari se levait pour se rendre à son travail. Voyant que je n'étais pas bien, il me dit :- Je ne veux pas te laisser seule.
Et je lui répondis : Va, je ne suis pas seule.
En effet, Oh ! Église du Seigneur, le Seigneur était tout près de moi. Le moment décisif était arrivé pour moi, ce moment que nous connaîtrons tous un jour. J'ai senti la mort tout près de moi. J'ai saisi le téléphone pour appeler des êtres chers, des bien-aimés. Je commençais par appeler ma belle-mère pour l'avertir que j'étais en train de mourir.
Et elle me fit cette réponse :
- Tu vas recevoir aujourd'hui, de la part de Dieu, une bénédiction.
Ensuite, j'ai appelé un frère de la congrégation, et il m'a fait la même réponse exactement, puis il a ajouté :
- Lève-toi de ton lit, et loue le Seigneur, glorifie-Le, et crie à Lui.
Je lui ai répondu que je n'avais plus de force pour me lever.
Mais malgré mon manque de force, j'ai crié au Seigneur, en Lui disant :
- Seigneur, Tu es ma force, viens à mon aide.
J'ai essayé quand même de me lever, et je me suis rendue compte que je titubais, que mes jambes ne me portaient plus. J'ai compris que le Seigneur venait me chercher, et à ce moment-là, je m'aperçus que ma voix n'était plus audible, mais je continuais dans mon esprit, à crier au Seigneur, en lui disant :
- Viens Seigneur Jésus, Tu es réel, viens Seigneur Jésus. Et soudain ma chambre s'est éclairée d'une lumière qui ressemblait à un feu, et toute ma crainte a disparu. Je compris alors que cette lumière et ce feu n'étaient pas d'origine terrestre, mais céleste.
Je vis des anges qui descendaient et se promenaient dans ma chambre. Je les entendis très clairement parler entre eux, en allant d'une extrémité à l'autre de la pièce. Je voudrais que vous sachiez que des anges sont envoyés de la part du Dieu Très-Haut, pour nous protéger.
Je continuais à crier à celui qui pouvait me rendre la vie. Subitement, j'ai vu un Être merveilleux, plus merveilleux que les anges, que les archanges. Il était grand, fort ; jamais je n'ai vu un homme d'une telle stature. Il était tout vêtu de blanc, avec une ceinture en or. Sur sa poitrine, Il portait une inscription en or, avec ces deux mots : FIDÈLE et VÉRITABLE. Il était chaussé de sandales ; ses cheveux étaient frisés comme de feu et de laine blanche. Il brillait comme le soleil. Ses yeux étaient comme des flammes, et son visage exprimait la douceur et l'amour. Il était devant moi, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs.
Tout à coup, mon corps s'est mis à trembler, car devant Dieu, tremble la terre. Ma tête a glissé hors du lit, dans le vide. D'un pas sûr, je Le vis s'approcher de moi. Il a pris ma tête entre Ses mains, et m'a dit :
- Écoute, Je suis Jésus.
Et, à l'instant même, je suis tombée comme morte, à terre. Lorsque je me suis réveillée, j'étais à nouveau sur mon lit, Jésus assis à ma droite.
Avec mon corps immobile et les yeux grands ouverts, je regardais les anges et ce Dieu Véritable qui me dit :
- Je suis Jésus qui est mort pour toi. Regarde ces marques dans Mes mains, elles sont encore là pour toi. Je suis descendu de Mon trône de gloire, parce que Je dois parler avec toi.
Puis Il poursuivit, et me dit :
- Il y a beaucoup de choses dans ta vie que tu dois Me donner.
Et moi qui croyais Lui avoir tout donné.
Il reprit de nouveau :
- Il y a en toi la paresse et la colère et toutes ces choses font beaucoup de mal à Mon peuple. Ce ne sont pas les 25% qu'il faut Me donner, ni les 50%, ni les 95%, mais les 100%, si vous voulez entrer dans le royaume des cieux. Vous devez être saints, car celui qui vous a appelés est saint. Je suis venu te chercher pour que tu fasses un voyage avec Moi.
Je lui demandai :
- Seigneur, s'agit-il du voyage missionnaire que je dois faire ?
- Non.
Ensuite, Il me prit les mains, et me souleva. C'était merveilleux de voir cet Être Souverain et Puissant, me parler comme à un frère, à un ami, en toute simplicité. Il m'emmena jusqu'à la fenêtre de ma chambre qui surplombe tout New-York. À ce moment-là, j'ai regardé Jésus, et j'ai vu que Son visage s'était assombri.
Il commençait à pleurer, et me dit :
- On prêche beaucoup Ma parole, mais on ne l'écoute point. Le péché de cette ville est monté devant Mon Père.
Et de nouveau, Il m'a répété cette même phrase
- On prêche beaucoup Ma parole, mais on ne l'écoute point.
Dans cette ville, j'ai vu des homosexuels et, parmi eux, des dirigeants du pays, des maires, en harmonie avec eux. Et le Seigneur me dit :
C'est une autre Sodome. Celui qui parle est vivant, les jugements de Mon Père vont tomber bientôt sur cette ville.
Je me suis prosternée devant le Seigneur, en pleurant, et Il me dit :
- Ne crains point, car quand les jugements vont tomber dans le monde, Mon Église ne sera plus sur la terre.
Ensuite le Seigneur m'a reconduite à mon lit, et Il m'a cité le nom d'un frère de la congrégation, qu'Il m'a demandé d'appeler, pour lui dire que mon esprit allait sortir de mon corps, et qu'il ne devait m’emmener ni devant les autorités, ni dans les hôpitaux, ni dans les monuments funéraires, et de dire à mon mari qu'il devait faire confiance au Seigneur car Il est la Résurrection et la Vie.
Le Seigneur reprit la parole, et dit :
- Moi, qui donne la vie, Je prends ton esprit, mais tu reviendras, et tu rapporteras au peuple qu'il doit Me faire pleinement confiance.
'' Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort, et quiconque vit et croit en Moi, ne mourra jamais '' (Jean ch. 11 verset 25, 26).
Le Seigneur étendit la main, je ressentis une douleur terrible, et mon corps tressauta et se tordit, et subitement, je vis qu'un autre corps était sorti de mon corps, un corps habillé en blanc, un corps resplendissant comme celui du Seigneur. Et le Seigneur me dit :
- Regarde, ceci est le corps que Mon peuple aura bientôt.
Je constatais que je pouvais traverser les murs. Le Seigneur me tenait par la main, et Il me dit :
- Regarde !
Je me suis retournée, j'ai vu mon corps sans l'esprit. Il m'expliqua que ce corps ne servait à rien, que ce n'était que la poussière, et qu'il retournerait à la poussière.
Ce nouveau corps glorieux M'appartient, c'est l'esprit que J'ai donné à l'homme. Je crus qu'Il allait m'emporter au Ciel, car j'avais l'assurance de mon salut, mais nous descendîmes par un tunnel au cœur de la terre. En nous approchant d'un certain lieu, nous sentîmes une odeur pestilentielle, quelque chose qui me faisait horreur. Je me retournai vers le Seigneur,
et je Lui dis :
- Je ne veux pas aller dans ce lieu.
Et avec une voix très forte, le Seigneur me répondit :
Il est nécessaire que tu y ailles d'abord, il faut que tu voies ce qu'il y a dans ce lieu.
Nous sommes entrés, c'était un lieu très obscur et terrible. J'ai entendu les gémissements dont parle la Parole de Dieu.
- Oh ! Église du Seigneur, je ne pourrai jamais les oublier, mes frères bien-aimés.
Lorsque nous sommes arrivés au bout du tunnel, nous nous sommes assis sur un rocher, et le Seigneur me dit :
- Regarde !
Et devant moi, j''avais ce terrible spectacle de l'enfer, des corps dans un état lamentable, des hurlements terribles. Là-bas, c'est chacun pour soi, personne ne s'occupe de personne. Il n'y a que pleurs, lamentations et haines. Cet enfer est tellement réel ! Ce n'est pas un conte, comme beaucoup le croient, ni une invention de l'Église de Jésus-Christ.
J'ai pleuré, pleuré, en regardant le Seigneur, et Il me dit :
- Grave bien ceci en toi.
Je regardais ce spectacle et j'entendais : Aïe ! aïe ! aïe ! C'est pour toujours, c'est pour toujours ! Il n'y a que la douleur et la haine pour les siècles des siècles.
Je me suis retournée vers le Seigneur, et je Lui ai demandé :
-Y a-t-il quelqu'un de ma famille ici ?
Il m'a répondu :
- Je ne veux pas te permettre de voir un membre de ta famille ici. Sais-tu pourquoi, Église du Seigneur ? Nous prêchons à d'autres, ce que nous ne faisons pas pour nos familles, car nous craignons qu'elles ne se fâchent ; mais il vaut mieux qu'elles se fâchent plutôt que d'aller en ce lieu de tourments.
Je renouvelai ma question :
- Y a-t-il quelqu'un de ma famille ici ?
Et Il me fit exactement la même réponse. Je Lui demandais encore :
- Y a-t-il quelqu'un que je connaisse ici ?
Il me répondit :
- Oui, et Je vais te permettre de le voir :
Et j'ai vu un jeune homme monter des profondeurs. C'était Alexandre.
J'ai connu ce garçon, à l'occasion d'une campagne d'Évangélisation avec mon mari, dans la République Dominicaine ; au moment même de cette campagne, j'avais entendu une voix audible qui me disait :
- Lève-toi et va, tu vas rencontrer Alexandre qui va passer par là. Tu lui diras que Je lui donne une dernière opportunité.
Lorsque j'ai communiqué cela à ce jeune homme, il m'a répondu :
- Vous êtes tous des fous, les chrétiens, vous allez partout en disant que Jésus-Christ revient.
Puis sur un ton ironique, il me dit qu'il ne croyait pas que tout cela soit vrai.
Et je lui répondis :
- Mais Dieu donne la vie, et l'enlève quand Il veut. Alexandre, tu vas mourir bientôt.
- Je suis trop jeune pour mourir, il me reste de nombreuses et belles années pour me réjouir sur cette terre.
Puis, deux ou trois semaines plus tard, Alexandre est mort en état d'ivresse. Et ainsi il tombait dans ce lieu de tourments, car les ivrognes n'hériteront pas le royaume des cieux, dit le Seigneur Tout-Puissant. J'ai vu Alexandre attaqué par deux grands vers, et je l'entendais dire : Aïe ! aïe ! aïe ! d'une voix tourmentée.
Il m'a reconnu et m'a dit :
- J'ai négligé cette dernière opportunité, mais va à ma maison, et dis à ma famille qu'elle ne vienne pas dans ce lieu !
Il est temps, Église de Jésus-Christ, que tu parles à ta famille, dans ton travail, partout où tu vas, pour leur dire que Jésus libère.
Le Seigneur me dit : Je veux que tu voies encore quelque chose !
Il me fit voir une multitude de gens tourmentés. Puis Il me dit encore :
- Une partie de ces gens, un jour m'ont connu. Beaucoup marchent dans les rues sans savoir où ils vont. Mais Je voudrais vous dire, mes frères que le chemin du ciel est très étroit, et qu'il va rétrécir encore. Des épreuves viendront, vous allez être purifiés comme l'or. Mais ne craignez rien, dit le Seigneur, Je vais devant vous, comme un puissant géant.
Je lui demandais :
- Y a-t-il de Tes enfants dans cette foule ?
Il me répondit :
- Oui, Sais-tu pourquoi ils ont perdu leur salut ? Par le mauvais témoignage rendu sur la terre. Ils sont nombreux ceux qui ne rendent un bon témoignage que lorsqu'ils sont dans les salles de réunion, devant leur pasteur, et devant leur famille. Mais ils se trompent lourdement parce que les yeux de Mon Père voient tout, et Il entend toutes les paroles, où que vous soyez. Les yeux de Mon père voient tout ce qui se fait sur la terre.
Le Seigneur me redit encore :
- Sais-tu pourquoi ils ont perdu leur salut ? Parce qu'ils ne se comportent pas comme des croyants. Dis à Mon peuple, qu'il est temps de mener une vie irréprochable devant Mon Père, devant le Diable, et devant le Monde. Que le Diable n'ait aucune raison d'accuser Mon peuple, et que le monde ne montre pas Mon peuple du doigt.
Dans Mon peuple, il y a de nombreuses personnes que le Diable et le monde accusent, et ils ont des raisons d'accuser.
Il est temps de chercher la sanctification et la consécration.
Il est temps de dire, Église du Seigneur, à notre égoïsme, à notre ''Moi'' : NON ! Laissons notre orgueil, pour que le Seigneur fasse son œuvre en nous.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers un autre lieu, où il y avait un lac de feu. Au fur et à mesure que nous approchions de ce lac, nous sentions une odeur très désagréable ; et le Seigneur me dit :
- Ce que tu vois là-bas, c'est le lac de soufre qui est déjà prêt pour le diable, le faux prophète et l'antichrist. Je n'ai pas préparé ce lac pour l'homme, mais là-bas iront tous ceux qui ne M'acceptent pas comme Sauveur, et ceux qui n'accomplissent pas Ma parole.
Et, à ce moment, j'ai vu le Seigneur pleurer et Il me dit encore :
- Ils sont plus nombreux ceux qui se perdent, que ceux qui vont au ciel.
À cet instant, le Seigneur me fit voir combien d'êtres tombaient par minute. Il me dit :
- Regarde, combien se perdent ! Mon Église dort. Elle qui a pourtant reçu Ma Puissance, qui possède Ma Parole et le Saint-Esprit, Elle dort, Elle est paresseuse et fatiguée. Il y a sur la terre des religions qui enseignent Ma Parole, en disant que l'enfer n'existe pas. Va leur dire que ce lieu est bien réel.
Je me trouvais très loin de ce lieu mais je sentais la chaleur qui venait jusqu'à moi.
Nous sommes remontés des profondeurs de la terre, et nous sommes arrivés au ciel. Et là, le Seigneur m'a montré le soleil et les étoiles. Il me dit :
- Regarde ! Ces étoiles, Je les appelle toutes par leur nom.
Combien Il est Grand et Magnifique notre Dieu !
-Tu vois ce soleil, c'est par Mon autorité qu'il éclaire les bons et les méchants. Mais il viendra un jour où le soleil ne brillera plus ; tout sera obscur.
Nous avons continué à monter, et nous sommes arrivés au troisième ciel.
- Celui-là, c'est le ciel de Dieu.
Si, lorsque je suis allée dans les profondeurs de la terre, j'étais triste, ici, au troisième ciel, j'étais ravie.
Devant moi, il y avait une cité merveilleuse, qui n'a pas été créée par des mains d'hommes, mais par le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs. Je voyais des murs très hauts, faits d'or et de pierres précieuses, et douze portes de perles. À chaque porte, un ange montait la garde. Chacune de ces portes portait le nom d'une des douze tribus d'Israël
Je pensais que je ne pourrais entrer, mais le Seigneur m'a regardée, et m’a dit :
- Est-ce que tu veux entrer ?
- Oh ! oui, Seigneur, je le veux.
-Eh bien ! Entre, car Je suis la porte.
Et à cet instant, je suis entrée par une porte précieuse, et j'ai vu un jardin de fleurs magnifiques.
- Veux-tu entrer dans ce jardin ? Alors, vas-y, car Je l'ai préparé pour toi et pour Mon peuple.
Je suis entrée dans ce jardin, je cueillais et faisais de gros bouquets de fleurs, et je courais d'un bout à l'autre de ce jardin, comme une petite fille. Les fleurs que je cueillais étaient de toutes les couleurs, et avaient un parfum formidable.
Ensuite, le Seigneur, d'une voix puissante, a fait appeler quelqu'un. Et j'ai vu ce ''quelqu'un'' s'approcher. C'était un ange fort et d'une beauté inexprimable. Et le Seigneur me dit :
Tu vois, celui-ci, c'est l'archange Michel, c'est lui qui dirige Mon armée.
- Regarde encore ! Et j'ai vu une armée puissante à cheval. Et le Seigneur m'expliqua : ce n'est pas une armée d'hommes, c'est l'armée de Mon Père.
Cette armée est à la disposition de Mon peuple. Ne crains point, car Notre armée est plus puissante que celle qui est dans le monde.
Alléluya !
Puis Il m'a fait voir un autre ange. Celui-là, c'est le messager de Mon peuple. J'étais très heureuse d'avoir entendu cela.
- Sois attentive ! Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu de Moïse, le Dieu d'Élie, celui qui faisait tomber le feu du ciel.
Je n'ai jamais changé, Je suis toujours le même, c'est vous qui avez changé. Vous avez un Dieu médiocre, un Dieu limité. Mais Je suis le Dieu Tout-Puissant qui a créé les cieux et la terre, et c'est celui-là que vous servez. Je vais te faire voir la condition dans laquelle vit Mon peuple, dans ces derniers jours qui lui restent.
Le Seigneur m'a dit :
- Fais bien attention à ce que Je vais te montrer.
Et j'ai vu les chrétiens faibles et languissants.
Le Seigneur reprit la parole, et me fit cette question :
- Crois-tu que Je peux relever cette Église (peuple de Dieu) dans l'état où elle se trouve ?
Il me dit encore :
- Les chrétiens que Je vais relever, seront glorieux, triomphants, sans taches, sans rides. Il y a parmi Mon peuple des mensonges, très peu d'amour, Mon peuple est divisé.
Le Seigneur reprit en me disant :
- Je t'ai fait voir la condition de vie de Mon peuple dans ces derniers jours qu'il reste à vivre. Maintenant, Je vais te faire voir comment ont marché les chrétiens primitifs.
Pour moi, c'était comme si j'étais au milieu d'eux. Ces frères et sœurs étaient remplis de la gloire de Dieu, ils jeûnaient et priaient constamment, ils prêchaient la Parole de Dieu sans aucune crainte.
Le Seigneur me dit :
- Parce qu'ils croient que J'ai changé, ils croient aussi que Mon Esprit a changé. La plus grande erreur de Mon peuple, c'est de s'être créée une vie routinière programmée par l'homme. Ainsi, il a oublié que les messages sont du Saint-Esprit donnés d'en Haut. Dis à Mes serviteurs, les pasteurs, que le temps est venu de mettre fin à ces programmes de routine, mis en œuvre par eux-mêmes.
Vous allez voir agir avec puissance au milieu de vous le Saint-Esprit, celui-là même qui agissait autrefois dans l'Église primitive. Il va faire des miracles, des prodiges, des merveilles sans nombre, ressuscitant les morts.
L'Esprit-Saint est resté le même, c'est vous qui avez changé.
Église ! il est temps pour vous de changer. Il est indispensable que vous reveniez aux sentiers anciens.
Vous avez oublié la louange qui M'est due en négligeant ainsi la prière, en ne vous souvenant pas que J'habite au milieu de la louange de Mon peuple.
Le temps est venu de louer Dieu. Vous devez commencer par la louange, et donner la gloire à celui qui vit pour l'éternité, à celui qui libère, à celui qui guérit, à celui qui sauve. Le temps est venu de fléchir les genoux, Mes enfants, il est temps de jeûner, d'invoquer Dieu.
Vous êtes dans le monde, mais vous n'appartenez pas à ce monde.
Le Seigneur reprit la parole et dit :
L'homme s'oppose, le diable s'oppose, mais qu'ils le veulent ou non, il va arriver le temps des bénédictions et le grand réveil pour Mon peuple, dans ces derniers jours à vivre sur la terre. Mon Esprit-Saint va prendre tous les contrôles. Il va faire sortir ce qui est caché et tout ce qui est honteux parmi Mon peuple.
Lors du temps des bénédictions et du réveil, reviendra aussi le temps de Ananias et Saphira (Actes des apôtres ch. 5 vers. 1), car il y a beaucoup de menteurs parmi Mon peuple.
Oh ! Église du Seigneur, j'ai quitté alors ce merveilleux jardin, et je suis arrivée dans une magnifique rue en or. Et le Seigneur me dit :
- Touche ! Oui, c'est bien de l'or. Car lorsque Mon serviteur Jean disait que c'était de l'or, c'est parce que c'était bien de l'or.
Va ! Et dis à Mes enfants que très bientôt, ils se promèneront dans ces rues en or, par la main de celui qui donne la Vie.
Oh ! Qu’est-ce que c'est bon de marcher dans ces rues en or.
Ensuite j'ai vu un trône magnifique, entouré d'anges, d'archanges et de séraphins, qui ne cessaient de louer celui qui était sur le trône. Ils disaient : Saint, Saint, Saint est le Seigneur, Dieu Tout puissant. Les cieux et la terre sont remplis de Sa gloire. Amen.
Le Seigneur me dit encore :
- Si eux Me louent, qui êtes-vous, vous, pour ne pas louer et glorifier celui qui est mort pour vous et vous a donné la vraie vie.
Le temps est venu de louer Dieu et de lever les mains, mais des mains pures.
Un fleuve d'eau vive est sorti de ce trône, j'ai vu aussi l'arbre de vie, et à l'autre extrémité je voyais l'arc-en-ciel et la mer de cristal.
Et je demandai au Seigneur :
- Qui est celui qui est sur le trône ?
Et Il m'a répondu :
- C'est Mon Père, Dieu, Seigneur des armées.
Et je Lui dis :
- Laisse-moi voir le Père.
- Non ! Il n'est pas encore temps.
Mais là-bas, il y avait un Dieu Merveilleux, Puissant. Je voyais le tonnerre et des éclairs qui sortaient de ce trône. J'entendais la louange. Et le Seigneur reprit la parole, et dit :
- Entends-tu la louange ?
Ces louanges, ce sont vous, les rachetés.
Je regardais, et j'ai vu sept anges qui tenaient chacun une coupe en or, et sept autres anges qui tenaient chacun une trompette. Ces anges m'ont profondément touchée.
Je demandais au Seigneur qui étaient ces anges.
- Les sept coupes que tiennent les anges, remplies de la colère de Dieu, seront bientôt versées sur les habitants de la terre.
Le Seigneur m'a dit quelques paroles très importantes :
- Lorsque ces coupes seront versées, et que les trompettes retentiront, Mon peuple sera déjà enlevé, il ne sera plus sur la terre, lors de la grande tribulation. Avant que se manifeste l'inique, cet homme de péchés, Mon peuple entendra les dernières notes des trompettes et nous nous rencontrerons dans les nuées.
Oh ! Église du Seigneur, je me trouvais encore devant le trône, je n'avais plus la notion du temps. Un moment s'est écoulé, lorsque le Seigneur m'a montré comment Son Église allait être enlevée. Des milliers de gens disparaissaient. Dans les hôpitaux, les nouveau-nés disparaissaient aussi. Les parents bouleversés, cherchaient désespérément leur enfant. Le monde entier était consterné. La radio et la télévision donnaient la nouvelle ; les journaux, par de gros titres en rouge, donnaient aussi la nouvelle.
Le Seigneur me dit :
- La nouvelle paraîtra bientôt.
Si les jugements de Dieu ne sont pas encore tombés sur la terre, c'est grâce à Mes fidèles, ceux qui M'aiment.
Et quand j'ai vu que le peuple de Dieu était enlevé au ciel, que les gens cherchaient ceux qui avaient disparu, je voyais l'homme de péchés faire son apparition, en s'adressant au peuple en ces termes.
- Je vous apporte la paix et la sécurité. Et aussitôt, les gens avaient déjà oublié l'événement qui venait d'avoir lieu. Ensuite, il y a eu la paix, de l'argent en quantité, du travail. Les gens se disaient : ''Celui-ci est celui qui vient résoudre tous les problèmes''.
Il s'est écoulé encore un peu de temps, et le Seigneur reprit la parole, et dit :
- Regarde bien et sois attentive.
Et, j'ai vu les anges avec les sept coupes ; ce qui se passait ensuite était affreux.
J'ai vu les anges verser les sept coupes de la colère de Dieu, et les trompettes commençaient à sonner. Je ne pouvais pas supporter ce que je voyais, je m'agrippais au Seigneur. Les jugements se succédaient sur les habitants de la terre. Des pays entiers disparaissaient. J'ai vu une guillotine sanglante. Le Seigneur me dit :
- Regarde ! Tous ces gens faisaient partie de Mon peuple, dans le passé ; ils étaient pasteurs.
Je ne comprenais pas très bien tout cela, et je demandais au Seigneur :
- Comment se fait-il que Ton peuple soit resté aussi nombreux dans la grande tribulation ? Comment se fait-il qu'il y ait des pasteurs, eux qui ont prêché Ta Parole ?
Et Il m'a répondu :
- Oui, ils ont prêché Ma Parole, mais ils ne vivaient pas conformément à cette parole. Non seulement il faut prêcher Ma parole, mais il faut aussi la vivre.
Puis le Seigneur m'a fait voir une autre multitude de pasteurs, et Il dit :
- Ceux-là ne prêchaient pas Ma parole ; car au temps où ils vivaient, Ma parole ne s'adaptait pas à ce siècle, telle qu'elle est écrite. Ils avaient beaucoup d'égards pour les personnes qui donnaient la dîme la plus élevée, car ils étaient intéressés par tout ce qui était matériel.
Ensuite, le Seigneur m'a dit des choses très belles.
- Va, et dis à Mes serviteurs que c'est Moi qui les ai appelés, que l'or et l'argent M'appartiennent, et que Je leur distribuerai selon Ma grandeur et Ma gloire. Il faut prêcher Ma Parole telle qu'elle est. Ils sont nombreux ceux qui disent que Ma parole n'est pas interprétée comme il se doit. Mais on ne peut pas changer Ma Parole. Telle qu'elle est écrite, elle doit être prêchée. Dans Mon peuple, ils sont nombreux ceux qui adultèrent Ma Parole.
Ensuite, j'ai vu une porte très belle. Et nous sommes arrivés dans un salon de cette nouvelle Jérusalem. Et le Seigneur me dit :
- Ce que tu vois, c'est le Paradis.
Et là, j'ai vu tous les apôtres qui ont vécu avec le Seigneur Jésus. Et je Lui demandais :
- Seigneur, où est Abraham ?
Je m'attendais à voir un vieillard. Et, tout à coup j'ai vu s'approcher un jeune homme âgé d'environ 25 ans. Et le Seigneur me dit :
- Voici Abraham, c'est le père de la Foi.
Là-bas, il n'y avait pas de supériorité, tout le monde était à égalité. Dans ce ciel merveilleux, tous louent et glorifient le Seigneur.
Le Seigneur a fait appeler une femme d'une beauté inexprimable, comme toutes celles que j'avais vues là-bas. Et Il me dit :
- Celle-ci, c'est Marie. Va, et dis à tous que Marie n'est pas la reine du ciel, que le Roi du ciel c'est Moi, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs.
Celui qui dit : Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. C'est seulement à travers Jésus-Christ que l'on arrive au Père.
Va, et dis encore à cette humanité qui a les yeux bandés, qu'il n'existe pas de purgatoire, car s'il y en avait eu un, Je te l'aurai fait voir.
Il y a l'enfer que Je t'ai fait voir, le lac de feu, la précieuse Jérusalem et le Paradis ; mais il n'y a pas de purgatoire, dis-le leur. C'est un mensonge du diable et de l'homme, pour leur bénéfice. Il n'y a pas de purgatoire.
Le Seigneur m'a conduite ensuite dans un arsenal, où il y avait des habits blancs de fin lin. Et je Lui demandais :
- Qu'est-ce que ces habits blancs ?
Il m'a répondu :
- Ils sont prêts, car bientôt ils vont être utilisés pour les noces de l'Agneau.
J'ai vu aussi un autre arsenal de couronnes.
- Ceci, ce sont les couronnes de la vie.
Nous sommes arrivés ensuite vers un autre lieu, où se trouvait un grand livre.
Je n'osais pas m'en approcher, mais le Seigneur me dit :
- Approche-toi. C'est le livre de la vie.
Et à aucun moment, je n'avais pensé que j'avais des enfants et un époux.
Le Seigneur me dit encore :
- Qu'est-ce que tu vois ?
Je voyais ma congrégation, mais je ne voyais pas le nom de cette congrégation. Je l'ai cherché, je ne l'ai pas vu. Je voyais les gens de cette congrégation qui chantaient et prêchaient. Je demandais :
- Pourquoi le nom des frères de ma congrégation n'est-il pas inscrit dans le livre ?
Et Il me dit :
- À cause des mauvaises actions qu'ils commettent sur la terre.
Ensuite, j'ai vu quelque chose de merveilleux. J'ai vu comment, plus tard, ces frères allaient se réconcilier avec Jésus, sur la terre.
Deuxième expérience :
Dans ma maison, nous faisions une réunion, nous étions en tout une vingtaine. La première chose que nous faisions, c'était de louer et d'adorer le Seigneur. Et soudain, nous avons senti la présence de Dieu, avec une telle force et une telle puissance que c'était vraiment la Pentecôte. Je me souviens que la maman de mon mari, une femme très âgée, mais très active dans l'œuvre du Seigneur, venait me dire :
- Bernarda ! Il faut baisser un peu la voix pendant la louange, car nous faisons beaucoup de bruit.
C'est vrai que nous faisions beaucoup de bruit. La louange ressemblait au bruit d'une cascade d'eau. Je me suis levée, dans l'intention de dire à mes frères de baisser la voix, lorsque j'ai entendu la voix du Seigneur me dire :
- Ne dis rien ! Car dans le monde, lorsqu'il y a tapage, nul n'y prend garde. Alors, pourquoi arrêteriez-vous la louange ?
Nous avons donc continué à louer et glorifier le Seigneur, et j'ai senti que quelque chose de très grand allait arriver. Et, subitement je me suis souvenue des paroles que m'avait dites le Seigneur, lorsque j'étais montée au ciel la première fois. Il m'avait dit : ''Je viendrai te chercher et tu resteras avec Moi ''. Alors, j'ai loué le Seigneur.
- Oh ! Seigneur, il n'est pas encore venu le temps que je m'en aille avec Toi, car je dois d'abord porter le message à Ton peuple pour qu'il soit prêt.
Le Seigneur ne me fit aucune réponse.
Tout à coup, j'ai vu une lumière éclatante qui inondait ma chambre ; tous mes frères ont vu aussi cette lumière. Et tous se sont mis à genoux devant la puissance de ce Dieu Vivant et Véritable. Je ne savais que faire, je suis restée immobile. Cette lumière devenait de plus en plus intense, et prenait une forme humaine, j'avais devant moi ce Dieu Glorieux, avec un regard serein, un visage magnifique et plein d'amour. Je n'ai jamais vu, ici sur terre, une telle expression sur un visage d'homme. Il allait et venait dans la chambre. Il s'approchait de chacun de mes frères. Je voulais dire à ces frères que Dieu était venu pour m'emmener. Au moment où j'allais parler, les paroles ne me venaient pas dans ma langue courante, mais en d'autres langues, (1er Corinthiens, chapitre 14). Le Seigneur s'est approché de moi, et sans dire un mot, mais en me regardant seulement, mon esprit est sorti de mon corps ; ce corps ensuite est tombé. Mon esprit se mouvait dans l'air, et je voyais tout ce qui se passait dans la chambre. On sonna à la porte. Mon mari alla ouvrir, et se trouva face à deux policiers qui lui dirent :
- Nous avons appris qu'une femme est décédée, nous voudrions savoir ce qui s'est passé.
Mon mari leur avait répondu : Non, non, ici, nous nous réunissons pour louer et adorer le Seigneur.
Les policiers doutaient de cette réponse, voulaient pénétrer dans la maison, puis finalement ont renoncé, en disant :
- Bon ! ça va ! Continuez mais faites un peu moins de bruit.
Ensuite, le Seigneur m'a prise par la main, et transportée vers la République Dominicaine. Lorsque nous sommes arrivés dans la capitale, le Seigneur me dit :
- Tu viendras bientôt dans ce pays, car il y a deux grands péchés devant Mon père : ce sont la sorcellerie et l'idolâtrie.
Je voyais les gens de ce pays qui se précipitaient vers la sorcellerie et les idoles.
Puis le Seigneur reprit la parole, et dit :
- Mon serviteur, YIYE AVILA, arrivera avant toi dans ce pays, et, lorsqu'il en partira, c'est toi qui y arriveras.
En effet, je n'ai pas rencontré ce frère pour lui transmettre le message. Tout s'est passé comme le Seigneur l'avait dit.
Après, le Seigneur m'a transportée au Venezuela, et Il m'expliquait qu'il y avait dans ce pays les mêmes péchés que dans la République Dominicaine, et, que si le peuple ne se repentait pas, le jugement tomberait sur ce pays.
De là, Il m'a encore transportée cette fois au Mexique. Et là, Il m'a dit de ce pays exactement la même chose que pour les deux autres. Je voyais des autels, où des gens se réunissaient pour adorer le démon. Le Seigneur me dit :
- La pestilence de ce péché est montée devant Mon Père.
Le premier signe que Je te donne, c'est qu'il y aura au Mexique un tremblement de terre, s'ils ne se repentent et ne reviennent à Moi.
Je suis allée au Mexique pour leur faire part de ce message, et qu'il fallait qu'ils abandonnent la sorcellerie et l'idolâtrie, qu'ils se repentent sinon le jugement allait tomber sur eux. Lorsque j'ai appris la nouvelle concernant le tremblement de terre qu'il y a eu récemment au Mexique, je me suis agenouillée devant le Seigneur, et je Lui ai dit :
Par cette nouvelle, j'ai compris qu'ils ne se sont pas détournés de leurs péchés, car Tu m'avais dit que s'ils revenaient vers Toi, le jugement ne tomberait pas.
Je voyais des jugements terribles. Le Seigneur me dit :
- La main de Mon Père est étendue sur tous les habitants de la terre, mais pas pour bénir.
J'ai vu la mer qui se soulevait avec des vagues gigantesques. Je la regardais, elle ressemblait à un monstre. Je voyais aussi des ouragans qui arrivaient sur la terre. Sachant que dans ce lieu, il y avait beaucoup de chrétiens, je posais cette question au Seigneur :
- Seigneur ! Lorsque tout cela arrivera, que deviendra Ton peuple ?
Et Il m'a répondu :
- Va leur dire qu'à ceux qui Me sont fidèles, pas un cheveu de leur tête ne sera touché.
Ensuite, le Seigneur m'a emmenée encore dans un autre lieu. J'ai vu que par endroits, la terre était fendue. Le Seigneur me dit :
- Bientôt, de nombreux pays seront engloutis.
Puis, nous avons quitté ce lieu pour aller dans un autre, où il y avait des eaux très agitées. Nous sommes entrés dans ces eaux, et nous sommes arrivés au cœur de la terre, par un tunnel. J'ai vu de grandes portes, ce n'était pas les mêmes que celles que j'avais vues dans ma première expérience.
A ces portes, il y avait de grandes chaînes. Le Seigneur s'était approché de ces portes pour enlever ces chaînes. Il m'a fait entrer, Il était très pressé. C'était un tunnel très long, on n'en voyait plus la fin. J'étais figée par le spectacle que j'avais devant les yeux. Je voyais des multitudes de gens, la tête baissée, portant des habits déchirés, attachés par de grosses chaînes qui faisaient un vacarme assourdissant. Et je dis :
- Mais qu'est-ce que cela veut dire, Seigneur ?
Il m'a répondu :
- Cette humanité marche vers l'enfer.
Je dis encore :
- Seigneur, Tu es le Dieu de la miséricorde.
Dans la foule, j'avais reconnu un visage qui m'était très familier. C'était le frère aîné de mon mari, Adolfo. C'était un homme très dur, il maudissait Dieu, se mariait et divorçait chaque année.
Je suppliais le Seigneur de me laisser repartir un moment sur la terre, afin de prévenir Adolfo qu'il allait en enfer.
Le Seigneur ne m'a pas répondu.
Et, j'ai vu une dernière fois Adolfo et sa femme marcher vers le tunnel, au bord même de l'enfer. J'ai encore supplié le Seigneur de me laisser aller vers le monde, pour lui dire qu'ils sont trop nombreux ceux qui vont dans ce lieu. Le Seigneur leva les mains et, d'une voix forte et sur un ton de défi, me dit :
- Va, et dis-leur que le temps touche à sa fin.
Il m'a répété trois fois cette phrase, et Il dit encore :
- Des milliers et des milliers de gens iront en enfer. Le temps pour Adolfo est terminé, il va bientôt mourir.
Un jour, mon beau-frère Adolfo, rentra du travail plus tôt, et dit à sa femme :
- Je ne peux plus travailler, quelque chose me dit que je vais mourir.
Et sa femme lui répondit :
- Tu es ivre, comme d'habitude.
Puis ils sont allés tous deux se coucher. Quelques minutes plus tard, elle eut une vision. Elle se voyait avec son mari, dans un tunnel, vêtus de vêtements sales, se dirigeant vers l'enfer. Puis elle entendit la voix du Seigneur qui lui dit :
- Votre temps à tous les deux est fini.
Le Seigneur me dit :
- Sais-tu pourquoi Je t'ai fait venir encore une fois dans ce lieu ?
C'est pour te faire voir que lors de ta première visite ici, les perdus étaient moitié moins nombreux que cette fois.
Oh ! Église du Seigneur, prenons moins de temps pour nous-mêmes et occupons-nous de cette humanité qui se perd. Il faut travailler dans ce sens, et annoncer que Jésus-Christ revient.
Puis, nous sommes sortis du cœur de la terre à la vitesse d'un éclair, et nous sommes arrivés au premier ciel, puis au deuxième. Lorsque nous avons atteint le troisième ciel, je voyais des anges qui s'agitaient, en allant d'un côté et d'un autre, alors que je n'avais pas vu cela lors de ma première visite. Je demandais au Seigneur :
Pourquoi ces anges s'agitent-ils ?
Il me répondit !
- C'est vrai qu'il y a une grande agitation, mais Je vais t'expliquer pourquoi. Je vais d'abord te faire voir l'agitation qu'il y a sur la terre. Prends bien garde aux démons qui envahissent l'humanité. Les démons et le diable s'élancent furieusement contre elle et contre Mon peuple. Sais-tu pourquoi ? C'est parce qu'il reste très peu de temps.
Le Seigneur m'avait permis de les voir dans une colère terrible.
Il me dit encore :
- Ces démons sont des démons d'adultères. Ils vont attaquer des milliers de Mes serviteurs, et beaucoup vont tomber dans ce péché. Cessez de mettre toute votre confiance en vous-mêmes, car c'est en Moi que vous devez avoir pleinement confiance. Sais-tu pourquoi le diable a une porte ouverte ? Parce qu'ils volent Ma gloire et la prennent pour eux, ils en deviennent très orgueilleux et l'orgueil est le premier péché. La gloire doit être toujours pour Moi. La deuxième porte que le diable a ouverte, c'est parmi les ministres de l'Evangile. Il y a en leurs femmes un grand désordre spirituel. Elles n'ont pas bâti leur maison avec la sagesse de la femme vertueuse.
Oui, il y a une très grande agitation des démons, mais il y a aussi une très grande agitation dans le ciel.
Je voyais une multitude d'anges, impossible à compter, équipés pour la bataille. Le Seigneur me dit :
- Maintenant, cette multitude d'anges, Je l'envoie sur la terre, pour qu'elle protège Mon peuple. Dans les derniers jours, la garde sera doublée.
La garde du diable sera doublée aussi, mais vous ne devez pas oublier que votre Dieu est Grand et Puissant. Si tu es attachée au Seigneur, rien ne t'arrivera.
Le Seigneur m'a de nouveau emmenée vers l'arsenal de couronnes, mais elles n'étaient plus là.
Je demandais au Seigneur, où étaient passées les couronnes. Il ne me répondit pas. Nous sommes allés ensuite vers l'arsenal où se trouvaient les habits blancs de fin lin, mais ils n'étaient plus là non plus. Je reposais la même question au Seigneur, et Il ne me répondit toujours pas.
Il m'amena ensuite dans un autre lieu. Et, j'ai vu une table immense, autour de laquelle se trouvaient des chaises en or, et sur chacune d'elle, un nom était inscrit, une robe de fin lin était posée. Face à chaque chaise, sur la table, étaient disposées les couronnes.
Lors de ma première visite, j'avais vu la table et les chaises, mais les robes et les couronnes étaient dans un arsenal.
- Mon frère, si tu es intelligent, tu comprendras que tout cela signifie que très bientôt nous allons partir pour célébrer la Sainte Cène avec le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs. Gloire à Dieu, quelle merveille !
Puis, j'ai remarqué une chaise bien plus grande que les autres, et, devant cette chaise, une gigantesque coupe en or.
Et le Seigneur me dit :
- Va voir ce qu'il y a dans la coupe.
Elle était remplie de vin, prête à l'usage. Il me dit encore :
- Sais-tu pourquoi ? Va et dis à Mon peuple que cela ne veut pas dire que Je reviens bientôt, mais que Je suis déjà là.
Puis, le Seigneur m’a tendu une robe de lin, et m'a demandé de m'en revêtir.
Il fit de même avec une couronne, que je posais délicatement sur ma tête.
Ensuite, Il m'a emmenée dans un autre lieu, que j'appelais, ''le miroir de Dieu''.
Je me regardais, et Il me dit :
- Il n'y a pas de taches et de faux plis, n'est-ce pas ?
- Non, Seigneur.
- Personne n'entrera par cette porte, ni prendra place à cette table, s'il n'est revêtu de cet habit (vie sans reproche devant Dieu). Certains parmi Mon peuple sur la terre ont sali cet habit, d'autres l'ont froissé, et d'autres encore l'ont mis de côté et l'ont oublié. Dis à Mon peuple qu'il est temps de laver cet habit, pour ceux qui l'ont sali, de le repasser, pour ceux qui l'ont froissé et de le reprendre, pour ceux qui l'ont oublié. Ils doivent pour cela demander au Saint-Esprit de les aider à remettre leur habit en état.
- Le Roi va bientôt célébrer les noces dans le royaume de Mon Père.
Le Seigneur a pris ma main, et m'a conduite au paradis. Lorsque j'y étais allée la première fois, le Seigneur m'avait promis quelque chose.
Je suis d'une famille dont mes parents sont divorcés. J'ai vécu avec mon père.
Ma mère est une femme très religieuse, et mon père, athée. J'ai une sœur dans un couvent, (je sais que bientôt, elle sortira de ce couvent pour prêcher l'évangile de Jésus-Christ, avec moi). En pensant à ma mère qui vit dans une religion néfaste, je pleurais devant le Seigneur, en lui disant :
- Seigneur, ma mère va se perdre. Pourtant, je lui ai tant parlé de Toi, mais elle ne m'a jamais écoutée. Elle s'attache de plus en plus à cette religion païenne.
Voici ce que le Seigneur m'avait promis, Il dit :
- Je sauverai ta mère, mais Je vais la prendre tout de suite, car elle ne va pas persévérer dans le salut.
Pendant ces années, je pleurais, je soupirais, je rappelais au Seigneur la promesse qu'il m'avait faite, car je voyais ma mère s'accrocher de plus en plus à l'idolâtrie de sa religion.
Le Seigneur a utilisé mon fils pour le salut de sa grand-mère, et trois jours plus tard ma mère mourait.
Lors de ma deuxième visite au Paradis, le Seigneur me faisait voir qu'Il avait tenu sa promesse. Il me dit :
- Regarde ! Ce que Ma bouche dit, Ma main l'accomplit.
Et j'ai vu ma mère, je l'ai reconnue parmi beaucoup d'autres femmes qui attendent que le nombre des élus soit complet, et que l'Église soit enlevée.
Oh ! Église du Seigneur.
Le Seigneur m'a conduite ensuite dans un lieu où il y avait une multitude d'enfants vêtus de blanc, qui louaient et glorifiaient Dieu.
Le Seigneur me dit :
- Tu vois ces enfants ? Ce sont les bébés qui ont été avortés par des parents et des médecins criminels. Des bébés que l'on tue jour après jour dans le ventre de leur mère, et que l'on retrouve dans des poubelles et des rivières. Ces enfants, tu vois, ils sont là.
Oh ! Quel Dieu merveilleux nous avons !
- Contrairement à ce que beaucoup croient, le fœtus est vivant dès la conception. Dès que la femme est enceinte, la vie est là.
Le Seigneur me dit encore :
- Travaille avec beaucoup de précision, sans répit. Travaille, Je suis ta force. Ce message doit être diffusé dans le monde entier. Ce message est pour tous, toi inclus, et les pasteurs inclus. Que celui qui est saint se sanctifie encore davantage.
A cet instant, les portes du ciel se sont ouvertes, il y avait un escalier magnifique. Le Seigneur a fait appeler une multitude d'anges qui sont venus.
Ce même Seigneur qui était venu prendre mon esprit me raccompagnait à mon foyer.
Lorsque nous sommes arrivés dans ma maison, j'ai vu mon mari et les frères chrétiens qui attendaient le retour de mon esprit.
Le Seigneur avait transformé mon mari et ces frères.
Je regardais mon corps de chair qui était resté par terre, il avait les yeux complètement enfoncés et les lèvres boursouflées. Je dis au Seigneur :
- Oh non ! Seigneur, je ne veux pas retourner dans ce corps si laid, je veux repartir avec toi.
- Tu ne peux pas revenir avec Moi, car ce n'est pas encore ton temps.
Tu dois d'abord porter ce message à Mon peuple pour qu'il soit prêt.
Et d'une voix puissante, Il ajouta :
- Entre et reçois vie !
Et mon esprit a commencé à bouger en tremblant, parce que cet ordre-là n'a pas été donné par un homme quelconque ou par un prophète quelconque.
Cet ordre a été donné par celui qui est la VIE.
Le Seigneur s'approcha de mon corps, et dit une fois encore :
- Entre et reçois vie !
Je suis la Résurrection et la Vie, et celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort.
Église du Seigneur ! Ce message que je vous donne, c'est le Seigneur qui vous l'envoie ; afin que vous soyez prêts.
(Traduit par Madame A. Bernard)
« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils ont gratuitement justifiés par Sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » Romains 3. 23. 24
La prière
Extrait de ''FE EN MARCHA'' (traduit de l'espagnol)
Prier, c'est parler avec Dieu. Il est nécessaire de lui parler souvent. Pour grandir spirituellement, il faut prier en abondance. A Gethsémané, Jésus a dit à Ses disciples : '' Priez afin que vous ne tombiez pas en tentation.'' La prière nous fortifie pour repousser les tentations du diable.
D'autres sont tièdes par manque de prières abondantes et efficaces. Des multitudes de chrétiens évangélistes resteront dans la grande tribulation faute d'avoir suivi le Christ dans Sa demande de prières abondantes.
Jésus a dit : '' Veillez donc et priez en tout temps afin que vous ayez la force d'échapper à toutes les choses qui arriveront et de paraître debout devant le Fils de l'homme '' (Luc 21. 36)
Des hommes comme David et Daniel priaient trois fois par jour. Un homme comme Paul pouvait dire que sa vie était faite de prières, de jeûnes et de veilles : en d'autres mots, de profonde communion avec Dieu. C'est de cette manière que nous serons plus que vainqueurs. Alléluia !
Il y a des secrets de prières dans la Bible qui sont décisifs pour notre victoire spirituelle. L'un d'entre eux est de lier les démons. Le nom de Jésus est l'instrument puissant de la lutte contre le diable. En Son nom, nous chassons les démons des êtres chers qui étaient opprimés, et nous croyons par la foi à leur libération.
Puisque nous l'avons fait avec l'autorité de Dieu, nous affirmons que la victoire est acquise. Ne permettez pas au diable d'opprimer vos pensées. Engagez-vous dans le bon combat de la foi. Croyez de tout votre cœur que ce que dit la Parole de Dieu est vrai.
Si vous les avez liés en Son nom, ils sont liés. Ne permettez pas à votre esprit d'en douter. N'essayez pas de régler vos problèmes avec votre intellect ; cela n'amène que confusion, préoccupations et échecs.
Dans le Nom de Jésus et dans la Parole de Dieu est la victoire. Si vous avez utilisé le Nom et cru à la Parole, c'est fait, même si vous ne le voyez pas. Maintenez-vous fermes dans la foi, ne faites pas un seul pas en arrière, ne vous permettez pas une seule pensée négative. Par la parole vous l'avez obtenu, et en le confessant vous glorifiez Dieu : Il ne peut faire défaut. Gloire à Dieu.
Un autre secret décisif pour la victoire spirituelle, c'est de faire de la prière notre occupation première. Si vous le faites, Dieu vous oindra chaque jour un peu plus pour prier. En tout il faut s'efforcer ; si chaque jour vous priez plusieurs fois, vous serez plus efficaces dans cette tâche qui est source de Vie... et vous serez un vainqueur, et une grande bénédiction pour l'église de Jésus-Christ.
Amen.
Évangéliste Yiye Avila
1 Thessaloniciens 4. 17 :" Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur."
Ce qui suit m’a été révélé le matin du 11 décembre 1952 à Bergen (Norvège), alors que je lisais une brochure, et que j’étais loin de penser à l’enlèvement de l’Église. Je me sentis poussé de l’écrire, car cette vision m’avait bouleversé, mais cependant, des doutes subsistaient en moi. Je dis à Dieu : ‘’Je ne puis me souvenir de tout. Si tu veux que je l’écrive, donne-moi encore une fois cette révélation. Après quelques semaines, ‘’elle’’ vint à nouveau. Il était dix heures du soir, et ce fut comme si quelqu’un s’asseyait à mes côtés pour lire un rapport dans un journal. De suite je pris un crayon et un cahier, et je me mis à écrire sans discontinuer jusqu’à près d’une heure du matin. Arrivé là, n’en pouvant plus car j’avais alors 79 ans, je priais le Seigneur lui demandant de pouvoir me reposer. Je lui proposais de bien vouloir me donner la suite le jour suivant, si toutefois il avait davantage à me montrer. Je m’étendis sur mon lit et m’endormis aussitôt. Une semaine plus tard, également à 22 heures, je reçus à nouveau cette vision. En fait, c’était une continuation de la précédente. Elle commençait exactement à l’endroit où nous nous étions arrêtés la dernière fois. Je souhaite que ces quelques lignes servent au réveil des âmes.
Il est 9 heures du matin, Mme Anderson, assise devant le poste de radio, écoute ‘’l’heure des enfants’’. Elle trouve le programme à son goût aujourd’hui. Cette émission mélange un peu de religion à son programme –juste ce qu’il faut, afin de ne rien exagérer. Alors que l’émission se poursuit depuis 4 à 5 minutes celle-ci s’interrompt subitement. Une nouvelle sensationnelle : Oslo, la capitale est dans une horrible panique : La police communique qu’un événement inexplicable vient de se produire. Un grand nombre d’enfants et d’adultes ont disparu sans laisser aucune trace. On ne sait encore le nombre de disparus, il est si grand que les autorités sont impuissantes pour entreprendre des recherches. Elles demandent aux familles touchées par cet événement de fournir des informations détaillées sur le lieu et l’heure des disparitions, car cela est indispensable pour faire face à la situation et en éclaircir les causes ; quelques vendeurs avaient disparu alors qu’ils exerçaient leur travail. Une dame, qui achetait des fleurs, vit le fleuriste qui cherchait la monnaie à lui rendre disparaître subitement. Elle entendit bien qu’ïl disait : ‘’Merci Jésus’’, mais elle ne le vit plus. Elle se frotta les yeux, car il lui semblait avoir du brouillard devant elle, mais l’homme n’était plus là, et le brouillard avait également disparu. Une jeune femme hurlait à faire frissonner jusqu’à la moelle des os. Elle cherchait dans une poussette vide, criant : ‘’Quelqu’un a volé mon enfant : C’est un garçon de 8 mois. Où est-il ? Où est la police ? ’’ La police était bien là, mais que pouvait-elle faire ? De toutes parts, on criait et un grand tumulte se faisait entendre. Un commerçant de forte taille sortit de son magasin en criant : ‘’Au secours’’ : Deux de ses vendeuses venaient de disparaitre de derrière l’étalage.
Qu’était-ce donc que cela ? Stockholm annonçait aussi la disparition de beaucoup de personnes et la ville était plongée dans la panique. On rapportait que même plusieurs gendarmes avaient disparu. Maintenant, pareilles nouvelles arrivaient de Copenhague et d’Helsinki. Les informations parvenues de la campagne annonçaient de plus en plus de disparitions. Partout des enfants et des adultes manquaient. La police ne sut pas qu’entreprendre, face à ce mystère. Mme Anderson se leva en soupirant : ‘’Mon Dieu, mon Dieu, qu’est-ce que cela ?’’ Elle sortit de son jardin et regardant dans la rue bordée de coquettes villas environnées de beaux jardins, elle vit accourir Mme Holland qui, les mains en visière sur ses yeux criait : Ruth ! Ruth ! Lorsqu’elle aperçut Mme Anderson, elle lui demanda : ‘’As-tu vu passer un étranger par ici ? Ruth a disparu. Elle était assise devant notre maison sur l’escalier, pendant que je m’occupais des rosiers, et subitement elle a disparu ! Plus de trace d’elle ! Je l’appelais et criais ! Ruth. Mais personne ne répondit. J’avais l’impression que quelque chose avait passé dans la rue, mais je suis toute troublée car je ne comprends plus rien. Ruth ! Où es-tu ? Qui l’a enlevée. Mme Holland pleurait dans son désespoir.
Maintenant, c’est Monsieur Anderson qui arrive. ‘’Comment, tu viens déjà ? Ce n’est pourtant pas l’heure, il n’est que 9 heures ½ ?’’ lui dit sa femme. ‘’Je n’ai plus envie de travailler lui rétorque-t-il. ‘’Dans notre atelier tout est en désordre, car beaucoup d’ouvriers ont disparu. On supposait d’abord que des accidents en étaient responsables et nous avons fait des recherches, mais sans trouver la moindre trace d’eux. Alors, un homme qui fréquentait des réunions et qui se disait chrétien se mit à dire : ‘’Maintenant c’est arrivé : ‘’Quoi, lui ai-je demandé ? ‘’Jésus a enlevé les siens’’ me dit-il en se tordant les mains. Il pleurait éperdument en continuant de dire : ‘’Et moi je suis resté ici’’. Je le priais de cesser de dire des bêtises, mais il sanglotait de plus en plus, et c’était vraiment terrible de l’entendre. Certainement que d’autres se trouvent dans la même situation. Je pense qu’on devra faire des heures supplémentaires ce soir. ’’En ville, la situation est plus mauvaise encore. Un embouteillage monstre s’était créé, car des conducteurs d’autobus et de voitures privées avaient été enlevés et beaucoup de passagers avaient disparu. Les tramways durent s’arrêter, bloqués comme les bus et les taxis, formant de longues files dans les rues. Parmi cet embouteillage, les voitures ayant encore des conducteurs cherchaient à se frayer un passage. Les gens étaient comme fous, courant çà et là en cherchant leurs disparus. La police était impuissante.
Mme Holland rentra en pleurant, ainsi que monsieur et madame Anderson. Le poste de Bergen disait : ‘’De tous côtés on annonce des personnes disparues. Toute la matinée, le téléphone a sonné. Les gens questionnent ou apportent leur témoignage. Sur mer, de nombreux bateaux annoncent des personnes disparues. À la maternité, tous les nouveau-nés ont disparu et les employées sont effrayées ; Parmi les sœurs religieuses, quelques-unes manquent à l’appel. À l’asile des vieillards, plusieurs ont disparu’’. De Londres cette fois, à 11 heures, la radio communique que ce matin dès 9 heures, des nouvelles arrivaient subitement de toutes les parties de l’Angleterre annonçant la disparition d’une multitude d’enfants et d’adultes sans qu’ils aient laissé la moindre trace. Aucun n’a été retrouvé. C’est un grand mystère. Quelques pasteurs ont convoqué les membres de leur communauté, et ils ont découvert que les plus pieux, les plus fidèles dans la prière ont disparu. Une partie des pasteurs manque aussi. L’évêque d’une grande Église a convoqué le corps pastoral pour ce soir. Trois heures et demie se sont écoulées depuis le premier rapport venu d’Oslo, et ceux-ci continuent d’affluer de tous les pays. La nouvelle la plus sensationnelle vient d’Extrême-Orient, de la Corée où l’on évalue le nombre des disparus à plusieurs centaines de milliers, parmi lesquels beaucoup de soldats. Les évènements qui se succèdent sont impossibles à décrire au fur et à mesure. Tous sont profondément effrayés. Dans les rues, les gens cherchent désespérément les leurs, particulièrement les mères privées de leurs enfants. Par contre, plusieurs se moquent et maudissent aussi bien Dieu que les hommes. Un homme arrive en courant, criant : ‘’Attention, attention nous serons bientôt tous enlevés’’. Il a probablement perdu la raison. Au coin d’une rue, les mains jointes et les yeux levés au ciel, une femme âgée dit : O non, si nous ne nous sommes pas préparés à temps, maintenant plus personne ne sera enlevé. Seigneur aie pitié ! Maintenant, c’est arrivé ! J’ai toujours été religieuse, mais je ne pensais pas qu’il viendrait si tôt. Je ne pensais pas que ce soit aussi sérieux !’’
La direction des chemins de fer communique qu’aucun accident ne s’est produit jusqu’ici. Seul un convoi est demeuré à Finse sans conducteur, ni contrôleur. L’ordre a été donné à tous les surveillants de chercher le long des voies les personnes qui auraient éventuellement sauté du train car plusieurs voyageurs sont portés manquants. Pareillement, des nouvelles venaient des bateaux faisant le service des côtes et des Fjords. Les journaux du soir publiaient une manière d’explication, recommandant que tous restent calmes et raisonnables. La police et les autorités font tout leur possible pour publier un rapport sur le nombre de personnes disparues. Les savants, particulièrement les météorologues travaillent à trouver le plus vite possible la cause de ce phénomène extraordinaire.
On vient d’apprendre des États-Unis que les rapports commencent d’affluer à la police. Les nouvelles sont pareilles à celles de Norvège. D‘ énormes difficultés de circulation eurent lieu et l’on déplore la perte de vies humaines. Les journaux annoncent pour le lendemain un aperçu plus complet de ce qui est arrivé dans les différents États. Vingt heures. Il ressort des nouvelles parvenues du monde entier que tous ont été surpris de la même manière par cette catastrophe. Les rapports sur le nombre des disparus arrivent principalement des villes mais aussi des campagnes. Dans l’hémisphère sud, pareilles choses se sont produites. Une terrible inquiétude règne partout. Les gens n’osent pas se coucher, et l’on discute jusqu’à l’hystérie dans les rues sur ce qui s’est passé. De plus en plus, la conclusion est que tout cela se trouve en rapport avec les chrétiens et le christianisme. Ceux qui ont connu les disparus disent, en accord avec la parenté, que ceux-ci étaient exclusivement des chrétiens fanatiques et d’innocents enfants. Un ouvrier de brasserie racontait ce soir. «Oui, Hans Olson est loin. Il lui est arrivé ce qu’il croyait et prêchait par ici, disant que bientôt, Jésus allait venir le chercher’’. Oui, répondit un autre, nous en avions aussi un pareil qui a été emporté. Mais maintenant les autorités vont bien prendre les choses en main et interdire toute religion, afin que pareille chose ne se reproduise plus. ‘’Oh, non, s’écria un autre, non cela n’arrivera plus jamais ! Ils ont tout de même eu raison ces chrétiens, car ils avaient un pressentiment. Oh ! si seulement nous les avions écoutés, nous serions maintenant dans une meilleure situation, au lieu de devoir vivre dans cet enfer, dans ce chaos. Et je crains que cela empire. ‘’Ah ! Si tu croyais en eux, pourquoi donc n’es-tu pas parti avec eux ? Lui rétorqua un autre. ''Je souhaite bien d’avoir pu le faire‘’, dit-il, puis il s’en alla. Quelqu’un cria après lui, ‘’On devrait te pendre, toi et tous ceux qui s’occupent de ce christianisme imbécile !’’
Le lendemain de ce jour, les journaux ne pouvaient encore donner d’explications à ce mystère. Les rapports de tous les pays concordaient. Des champs de mission, les nouvelles disaient que les chrétiens avaient disparu en masse. Seul, un petit nombre de pasteurs sont restés. Lors de l’assemblée convoquée le soir précédent, un bon nombre de pasteurs étaient présents, mais beaucoup avaient aussi été enlevés. Aucun doute ne subsistait quant à la nature de l’événement : c’était l’enlèvement des saints prédit par l’écriture, l’élévation de l’Église-Épouse. Quelques pasteurs reconnaissent que malgré leurs études théologiques, ils ne s’étaient pas imaginé l’événement de cette manière. Ils n’avaient jamais expérimenté la nouvelle naissance, ni connu l’Esprit-Saint donné aux enfants de Dieu. Un jeune pasteur disait : ‘’Ce n’est pas de cette manière que j’ai été enseigné. Un jeune pasteur disait : ‘’Ce n’est pas dit que cela arriverait comme nous venons de l’expérimenter’’. Les journalistes prétendaient qu’une forte tendance à la discussion se faisait jour, cependant, les gens étaient trop excités pour être objectifs. La police s’était adressée au public pour connaître le point de vue général, un rapport fut rédigé par les pasteurs et approuvé par la majorité. Il disait en substance : Ce qui vient d’arriver pourrait bien être un événement prédit par la Bible, qui est appelé ‘’l’enlèvement de l’Épouse’’. Jésus serait venu chercher les siens. Pour l’instant, c’est tout ce que nous pouvons dire’’. Pourtant la police ne voulait pas publier cette déclaration, estimant qu’elle était le fruit d’une imagination hystérique névrosée. Vu la portée de ces événements, elle estimait que le gouvernement devrait s’en occuper. Puisque la religion chrétienne était en rapport avec ces choses, elle demandait que toutes les églises et lieux de rassemblement religieux soient fermés jusqu’à ce que tout soit éclairci. Elle déclarait que c’est un problème qui touche toutes les nations, de sorte qu’une décision commune devrait être prise. Ce serait à l’ONU d’examiner cette question à fond.
Les chrétiens semblent être très déprimés. Hier, qui était un dimanche, toutes les églises et salles du culte étaient bondées. Quelques églises se trouvaient démunies de pasteurs, et beaucoup de membres manquaient. Dans plusieurs assemblées, il ne restait que peu de croyants, mais par contre, un grand nombre de gens du dehors affluaient, principalement ceux qui avaient été frappés par ‘’le grand malheur’’ comme on l’appelait généralement. Le peuple voulait entendre la Parole de Dieu, mais c’était comme si elle avait été enlevée. Un homme essayait bien de lire, mais il devait y renoncer, disant : ‘’Je n’y comprends rien’’. Un autre, qui avait repris la Bible de ses mains disait : ‘’Je ne peux lire la Bible’’. D’autres pleuraient, mais la grande masse s’accordait à dire que les chrétiens devaient donner une explication valable. Pourtant un grand nombre venait chercher le secours de Dieu. Ils étaient profondément malheureux. Dans la plupart des assemblées, la confusion régnait. Un homme se leva, montrant du poing le pasteur et lui dit : ‘’C’est de ta faute si tant des nôtres sont restés. Tu ne nous a jamais avertis que Jésus allait bientôt venir chercher les siens, et que nous devions nous réconcilier avec notre prochain et que nous devions avoir un cœur pur, rempli du Saint-Esprit. Je sais ce qui m’a retenu, ce ne sont que des peccadilles. Mais, mais… Seigneur, aide-nous ! Le pasteur qui estimait avoir fait son devoir lui disait de se taire, et tous s’accusaient mutuellement en pleurant et en criant. Ils frappaient mais la porte demeurait fermée. Il est impossible de décrire la situation. Le peuple se rendait compte qu’ils marchaient tous au-devant d’un temps terrible. C’est comme si l’on sentait dans l’air que tout espoir avait disparu. La porte était fermée, et tous ceux qui s’étaient contentés d’expressions traditionnelles vides de sens se mettaient maintenant à crier et à frapper. Les uns étaient venus par camaraderie, les autres avaient été attirés par le chant ou la musique, mais aucun n’était né de nouveau. Ils n’avaient pas reçu l’Esprit d’adoption, ni un droit à l’héritage céleste. Pour beaucoup, la fréquentation des réunions n’était qu’un dada, un passe-temps intéressant, mais maintenait, ils frappaient tous à la porte fermée, disant : ’’Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !’’
Le problème de l’enlèvement n’avait pas préoccupé longtemps les gouvernements. Ils défendaient sous peine de mort, de prononcer le nom de Jésus. Ainsi commençait la plus horrible de toutes les époques de l’humanité. Un grand nombre de chrétiens qui continuaient à invoquer Dieu ne se soumirent pas à l’interdiction des autorités. Ils furent arrêtés et interrogés selon les méthodes de la Gestapo. On leur disait : ‘’Si tu renies Jésus-Christ et que tu le maudisses, tu peux sauver ta vie’’. Mais des milliers tinrent ferme et le massacre devint indescriptible. Plusieurs furent torturés terriblement, jusqu’à ce que mort s’en suive. La loi et la justice n’existaient plus. Satan se déchaînait véritablement. ’’Malheur à la terre, et à ceux qui l’habitent’’, disait l’Écriture. Dans cette détresse plusieurs faiblirent et cédèrent. Ils ne savaient où s’enfuir car le monde entier se trouvait sous la domination du mal. Les nations étaient unanimes à vouloir l’extermination des chrétiens. Le prince de ce monde manifestait la puissance de son règne. Les enfants trahirent leurs parents de telle manière que la vie de ceux-ci était en danger. La parole de Luc 21. 16 s’accomplissait ! ‘’Vous serez livrés même par vos parents, par vos frères, par vos proches et par vos amis et ils feront mourir plusieurs d’entre vous. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom’’. Il est impossible de décrire les conditions de cette tribulation, mais Dieu avait tout annoncé dans le livre de l’Apocalypse. Le grand cri de ces malheureux était : ‘’Seigneur, veuille abréger ces jours’’.
Cher ami, ne prends pas le risque de demeurer en arrière. Plie-toi devant la face du Dieu Tout Puissant et demande-lui humblement Sa lumière et Sa grâce. Il est encore temps aujourd’hui d’être scellé par Jésus-Christ pour Lui appartenir en propre. Ainsi, tu seras prêt pour le jour où Il reviendra.
CE JOUR EST PROCHE
Seigneur, après cette lecture de cette révélation que tu nous as donnée, donne-nous de la prendre au sérieux, afin de ne pas avoir à passer par cette terrible tribulation survenant après cet enlèvement qui est si proche. Donne-nous de nous engager de tout notre cœur dans cette voie de salut que tu as préparée pour nous au travers de l’œuvre de Golgotha où tu as tout accompli pour notre libération de nos péchés et de la puissance du péché et te remercions, Amen ! J.S.
Jean Schwab
ET LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRE !
Jean 8. 32-36
La clarté de l'Étoile du matin qui se lève sur un cœur, comme dans la nuit de Béthléhem pour les bergers, ne suffit pas pour marcher mais nous avons besoin de toute la Lumière que Christ nous donne par Son Esprit, pour marcher comme en plein jour. Jésus dit : « Il prendra de ce qui est à moi et vous l'annoncera. Il vous rappellera tout ce que Je vous ai dit » (Jean 14. 26 ; 15. 26 ; 16. 13-14). Et souvent Il le confirme aussi par des expériences personnelles de chrétiens qui marchent avec le Seigneur, comme dans le cas qui suit et d'autres encore y relatif, dont le Seigneur me dit : « Écris cela afin qu'au grand jour, devant Mon Trône, où tout sera mis en lumière, tu sois en assurance devant Moi ! » 2 Cor. 5. 10 ; et combien il est important qu'il en soit ainsi pour toutes choses, dans notre vie.
Et voici l'extrait d'une lettre de G. L. en Allemagne :
« J'ai vécu 25 ans à Paris. Et je suppose que je n'ai pas besoin de raconter ce que fut ma vie dans cette ville de péché. Mais si fatiguée, je me décidai de rentrer au Pays, pour rompre avec cette vie dont j'avais honte. Et je partis sans tarder vers ma sœur en Allemagne.
Et ici, dans cette première nuit, je fus réveillée en sursaut. Il y avait dans ma chambre une éclatante Lumière. Je me dis : Mais que se passe-t-il ? Qui donc m’éblouit ainsi ? Et voici, toute effrayée sans pouvoir le décrire, une sainte Présence était là. Je vis quelqu'un devant moi et qui me fixait de Son regard qui était comme un feu dévorant. Il me dit : ''JE SUIS JESUS-CHRIST ! Je suis venu sur la terre, porter ton péché et tous les péchés du monde sur la croix, pour l'expier, afin que quiconque croit en Moi ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle.'' Et te voici rentrée de Paris. Penses-tu vivre plus longtemps dans le péché ? Ou vas-tu te convertir aujourd’hui comme Je l'aimerai. Maintenant tu dois te décider ! — Et toute tremblante, je répondis : Oui, Seigneur, je veux me décider pour Toi, pour que Tu deviennes mon Sauveur et mon Seigneur ! (Je n'avais pas d'autre choix, mais je savais que j'avais fait le bon choix).
Comme toute ma vie j'avais vécu à ma guise, sans m'inquiéter de Dieu, je n'avais pas la plus élémentaire connaissance de la Bible, la Parole de Dieu. Dès mon jeune âge, j'avais pensé que ce Livre était un recueil d'histoires pour les vieux et les malades, une religion, fruit de l'imagination humaine, etc. Et il continua de me parler ainsi un bon moment : ''Dès aujourd'hui, tu vas vivre devant Moi, par Moi et pour Moi. Tu vas vivre avec et selon Ma Parole, la Bible que tu vas aller acheter aujourd'hui. Je vais te donner Ma Lumière afin que tu la comprennes et que tu vives par elle selon la révélation que Je vais t'en donner par Mon Saint-Esprit. Et ce matin, tu vas défaire tes valises et tout trier selon Mes indications. Tu vas prendre tous ces pantalons, ces profonds décolletés, ces robes, quand assise, ne te couvrent pas les genoux, lesquels ne sont pas des articles d'exposition mais pour se ployer devant Ma Sainteté. Prends aussi toutes ces chaussures qui ont un talon dépassant les 3 centimètres. Tu vas porter tout cela au jardin pour le brûler car toutes ces choses sont en abomination à Mes yeux, comme le déclare ma Parole. (Deut. 22. 5 ; Sophonie 1. 8 ; 1 Tim. 2. 9-10 ; Luc 7. 3). Et depuis ce jour, tu ne te couperas plus les cheveux, jamais, car cela aussi est abominable devant Moi. Et lorsque tu pries, couvre ta tête afin que les anges sachent à qui tu appartiens 1 Cor. 11. 10. Car maintenant que J'ai purifié ton cœur, Je veux que tu sois sainte dans toute ta conduite et ton comportement, comme ta tenue extérieure, doivent être le reflet de ta vie intérieure et de ta marche avec Moi, ton Seigneur. Je t'ai ainsi affranchie du monde et de son esprit afin que tu reflètes Ma beauté selon l'obéissance à Ma Parole et à Mes commandements. Car c'est à l'amour et à l'obéissance à Ma Parole que Je reconnais mes fidèles disciples car ce sont eux qui en ce monde sont Mes vrais témoins, selon l'Esprit et Ma Parole.
Et ici, dans cette première nuit, je fus réveillée en sursaut. Il y avait dans ma chambre une éclatante Lumière. Je me dis : Mais que se passe-t-il ? Qui donc m’éblouit ainsi ? Et voici, toute effrayée sans pouvoir le décrire, une sainte Présence était là. Je vis quelqu'un devant moi et qui me fixait de Son regard qui était comme un feu dévorant. Il me dit : ''JE SUIS JESUS-CHRIST ! Je suis venu sur la terre, porter ton péché et tous les péchés du monde sur la croix, pour l'expier, afin que quiconque croit en Moi ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle.'' Et te voici rentrée de Paris. Penses-tu vivre plus longtemps dans le péché ? Ou vas-tu te convertir aujourd’hui comme Je l'aimerai. Maintenant tu dois te décider ! — Et toute tremblante, je répondis : Oui, Seigneur, je veux me décider pour Toi, pour que Tu deviennes mon Sauveur et mon Seigneur ! (Je n'avais pas d'autre choix, mais je savais que j'avais fait le bon choix).
Comme toute ma vie j'avais vécu à ma guise, sans m'inquiéter de Dieu, je n'avais pas la plus élémentaire connaissance de la Bible, la Parole de Dieu. Dès mon jeune âge, j'avais pensé que ce Livre était un recueil d'histoires pour les vieux et les malades, une religion, fruit de l'imagination humaine, etc. Et il continua de me parler ainsi un bon moment : ''Dès aujourd'hui, tu vas vivre devant Moi, par Moi et pour Moi. Tu vas vivre avec et selon Ma Parole, la Bible que tu vas aller acheter aujourd'hui. Je vais te donner Ma Lumière afin que tu la comprennes et que tu vives par elle selon la révélation que Je vais t'en donner par Mon Saint-Esprit. Et ce matin, tu vas défaire tes valises et tout trier selon Mes indications. Tu vas prendre tous ces pantalons, ces profonds décolletés, ces robes, quand assise, ne te couvrent pas les genoux, lesquels ne sont pas des articles d'exposition mais pour se ployer devant Ma Sainteté. Prends aussi toutes ces chaussures qui ont un talon dépassant les 3 centimètres. Tu vas porter tout cela au jardin pour le brûler car toutes ces choses sont en abomination à Mes yeux, comme le déclare ma Parole. (Deut. 22. 5 ; Sophonie 1. 8 ; 1 Tim. 2. 9-10 ; Luc 7. 3). Et depuis ce jour, tu ne te couperas plus les cheveux, jamais, car cela aussi est abominable devant Moi. Et lorsque tu pries, couvre ta tête afin que les anges sachent à qui tu appartiens 1 Cor. 11. 10. Car maintenant que J'ai purifié ton cœur, Je veux que tu sois sainte dans toute ta conduite et ton comportement, comme ta tenue extérieure, doivent être le reflet de ta vie intérieure et de ta marche avec Moi, ton Seigneur. Je t'ai ainsi affranchie du monde et de son esprit afin que tu reflètes Ma beauté selon l'obéissance à Ma Parole et à Mes commandements. Car c'est à l'amour et à l'obéissance à Ma Parole que Je reconnais mes fidèles disciples car ce sont eux qui en ce monde sont Mes vrais témoins, selon l'Esprit et Ma Parole.
—Tandis que je venais de faire ce qu'Il m'avait ordonné, j'étais si heureuse qu'Il était là, près de moi, par Sa présence, que je regardais autour de moi pour m'assurer que j'étais encore sur cette terre des mortels. Puis il se passa quelque chose qui me bouleversa tellement. J'étais partie en ville pour m'acheter ma Bible et je rencontrai là une jeune fille qui me parla, me disant qu'elle était chrétienne. Alors je lui répondis : Moi aussi, depuis la nuit passée ! — Quoi, racontez-moi ça ! Et je lui racontai tout ce que je venais de vivre avec Mon Seigneur et que j'avais tout écrit pour ne rien oublier, comme Il m'avait recommandé de le faire. J'étais si heureuse de pouvoir la première fois rendre mon témoignage. Mais voici qu'après cela, elle se dressa contre moi en clamant que tout cela n'était pas de Dieu. Regarde-moi, dit-elle, je suis aussi une chrétienne. Nous vivons en ce monde et ne pouvons vivre autrement sinon il nous rejette. Je pense que nous devons rester à son niveau.
Je rentrai promptement à la maison. Me jetant à genoux, je hurlai ma détresse qui venait de me terrasser. Et voici que le Seigneur JESUS se trouvait de nouveau là, comme la nuit passée dans cette rencontre mémorable. Il me dit : ''Pourquoi as-tu douté et t'es-tu laissée prendre au jeu de Satan ? Demain matin Je vais t'envoyer une personne qui va t'apporter la confirmation de tout ce que Je t'ai dit et ordonné, afin que plus jamais tu ne te laisses détourner et tromper par des chrétiens qui n'ont pas en eux l'Esprit de Vérité que Je t'ai donné. Ceux-ci ont fait un jour une certaine expérience avec Moi, mais refusent de marcher dans mes saintes voies.''
Le matin, je me demandais quelle surprise m'attendait. Et voici très tôt, une jeune fille au visage radieux vint : ''Vous êtes nouvelle ici et de la part du Seigneur, je vous apporte ces brochures qui sont dans cette enveloppe ! '' — Je me dis que Moïse reçut les tables de la Loi. Car je voyais en elle comme un ange qui m'apportait la révélation du Seigneur. Et quelle joie pour moi en lisant, de m'apercevoir que tout ce que le Seigneur m'avait dit, se trouvait là, écrit exactement la même chose, ... » G. L.
Or, ces écrits étaient précisément ces textes que sur Son ordre et Sa révélation j'avais écrits et publiés. Et qui ont déjà été pour des milliers de chrétiens et d'incroyants le chemin qui les a conduits vers la libération et la vraie liberté des enfants de Dieu par laquelle l'on devient libre pour LUI obéir et Le servir selon le Saint-Esprit et Sa Vérité (Celui que le Fils affranchit est réellement libre ; Jean 8. 32-36).
C'est après cette expérience qu'elle avait vécue, qu'elle m'écrivit ce que je viens de vous raconter. Et elle était si heureuse d'avoir ainsi eu la confirmation écrite de tout ce que le Seigneur lui avait révélé lors de cette merveilleuse visitation et que Satan avait voulu lui ravir. Chaque fois qu'elle m'écrit, elle me parle de cette paix qui surpasse toute intelligence et qui remplit son cœur. Car il n’y a en effet qu'un seul Esprit qui révèle la pensée du Père. Et tous ceux qui donnent une autre interprétation de Sa pensée et de Sa Parole sont encore dans les ténèbres de l'interprétation de l'esprit humain, qui n'est pas du Saint-Esprit. Et jamais Dieu ne s'abaissera à justifier le mensonge des hommes. Jésus a déclaré :
« Je ne suis pas venu pour abolir la loi et les prophètes mais pour l'accomplir, …» Matthieu 5. 17-20, Rom. 3. 31
Il nous affranchit de la loi du péché et de l'esprit du monde (1 Jean 2. 15-17). Si souvent l'on entend dire : ''Ne vous mettez pas sous la loi !'' Ce sont souvent ceux qui veulent vivre à leur guise qui parlent ainsi. Sans la loi d'affranchissement selon Rom. 6, nous nous condamnons car nous serons jugés par une Loi d'affranchissement (Jacques 2. 12). Ce que Dieu a appelé abomination le reste. Mais Christ nous délivre du péché, de ce qui est pour Lui abominable, par l'œuvre libératrice de JESUS sur la croix. En LUI nous est donnée la force de rejeter ce qui L'a contraint de monter sur la croix pour nous délivrer de tous péchés.
La Parole et l'Esprit nous rappellent que nous ne pouvons pas entrer dans le Royaume par les fenêtres (Matthieu 7. 13, 22-23). L'action de régénération commence au cœur et va jusqu'à l'extérieur en nous délivrant de l'aveuglement de Satan, en nous tenant captif d'une fausse liberté (Ps. 36. 10).
Jean Schwab
Par le frère
MALESO NGYUXU de la mission MARANATHA, MBANDAKA (RDC).
Notre
Seigneur Dieu nous aime infiniment et n'abandonne jamais ses enfants. Il ne
repousse point celui qui vient à lui, qui invoque Son nom (Jean 3 : 16 ; Rom.
10. 13 ; 1 Jean 4. 3-10).
Le
témoignage que je vous livre ici est un fait authentique, vécu qui prouve
l'amour de Dieu envers nous. Le récit que vous allez lire dans les lignes qui
suivent vous montrera à quel point Notre Dieu nous aime et IL est toujours à
nos côtés, dans la joie comme dans le malheur, car Il est le bon berger qui
veille en tout temps sur Ses brebis (Jean 10. 11-16).
En
envoyant Son Fils pour nous sauver, Il rétablit la communication directe avec
nous. JESUS-CHRIST,
Fils de Dieu, est Notre Sauveur. Il ne change jamais (Hébreux 13. 8). Il est
Notre Avocat auprès du Père.
Voici
le récit de cette vision :
Je
suis tombé gravement malade le jeudi 22 novembre 1990 à 22 heures. La sœur,
mon épouse, et un frère en Christ m'ont amené à l'hôpital général de Mbandaka. Après
m'avoir soigné, chose curieuse, le Médecin nous dit de rentrer à la maison en
indiquant la manière de prendre les médicaments qu'il a prescrits. Rentrés à
la maison, nous nous sommes mis à louer le Seigneur, à le remercier pour les
bienfaits '' dont Il nous comble toujours.
Le
vendredi 23 novembre 1990, ma situation n'a presque pas changé malgré les soins
reçus la veille ; le mal a continué à me ronger, mon organisme s'affaiblissait
davantage. On m'a amené à l'hôpital où une fois de plus j'ai été soigné. Mais
les Médecins n'ont pas envisagé de me garder en observation. Je me suis alors
demandé pourquoi ne voulait-on pas faire attention à ma situation,
peut-être trouvait-on que mon état était désespéré ? Car je n'avais
presque plus de sensation dans mes membres. Alors, je me suis dit que c'est
sans doute la fin. Toutes les voix que je percevais semblaient très éloignées ; on dirait que les personnes qui parlaient se
trouvaient à un kilomètre alors qu'elles étaient juste à côté. Je ne cessais de
dire au fond de mon cœur : Seigneur, que Ta volonté soit faite ! Je cherchais
encore dans le plus profond de moi-même tout ce qu'il y avait à confesser à
Dieu. Jusque dans la nuit de vendredi à samedi, il n'y a pas eu de changement.
Le
Samedi à 3 heures du matin, je me suis mis à contempler le plafond, tout en
restant couché puisque je ne pouvais pas me lever. Et puis brusquement, ce
n'était plus le plafond que je regardais ; je n'étais plus dans la
chambre ; je me retrouvais au mont Golgotha, devant un spectacle délirant,
affreux auquel il est pénible d'assister : j'étais debout au premier rang d'une
foule dont les uns scandaient ''crucifie-le, Il mérite la mort !'' (Jean
19. 6-7). Les autres pleuraient mais ils n'étaient pas nombreux ceux-là ;
c'était un petit groupe. Je voyais qu'on menait Notre Seigneur
JESUS-CHRIST pour le crucifier. Arrivé à mon niveau, Il m'a regardé une
première fois, puis Il a continué sa marche en direction de la croix. Juste
devant la croix, Il m'a encore regardé.
Après avoir
été crucifié et élevé, Il m'a regardé une troisième fois. Ses regards étaient
pleins d'amour. Moi, je suis resté figé, mais très sensible à ce qui venait de
se passer.
Mais
brusquement, il y a eu changement de vision ; c'est comme si on a ouvert une
autre page dans un livre, ou comme si on avait ouvert un autre écran ou un
voile théâtral. Je me suis retrouvé dans un cadre. J'ai vu Notre Seigneur
JESUS-CHRIST dans la plénitude de sa gloire ; c'est le bonheur éternel.
J'ai été pris dans l'engrenage d'une joie immense. À la droite de Notre
Seigneur se tenait Moïse, à sa gauche Élie, devant l'Apôtre Pierre qui
regardait les Douze alignés en demi-cercle devant le Roi des rois ; à gauche de
l'Apôtre Pierre l'Apôtre Jacques. Notre Seigneur portait une ceinture
étincelante, dorée et brillante de couleur feu ardent, une couronne splendide
couleur or. Moi j'étais dans la foule, au premier rang et savourais cette joie,
le bonheur éternel. Tous nous portions des habits blancs et nous étions d'une
beauté extraordinaire, tous semblables. Le sol était couvert des métaux et
pierres précieuses (or et émeraudes) et dégageait une couleur or- pourpre que
jamais on ne peut comparer avec les couleurs de ce monde ; ainsi et le sol et
nous resplendissons. Le tout ressemblait à la beauté du jardin d'Eden décrite
dans la Bible (Ézéchiel 28.13-14).
Au
vu de ce spectacle qui ressemblait à la transfiguration (Matthieu 17. 1-8), je
m'écriais : Maman, je m'en vais ! Le Seigneur est venu me prendre
! Je me suis écrié ainsi plusieurs fois. La joie me prenait, je n'étais
plus dans ce monde des ténèbres, mais plutôt dans celui où la tristesse
n'existe pas et où il n'y a que la joie éternelle (Apoc. 21. 4 ; 22. 5)
Lorsque j'ai regardé autour de moi, je me suis rendu
compte que j'étais au lit. La sœur, mon épouse, me demandait si j'avais encore
très mal, car elle m'a entendu parler sans avoir compris ce que je disais. Alors je
me suis mis à lui raconter tout ce que j'ai vu. Après, je me suis levé et le
mal a disparu.
Seulement j'ai regretté mon retour dans ce monde des
ténèbres et de méchanceté. Ah, pourquoi le Seigneur ne m'a-t-il pas établi dans
Son Royaume pour toujours et ne plus m'en détacher ?
Que Son Nom soit béni par toute la terre ! Amen !
Fait à
Mbandaka (Zaïre) le 07 février 1990.
Frère BOUKU
LANZILE -MISSON MARANATHA MBANDAKA (ZAIRE)
Publié
par mission Maranatha.
1400
YVERDON Suisse
Je crois que tout vrai chrétien doit, à certains moments, s’arrêter pour faire le bilan de son activité, remédier à des lacunes, et surtout s’engager dans une nouvelle consécration. Si je prends la liberté de vous écrire ces lignes, c’est pressé par l’amour de Jésus qui brûle en moi.
En lisant les revues missionnaires, nous avons tous la joie de voir ce que le Seigneur fait en certaines contrées du monde, au sein de cet odieux paganisme ou parmi les endoctrinés musulmans. Mais ce qui me frappe le plus, c’est ce qui est écrit entre les lignes. Je veux parler de ce grand besoin de missionnaires et également de ce manque de moyens pour accomplir cette grande et noble tâche que le Christ nous a confiée en nous disant à tous : ALLEZ…
Jésus a dit qu’il n’y a pas de plus grande joie que de donner sa vie pour ses amis. Cher lecteur, aimes-tu Jésus pour ce qu’Il a fait pour toi sur la croix ? N’éprouves-tu pas en retour le besoin de répondre par un acte d’amour pour Lui ? Je ne parle pas d’un sacrifice, car en devenant Son disciple, tu n’es pas devenu un disciple à 10 % mais à 100 %. En recevant dans ton cœur Jésus, le sacrifice complet et parfait, par lequel Il t’acquit le salut, tu t’es identifié dans Sa mort pour vivre en nouveauté de vie pour Lui. Voilà pourquoi il n’y a avec Jésus que des actes d’amour. Le vieux levain est mort, condamné sur la croix. Ainsi toutes choses sont nouvelles en Lui.
L’avarice par laquelle je disais auparavant : ‘’Ça, c’est à moi ! Et ça également !’’ n’existe plus parce qu’Il m’a donné un cœur nouveau et aussi un esprit nouveau. Ainsi, lorsqu’Il reviendra, je n’aurai pas à regretter de L’avoir aimé. Je ne veux point me trouver parmi ceux à qui Il dira : ‟ Chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, vous ne l’avez pas fait à Moi. Retirez-vous de Moi car Je ne vous connais pas.″
Nous sommes donc appelés à un service d’amour envers Lui. Des jeunes et même des moins jeunes répondront à un appel pour la mission… Mais il est aussi une autre réponse à cet ordre : ‟ Allez ! ″
Permettez-moi, très discrètement de vous rendre un témoignage à la gloire de Jésus : À côté du ministère que j’exerce, je travaille dans une grande usine. (Tout comme l’apôtre Paul fit des tentes !) Voici qu’un jour, un homme visitant l’usine me reconnut pour avoir donné des réunions dans sa localité. Stupéfait, il m’interpela avec force : ‟Mon frère, …QUE FAIS-TU LÀ ? ″
– Ce que je fais ici ? Eh bien, je travaille pour le Seigneur !
– Mais comment cela ?
– C’est bien simple ! Ce travail, quoique minutieux, je le fais presque machinalement, ce qui me permet neuf heures en intercession pour les âmes qui se perdent, pour celles qui sont dans l’épreuve, pour tous les appelés au ministère, leurs grands besoins dans leurs diverses activités. Et tous les jours, j’ai l’occasion de parler de Jésus à tous ceux qu’Il envoie auprès de moi. De plus, au lieu de dépendre financièrement d’une communauté, ce qui, selon la Parole serait mon droit, je soutiens les œuvres d’évangélisation que le Seigneur me met sur le cœur. A chaque paie, je soustrais d’abord le 10 à 20 % (la dîme) pour le Seigneur, ce que tout chrétien est appelé à réaliser pour ne pas être ce que Dieu appelle un voleur (Lire Aggée 2. 8 ; Malachie 3. 9-11 ; 1 Timothée 6. 10 ; Matthieu 25. 26-27). Puis je donne l’argent nécessaire pour les frais du ménage et les autres factures. Tout le reste, c’est pour envoyer des lettres d’amour (bulletins de versements) à tous ceux qui selon la Parole s’attendent à Dieu au près et au loin sur les champs missionnaires… Et le Seigneur me comble si merveilleusement que je suis souvent moi-même confondu. Avant de connaître la volonté du Seigneur, bien qu’économe, j’avais toujours moins d’argent en poche que je pensais, tandis que maintenant c’est l’inverse, conformément à Sa Parole de 2 Corinthiens 9. 6-9. Ce qui fait que, par Sa grâce et Sa bénédiction, je puis chaque mois Lui consacrer une certaine somme par amour et pour la gloire de Jésus. Je suis si heureux de cette expérience avec le Seigneur que je voudrais vaincre en vous les doutes pour votre engagement personnel dans ce chemin merveilleux qu’Il nous propose à tous.
Comment un chrétien peut-il honnêtement prier pour l’avancement du règne de Christ, s’il ne libère pas sa conscience devant Dieu concernant l’avarice ? Il accomplit simplement par son égoïsme le plan de Satan qui consiste à entraver les œuvres missionnaires par le manque de moyens en faisant des détournements. Ni plus, ni moins, voilà ce que nous faisons en refusant à Dieu et à Son œuvre ce qui de droit Lui revient. Combien de Chrétiens sont encore victimes de cette société de consommation dans laquelle Satan cherche à nous intégrer pour un but bien précis, cité plus haut. Lorsque tu t’arrêtes par envie devant les étalages de cette vaste organisation de la folie humaine au sujet de laquelle les hommes d’État commencent à réaliser qu’à tout prix, il faut entreprendre la désescalade. Mon frère, ma sœur, que réponds-tu à cet appel figurant en titre de cet écrit : QUE FAIS-TU LÀ ? Peux-tu, de tout ton cœur me répondre par cette strophe de cantique : ‟ Jésus est tout pour moi ! ″…
Après une réunion un frère me dit : ‟ Tu devrais te payer une voiture pour tous les déplacements que tu as ! ″— Non, lui dis-je, car tout cet argent, je devrais le soustraire à mes missionnaires. Ce que je ne veux pas ! ″Je parle pour moi et non pour vous et ne juge aucun de mes frères. J’ai ma marche avec le Seigneur et vous avez la vôtre. J’avais un vieux vélomoteur. Je voulus le changer et Il me dit : ‟ Fais-le réparer encore une fois et je t’en donnerai un autre.″ Quelques mois après, une sœur m’interpela en me donnant une enveloppe portant cette mention : Pour un vélomoteur neuf pour vous ! Si la mention ne portait pas ces mots : Pour vous ! il est certain que cela aurait été pour un frère africain ou un missionnaire. Et lorsque j’ai de grands trajets à faire, j’utilise le train, ce qui me permet de parler de mon cher Ami à ceux qui voyagent avec moi. Un jour, je fus appelé à prendre le train pour un cas urgent. Je n’eus pas le temps de prendre mon billet au guichet et par surcroît, j’avais oublié mon porte-monnaie. Pendant que je parlais de Jésus à mon vis-à-vis, survint le contrôleur. Je l’informai que je n’avais pas eu le temps de prendre mon billet. Avant que je n’en dise davantage, l’homme assis en face de moi me dit : ‟ Monsieur, permettez-moi le plaisir de vous payer le billet.″ ( !) Pourtant cet homme ne savait pas que je n’avais pas d’argent en poche, mais le Seigneur le savait. ( !) Une autre fois, j’accompagnais une grand-maman pour l’aider à descendre du train. Puis en lui tendant un traité et lui expliquant le salut, voilà que le train part sans moi. Et le Diable riait à gorge déployée. Mais je criai à Dieu en me dirigeant vers la route : ‟ Seigneur, Tu vois le vilain tour que le Diable vient de me jouer, Tu sais que dans trois quarts d’heure, je dois me trouver à l’église de P. pour donner le message que Tu m’as confié. Donne-moi des roues ou des ailes car il faut que je sois à l’heure.″ Au même instant, un crissement de pneus se fait entendre derrière moi. Je me croyais déjà écrasé ! Mais le conducteur, me cria : ‟ Où allez-vous comme çà ? —Je vais à P., le train m’a filé sous le nez… — Montez vite ! ″ Et en trombe, on démarre pour me déposer… devant l’église avec un quart d’heure d’avance. ( !) Quand les justes crient, l’Éternel les entend (Psaume 34. 18). Et je pus dire au chauffeur ce que ce Jésus qu’il ignorait l’avait utilisé pour accomplir Ses desseins et Son service.
Il y a quelques années, j’avais eu de grandes difficultés avec mes colocataires et le propriétaire de mon logement à la suite des réunions de prière. J’exposai ce grand problème à Dieu et voici la réponse reçue : ‟ Je veux que tu achètes une maison afin que tu puisses Me servir librement.″ J’ouvris mon porte-monnaie devant le Seigneur ; mais je n’avais que treize francs. Il me dit d’aller. Et je partis pour mettre une petite annonce dans le journal local. Mais il n’y eut pas de résultat apparent. Cependant, ce même jour, je rencontrai un ami chrétien qui me dit avoir vu l’annonce et rencontré à l’instant un homme qui désirait quitter le pays après avoir vendu sa maison le plus tôt possible. M’ayant donné l’adresse, je partis aussitôt à sa recherche. En le contactant, il me dit : ‟ C’est vous qui avez mis cette annonce dans le journal ? ″ Aussitôt, nous avons discuté des conditions de vente. En m’y rendant, par la foi, le Seigneur me dit : ‟ C’est cette maison-là, tu la payeras telle somme.″ Ce fut aussi le prix demandé. ( !) Je n’en parlai à personne qu’à Dieu seul. Et dès le lendemain, trois personnes vinrent me trouver dont l’une me dit n’avoir pas dormi toute la nuit comme sa femme et que tous deux avaient eu la nette impression que je me trouvais en difficulté financière et qu’au plus tôt, ils devraient m’apporter telle somme d’argent. Ce qu’ils firent. Après leur avoir expliqué la situation, je les remerciai chaleureusement en disant qu’il me serait difficile de commencer le remboursement avant six mois. Mais il me répondit : ‟ Il est vrai que nous nous connaissons peu mais sachons que vous êtes un serviteur de Dieu honnête et nous ne voulons rien en retour.″ A la date qui m’avait été fixée, le Seigneur m’avait envoyé tout l’argent nécessaire pour aller chez le notaire confirmer par les actes de papier et également par les actes de la fidélité de Dieu envers Ses enfants qui s’attendent à Lui ! Alléluia !
Au travers de ces quelques lignes, je vous ai donné l’occasion de toucher du doigt la fidélité de Dieu envers Ses promesses qui ne sont pas semblables aux paroles des hommes (Nombres 23. 19). C’est pourquoi, j’ai demandé au Seigneur que cette année, il y ait deux fois plus de vocations et de consécrations pour servir Jésus. Cher lecteur ou chère lectrice, dans la foi en Lui, je te remercie en Son Nom de ce que tu es désormais au nombre de ceux qui Lui disent aujourd’hui : ‟ Seigneur, je veux Te servir selon ce que Tu m’indiqueras de faire pour Toi, soit par un ministère direct, soit par un moyen autre mais qui contribue à l’avancement de Ton règne. ″ Ainsi soit-il ! Amen !
Dans ce nouveau contexte où tu te trouves, dans la disponibilité envers Dieu et prêt à œuvrer sous l’impulsion de Son Esprit, vois cette génération sans foi biblique et sans espérance. Vois cette Église qui a perdu les notions de sa vocation, vivant dans cette coupable excentricité. Toi, ne sois pas trouvé dans ce sommeil léthargique car au grand jour, cette génération se lèvera et se dressera devant le Trône Blanc pour ne pas leur avoir apporté l’Évangile de délivrance par la puissance du Saint-Esprit. Ne sois pas de ceux contre qui se pointera leur doigt accusateur. Il est temps de rejeter tous ces coussins de paresse spirituelle pour retrouver à genoux, la vraie vision de Dieu en nous laissant pénétrer de ses impératifs pour nous aider à prendre position en Lui pour être les instruments de Sa divine manifestation. Si nous demeurons au pied de la croix, là où Jésus triompha pour nous, Son ombre qui se projette sur nous, la grâce qui en découle nous pénétrera du même amour et du même esprit de sacrifice. Lorsque Christ vous rencontra et vous interpela sur le chemin, Il le fit au travers du sacrifice d’un frère ou d’une sœur. Maintenant, Il te montrera dans ce service d’amour ce qu’Il veut faire au travers de ton obéissance. L’Église des premiers siècles a vécu la pluie de la première saison mais aujourd’hui, c’est la pluie de l’arrière-saison qui doit tomber sur cette Église sans vie qui doit retrouver toute sa consécration, dans le jeûne et la prière qui brisent les cœurs dans les larmes des luttes pour le triomphe de Dieu. C’est un combat d’abord solitaire, puis à plusieurs jusqu’à ce que le feu de Dieu descende et nous embrase tous de cette flamme de la victoire de Jésus. Esprit-Saint, souffle sur nous tous !
Votre frère en Lui : Jean Schwab
Cette exclamation fracassante, nous la retrouvons plus de 20 fois dans l'Ancien Testament pour souligner Sa Déité et Son Autorité sur Israël et sur les nations. Et pourquoi ne retrouvons-nous pas dans le Nouveau Testament cette exclamation ? Et bien tout simplement parce que JÉSUS est devenu la démonstration vivante du seul Dieu vrai. Esaïe 45: 21. Il est écrit : Je suis la lumière qui éclaire tout homme qui vient au monde. Jean 1 : 9. Je suis la lumière du monde, Jean 8 : 12, celui qui me suit ne marchera plus dans les ténèbres mais il aura la Lumière de la vie. Et nous lisons en Eph. 5 : 8 que nous devons marcher comme des enfants de Lumière, des fils de la Lumière. JÉSUS est donc cette Lumière qui est appelée la Gloire du Seigneur. Jean 17 : 22. Et cette Gloire est aussi la connaissance que la Parole et l'Esprit nous donnent de Lui. Voilà aussi pourquoi il est écrit dans Hébreux 10 : 20, JÉSUS a inauguré un Chemin nouveau et vivant au travers du sacrifice de Golgotha. Je suis le Chemin. Jean 14 : 6. Ainsi donc notre vie doit être pour les autres une révélation de Sa Gloire, par la connaissance que nous-mêmes avons reçue de lui par la Parole ou par l'Esprit de révélation. Gal. 1 : 12. Le vrai chrétien ne marche donc plus selon les principes du monde mais selon l'enseignement de Christ, la Parole vivante. Ce qui est précieux dans cette marche est Son secours. David par anticipation disait déjà : Chaque jour Il porte mes fardeaux, béni soit Son Nom. Ps. 68 : 20. Ainsi au travers de toutes les circonstances de la vie, nous sommes appelés à découvrir Ses bontés et Son amour. Et Paul le souligne en 2 Thess. 3 : 3 : Il est fidèle, Il vous affermira et vous gardera du malin. Donc les expériences de la vie nous apprennent à Le connaître Lui la puissance de Vie et de résurrection. Phil. 3 : 10. Et si nous croyons à la Parole de Vérité, nous croyons à Sa fidélité pour nous secourir en chaque mise à l'épreuve. 1 Cor. 10 : 13. Car nous sommes finalement sur la terre pour apprendre à vivre avec Lui, dans l'Éternité. Ainsi l'œuvre de foi que le Seigneur me confia doit être une démonstration de Sa puissance et de Sa fidélité pour Son Œuvre. Ce fut une vraie école de la foi.
Par centaines et par milliers de fois, le Seigneur me mit à l'épreuve. Un jour par exemple, le Seigneur me montra que je devais répondre positivement à une invitation à Berlin. Il me donna le message à apporter, la puissance de la croix. Mais l'argent me manquait. Et voici que le jour où je devais partir, je reçus de Paris les 462 frs. pour mon billet d'avion + 20 centimes. Le Seigneur est précis. Et je ne compris pas de suite pourquoi je devais acheter un pull tout rouge sur lequel une Sœur devait me broder une croix blanche. En m'annonçant l'on me dit que le nombre des prédicateurs ne correspondait pas au programme et que l'on avait dû me biffer. Mais je dis au Seigneur que j'étais venu sur Son ordre et que c'est à Lui que je m'attendais. En attendant je pris place dans le stade parmi les 40.000 auditeurs, et subitement, je vis venir sur la pelouse du stade une équipe de la T.V. et me mis à prier pour leur travail. Voici que l'un d'entre eux me pointa du doigt car je suppose que la croix blanche sur mon pull avait attiré leur attention. Et les voici qu'ils se mettent en route pour me contacter. Ils m'ont d'abord questionné puis j'eus l'occasion de témoigner de ma foi en CHRIST et ils enregistrèrent tout mon témoignage de guérison. Puis après 15 à 20 min, ils repartirent. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque de tant d'endroits d'Europe, je reçus des lettres de remerciement. Puis la Direction de la T.V. Canadienne me demanda une autorisation leur permettant de publier dans les deux langues cette Bobine reportée de Berlin. Puis affluèrent des lettres des U.S.A. où sur toutes les chaînes la Bobine avait passé. Et voilà ce qu’un frère américain m'écrivait. "Je connais toute ton histoire. Satan a voulu t'interdire de parler devant 40 000 personnes et voici que tu as apporté le message à plus de 60 millions d'âmes."
Après mon accident, j'avais aussi des dettes. Là, le Seigneur me montra que je devais en être libéré. Il m'indiqua que la meilleure manière était de donner la dîme qui Lui revient. Puis je dus apprendre à donner ce qu'Il demandait et parfois tout ce que j'avais, selon Sa Parole : ''L'or et l'argent sont à Moi dit l'Éternel.'' Ainsi ce qu'Il me donnait à gérer devait pouvoir rester en Sa propriété. Je vis que si j'agissais autrement, j'étais un voleur. Et voici qu'à cause du ministère de délivrance, des voisins se plaignaient. Alors j'en ai parlé au Seigneur, qui me dit : ''Voici Ma solution. Je veux que tu achètes une maison pour travailler librement pour Moi.'' Le lendemain, par la foi en Sa Parole, je mis une annonce dans le journal, épuisant ainsi mes derniers 13,50 fr. Puis Il me dit :''Tu ne vas pas demander un sou à qui que ce soit. Tu vas prier et t'attendre qu'à Moi'.'' Et trois semaines après, à la date fixée par le vendeur, nous nous trouvions devant le notaire et tout l'argent était là devant le Seigneur et les hommes.– Après avoir tenu un Séminaire au Tessin, j'eus une mauvaise surprise en rentrant. Le conducteur nous informa que nous devions changer de train, soit à Lucerne ou à Olten. Nous décidâmes avec un Frère Français de changer à Olten, pour des bonnes raisons. Et quel étonnement lorsque le nouveau conducteur nous avisa que nous allions directement sur Bâle-Hamburg sans arrêt à Olten. Que fallait-il faire ? –Je résolus sans l'approbation de mon ami, de prier pour une solution. Je ne désirais pas du tout faire un détour de quelques centaines de km, car j'estimais que le temps appartient à Dieu et non au Diable. Et nous attendions un miracle du Seigneur. Voici que subitement, la locomotive est tombée en panne, en rase campagne. Je dis à mon ami :''Prépare tes bagages, le Seigneur nous offre une délivrance.'' Et voici que surgît le contrôleur qui nous fit descendre et nous montra un chemin nous dirigeant vers une localité. Là, dit-il, il y a un train qui dans 12 min. arrive pour Bienne-Lausanne. Quelle merveilleuse délivrance ! Le Seigneur n'a pas demandé l'avis des centaines d'autres voyageurs mais Il a répondu à ma prière. Car Dieu ne s'inquiète pas de ceux qui ne prient pas mais Son oreille est ouverte à la prière de l'un de ses enfants. Ps. 101 : 6. Pourtant je veux dire que Dieu veille sur chacun pour lui donner l'occasion de découvrir le salut. 1 Tim. 2 : 3-5 ; Jean 3 : 16.
Il est écrit que les bontés du Seigneur se renouvellent chaque matin. Ps. 59 : 17. Et la Parole de Dieu n'est point liée 2 Tim. 2 : 7-9. Il nous donne l'intelligence pour la comprendre. Un soir en regardant le thermomètre, je vis que jusqu'au matin, il fera au moins 3-5°- 0. Chacun couvrait son jardin avec des toiles. Mais moi j'avais 80 m2 de pommes de terre. Impossible de les couvrir. Je résolus de les remettre au Seigneur en me souvenant de Hébr. 1 : 7 : Il fait de Ses anges des vents, ...Et je lus au clair de lune le Psaume 91 et remerciai le Seigneur pour Son action d''amour et partis me coucher en louant le Seigneur. Le matin, Satan voulut me tourmenter avec des doutes mais je répondis :'' Il l'a déclaré dans Sa sainteté : Je triompherai !'' Ps. 60 : 8. Le Seigneur avait permis que des 4 côtés, les locataires de plantages avaient tous aussi planté des pommes de terre. Le soir tous constataient leurs cultures détruites par le gel et les miennes absolument intactes. Comme tous me questionnaient, je leur racontai ce que j'avais fait et citai la Parole de Mal. 3 : 18. ''Vous verrez la différence qu'il y a entre celui qui sert Dieu et ceux qui s'en moquent.''
Après avoir lu ces expériences, quelle sera ta prise de position ? Seras-tu perdu pour avoir méprisé l'amour de Dieu ou résolument vas-tu recevoir en ton cœur JESUS qui est le seul qui puisse te communiquer l'assurance parfaite du Salut. Repends-toi d'avoir vécu dans le péché, loin de Lui et viens à lui aujourd'hui !
Après avoir lu ces expériences, quelle sera ta prise de position ? Seras-tu perdu pour avoir méprisé l'amour de Dieu ou résolument vas-tu recevoir en ton cœur JESUS qui est le seul qui puisse te communiquer l'assurance parfaite du Salut. Repends-toi d'avoir vécu dans le péché, loin de Lui et viens à lui aujourd'hui !
Jean Schwab, Yverdon,Suisse
Apocalypse 1.12-20
Témoignage de IVAN BABULEV de KOLAREVO-PETRICH (Bulgarie)(Avec autorisation de Mr. Chaix)
Je suis né en 1925 à KOLAREVO, d'une famille Orthodoxe. Jamais je n'ai été athée, mais je croyais comme la plupart des gens, sans connaître Dieu. En 1925, au mois de mai, j'entrais dans les rangs de la police politique dite ''milice''. Huit ans, je travaillais comme Milicien et j'étais bon dans ce travail. J'étais très vigilant et c'est la raison pour laquelle on me plaçait souvent à faire le guet devant le siège du parti. Souvent, j'étais mentionné au tableau comme étant excellent dans le Service.
Comme je manipulais les armes, ma mère avait très peur. Elle me disait de prier afin que Dieu me garde. Ne sachant comment prier, je priais ainsi comme me l'avait enseigné ma mère : ''Dieu qui gardez les oiseaux et les fourmis, gardez-moi aussi!''. Les mots étaient simples, mais ma prière fut exaucée de Dieu.
Le 28 Août 1960, tandis que je montais la garde devant le siège du parti communiste, Le SEIGNEUR JÉSUS m'apparut. Il était vêtu d'une longue robe blanche ; une grande lumière sortait de Lui et elle éclairait toute la cour du parti ; tout était beauté. Il se mit devant moi et me dit avec une voix douce : ''JE SUIS L'ALPHA ET L'OMEGA''. Ces mots étaient inconnus pour moi ; jamais je ne les avais entendus. Plus tard, j'appris qu'ils étaient écrits dans la Bible. Après cela, Jésus cria à voix forte : ''JEAN, JEAN, dis à tes chefs qui font la guerre contre moi, que je suis vivant et existant ; qu'ils se présenteront devant ma justice. Viens et suis-moi ; tu seras témoin dans cette ville''.
Est-ce que j'aurais alors le courage de me présenter devant mes Chefs, de dire tout cela, car je savais qu'ils combattaient contre Dieu ! J'étais si timide qu'à la plus petite remarque, je me sentais si mal à l'aise ! Jésus me donnait une telle Mission que je ne pouvais accomplir ! Je ne trouvais pas la force en moi. Alors le Seigneur m'incita à prier et je me mis à intercéder afin que le Seigneur me remplisse de force dans ce but, et que je sois capable de résister sans peur, de mener à bien cette œuvre pour laquelle Il m'avait choisi. Je préférais être saint sur la terre et avoir une Vie Éternelle, plutôt que de continuer à vivre la vie facile que je menais.
Le Seigneur continua à m'apparaître. Il me dit de lire l'Ancien Testament pour l'éducation et le nouveau afin de le pratiquer. Tout cela était étrange pour moi, parce que, jusque-là, je n'avais lu ni l'Ancien ni le Nouveau Testament. Dans une apparition, le Seigneur me prévint de me garder de mon ami ARMEVOV, parce qu'il me trahirait. Durant 6 mois, je vis la présence de Dieu, mais tout cela, je le gardais en secret.
Un jour pourtant, je partageais mon secret avec ARMENOV, lui disant qu'il me trahirait. Armenov me répondit que jamais il ne le ferait, parce que nous étions de bons amis, vivant comme des frères. Un jour, ARMENOV ne put garder le secret. il alla chez le chef de la police, GALABOV, et il lui raconta tout à mon sujet.
Avant de me présenter devant mes chefs, DIEU me permit de voir le paradis afin que je puisse témoigner pour Lui. J'étais de garde devant le comité municipal du parti ; après quoi, je montais dans ma chambre de réserve pour me reposer. Ici, je profitais du repos pour prier. Je m'agenouillais et commençais une fervente prière. En ce temps, Jésus vint et me prit avec lui. je vis que nous nous élevions vers le ciel tandis que mon corps restait dans la chambre ou j'avais prié. Peu de temps après, nous nous trouvâmes devant une porte de perles ; de chaque côté, il y avait deux anges vêtus de blanc. Devant la Ville de Dieu, il y avait un beau jardin avec des fleurs que je n'avais pas vues sur la terre. En allant avec mon Sauveur, tout le temps, je répétais : ‘‘Ah quelle beauté ! Quelle beauté ! Au milieu du jardin, il y avait un grand arbre avec des fruits intéressants. C'était l'arbre de la Vie. Quand nous arrivâmes dans la Ville, je vis que toutes les rues étaient pavées d'or, que les bâtiments étaient de perles et brillaient comme des vitraux. Tout était d'une beauté indescriptible. La Ville était entourée de forêts ; et je ne trouve pas de mots pour les décrire. Nous entrâmes dans un grand corridor. Il y avait beaucoup de chambres. Dans la première chambre, il y avait seulement des enfants : dans la deuxième, des jeunes ; dans la troisième, des gens plus âgés. Tous étaient habillés d'un blanc argenté. Ils étaient assis aux tables couvertes de nappes blanches et ils mangeaient aussi quelque chose de blanc. À l'intérieur, tout était de soie blanche. Le Christ me dit : ‘‘JEAN, voilà, cette chambre est à toi''. En la voyant, je dis : ''Non, Seigneur ! Regarde mes habits : je ne suis pas pour cette chambre''. Jésus me répondit : ''Non, tu t'habilleras en vêtement blanc''. Alors, je dis : ''oh ! Seigneur, maintenant je peux y entrer !
Marchant dans la Ville, je me réjouissais comme un enfant de toutes ces beautés que je voyais et que je ne pouvais comparer à aucune autre chose terrestre. Alors, Jésus me dit : ''Qui garde mes commandements sera ici et se réjouira pour l’éternité''. Pendant tout ce temps, je disais : Seigneur, je Te remercie, parce que je suis avec Toi ! Peu de temps après, je me retrouvais dans la chambre de repos. Regardant autour de moi, il me semblait que je me trouvais dans une prison. Pour moi, la terre représentait une prison comparativement à ce que j'avais vu, et que Dieu m'avait montré.
Durant sept jours, je pleurais comme un enfant, parce que Dieu m'avait renvoyé sur la terre. Je ne voulais plus vivre ici-bas. Ma femme et les locataires, gens croyants, me consolaient en me disant que Dieu m’avait donné de voir tout cela pour témoigner aux hommes.
Tandis que j'étais dans le Paradis, un des chef m'avait cherché dans la chambre de repos, mais Dieu avait aveuglé ses yeux et il ne put me voir. Plus tard il me dit : ''Jean, où étais-tu ?'' Je lui répondis que j'étais dans la chambre. Il ne voulut pas me croire et me dit qu'il irait avertir le chef.
Après cela, je voulus voir l'Enfer pour témoigner devant les hommes que l'Enfer existe. Un jour, le Seigneur me donna de le voir en disant : ''JEAN, là-bas n'est pas pour toi !'' Je regardais en bas et je vis un abîme profond. Il y avait des gens innombrables. On pouvait seulement entendre des pleurs et des grincements de dents. Il me fut donné de reconnaître ma grand-mère. Alors, je criais : ''Mon Dieu, je ne peux regarder davantage ! Fais-moi sortir de ce lieu de souffrances''.
Malgré les apparitions que j'eus plusieurs fois durant 6 mois, je n'avais pas le courage de me présenter ouvertement devant mes chefs et je décidais, en secret, de me faire révoquer en donnant un autre motif. Mais la Volonté de Dieu n'était pas la mienne. Il voulait que je déclare Son Nom devant tout le monde qu'Il est vivant et existant ! À la fin, le temps de me présenter devant mes chefs et de témoigner pour Dieu arriva. Un milicien vint me chercher. Je sus pourquoi il m'appelait et je priais Dieu de m'accorder des forces. Tandis que je montais les escaliers, le Seigneur me remplit d'une si grande force comme un feu qui sortait de mon corps. Sans peur, j'entrais chez le chef. Il me demanda : ''Est-ce vrai ce qu'ARMENOV m'a dit à ton sujet ? Il paraît que tu es devenu croyant et que tu as vu Dieu ? Où est ce Dieu ? Alors avec un grand courage, je lui répondis : ''Oui, camarade chef, il y a 6 mois que je suis croyant. Je vois le SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST. Je vois aussi des anges. Je ne peux plus servir dans la milice populaire et je vous prie de me congédier. Alors, il cria : ''Comment te congédier ? Nous allons te dissuader au lieu de te congédier ! Comment peux-tu te tromper ainsi ? Tu es fou !'' Je lui répondis : Camarade, mon chef, je ne suis pas fou ! Mais tout cela, je le dis avec une pure conscience et avec bon sens, pour moi, Dieu vit et existe. Le 28 Août 1960, quand je montais la garde devant le siège du parti, m'apparut le CHRIST. Il m'a dit de vous communiquer qu'il est vivant, qu'il existe, que vous tous, vous vous présenterez devant sa justice''. Il fut encore plus furieux et il me dit : ''Tu vas nous enterrer vifs ! Est-il possible d'avoir un tel homme dans la Milice ?'' On essaya de me détromper ; on voulait m'amener un Savant pour me faire comprendre que Dieu n'existe pas. Je répondis qu'aucun Savant n'avait la possibilité de me prouver que Dieu n'existe pas. Je L'ai vu ; j'ai écouté Sa Voix ; tout ce qu'Il m'a dit s'est réalisé ! Je posais cette question : ''Camarade mon chef, si quelqu'un entre chez vous et vous dit que je ne suis pas ici, pourrez-vous le croire ? ''Non !, répondit-il''. Alors, je rétorquais : ''Après que j'ai vu le SEIGNEUR, jamais je ne dirai qu'il n'existe pas''. Le chef demanda d'écrire un rapport et de le lui remettre. J'écrivis le rapport ainsi : ''Je vous prie de me congédier de mon poste de milicien parce que, depuis 6 mois, je suis un croyant. Je regarde constamment à la présence de Dieu et je ne peux servir dans la milice. Je portais le rapport au chef Cantonal, mais il se mit en colère et me dit : ''Sais-tu que ce rapport ira jusqu'au Ministère ? ''Oh ! Mon chef, qu'il aille au Ministère. Je veux qu'ils lisent aussi qu'il y a un Dieu !''
Quand ils virent leur incapacité de me détourner, ils décidèrent de convoquer une réunion pour formuler l'acte d'accusation. Durant tout ce temps, je jeûnais et je priais afin que Dieu me fortifie dans la foi. Christ, de nouveau, se mit devant moi et me dit : ''JEAN, JEAN, courage, n'aie pas peur, je suis avec toi, je parlerai par ta bouche, toi, seulement, après deux jours, tu seras licencié télégraphiquement''.
L'heure de la réunion à laquelle assistaient tous les Miliciens, le chef de la Milice, le chef Cantonal, les Dirigeants du Comité Municipal du parti Communiste sonna. Le chef ouvrit la séance avec ces mots : ''Camarade ! Savez-vous pourquoi nous sommes réunis ce soir ? C'est une chose triste : notre camarade BABULEV est devenu un chrétien croyant ! Comment est-il possible, camarades, que notre bon Jean se soit laissé égaré .''Mes camarades baissaient la tête et n'osaient pas me regarder. Seul, ARMENOV, le traitre, me regardait du coin de l'œil de temps en temps. Le chef cria : ''Mes camarades, dites-moi, y aurait-il, parmi vous, quelqu'un qui soit séduit ?'' Tout le monde se taisait et continuait à baisser la tête. Alors, je repris : ''Mon chef, puis-je parler ? ''Parle !'' hurla le chef.
''Je veux qu'on me pende au platane de la place publique devant tous, mais, avant, je veux que vous me permettiez de parler du Seigneur en qui je crois !
''Tais-toi !'' cria le chef. ''Sais-tu que nous avons le pouvoir de te mettre en prison, de t'envoyer au camp de concentration, de te tuer ?
''Envoyez-moi où vous voudrez, mon chef, je n'ai pas peur de la mort. Pour moi, la mort est l'acquisition de la vie éternelle. Je sais où je vais,'' répondis-je !
''Donne-moi ton pistolet, '' cria le chef.
Je sortis le pistolet et le mis sur la table. J'ajoutais : ''Je remercie le Seigneur puisque l'heure est venue de remettre cette arme rouillée''. Ils enrageaient. Ils me montraient mes galons et me disaient : ''Ces épaulettes, qui te les a données ?'' Je les pris avec les deux mains pour les déchirer. Un des Miliciens me mit le pistolet sur la poitrine en me disant : ''Si je tire, ton Dieu viendra-t-Il t'aider ? À l'instant, je vis sur ma poitrine la main du Seigneur Jésus-Christ qui me disait : ''N'aie pas peur, JEAN, ma main est forte, cuirassée et la balle retournera en lui''.
Je rétorquais alors au milicien ; '' Tire, mais la balle retournera contre toi ''. Il retira le pistolet et dit :
''Je trouverai de faux témoins contre toi et je te mettrai en prison. Je lui répondis : ‘‘Si c'est la Volonté de Dieu, tu me mettras en prison, mais si ce n'est pas, tu en seras incapable !''
Quand ils virent que rien ne pouvait me dissuader, ils me congédièrent par télégramme.
(Peu de temps après cela, on découvrit que ce camarade avait commis beaucoup de vols. Il fut condamné à 8 ans de prison pour choses viles !)
Toutes les paroles que Dieu m'avait dites étaient vraies, authentiques. Qu'II soit loué, le Seigneur Jésus-Christ qui m'a donné la force de témoigner de Son Nom devant mes supérieurs qui mènent une guerre acharnée contre Lui ; et de leur dire qu'Il est vivant, qu'Il existe. Vous qui lisez mon témoignage, si vous ne le connaissez pas, cherchez-Le afin de Le trouver et qu'Il devienne votre Ami personnel.
Jean Babulev
Du docteur DAVID M... Médecin psychiatre qui vous communique ce bouleversant témoignage
''Ce témoignage du Frère JEAN BABULEV a amené un grand nombre de personnes à la connaissance de Jésus-Christ ; il a fortifié la foi de beaucoup. Ces apparitions quant au Paradis ou à l'Enfer ne sont pas des illusions. Je connais depuis longtemps la personne qui rend ce témoignage. J.B. n'est atteint d'aucune maladie psychique. Il est un homme équilibré au sein de sa famille. Tous sont consacrés à Dieu, témoignent et vivent une vie exemplaire.
Nous rencontrons ces phénomènes spirituels dans la Parole de Dieu. Médite 2 Corinthiens 12. 1-4
Dans les pays totalitaires, quand le pouvoir tente de bâillonner l'Eglise et d'éteindre le flambeau de l’Évangile, quand le peuple des chrétiens est dispersé et que les serviteurs de Dieu sont traqués, le Seigneur se révèle souvent par des manifestations surnaturelles semblables à ce témoignage. Les exemples sont nombreux et divers. C'est ainsi que des vies changent d'orientation ; que des consciences sont bouleversées de fond en comble ; que des malades pour lesquels la science médicale était impuissante... sont miraculés !
Des médecins, athées, le confessent dans le secret. Et toi, quelle position prends-tu ?
Jean Schwab
Le missionnaire J. Reinhard GSCHWEND, qui depuis 40 ans exerce un beau ministère en Afrique du Sud, rapporte dans le journal ''BANTUKLANGE'' (Juin 61) l'expérience d'un de ses collègues qui raconte ce qui suit :
Le 1er février 61
''J'étais sur la route entre Groblersdal et Johannesbourg (150 km, environ). Je remarquai soudain, se tenant au bord de la route, un homme convenablement vêtu. Il semblait avoir le désir d'être pris par une auto. Je m'arrêtai aussitôt et l'invitai à monter. En prenant place à côté de moi il me salua par un aimable : ''Bonjour, mon ami !'' Je lui répondis en saisissant la main qu'il me tendait. J'eus alors l'impression que je mettais ma main dans de la fine laine. Pendant que je continuais à circuler sur la route, je ressentis dans l'auto une atmosphère spéciale.
Je circulais à 100 km à l'heure environ et j'étais troublé et intrigué par l'atmosphère étrange qui régnait dans l'auto. L'étranger se tourna alors vers moi et me dit :
''Ami, la venue du Seigneur est proche, la fin de toutes choses est arrivée, tu dois travailler avec zèle pour le Seigneur. Tu es dans le ministère et tu as les dons !''
Je répondis aussitôt : ''L'Église est bien organisée pour répandre l'Évangile tout à travers le pays''. L'étranger répondit : 'J'espère que tu connais l'état du monde et de l'Église. Travaille avec toutes tes forces. Engage tes collaborateurs à travailler d'arrache-pied, car le temps est court, très court.''
Troublé, je regardai l'étranger, … mais il n'y avait plus personne dans l'auto. Je m'arrêtai aussitôt et fis marche arrière, pour retrouver le voyageur, mais en vain. Seules deux empreintes de ses pieds se montraient encore dans l'auto. Ces traces de pas ne s'y trouvaient pas auparavant. Je dus demander à Dieu son secours pour surmonter la crainte qui s'empara de moi. Je ressentais toujours encore l'étrange sensation que j'avais eue lorsque j'avais mis ma main dans la sienne. Les mots me manquent pour décrire convenablement cette expérience. Je ne puis que dire : ''Soyez prêts à rencontrer le Seigneur !''
Le 4 février : une seconde expérience.
Le samedi suivant, Dieu me visita de nouveau. J'étais sorti pour faire des commissions, mais je n'étais pas tranquille ; quelque chose me poussait irrésistiblement à rentrer chez moi. Je rentrai donc et m'assis à mon bureau pour écrire à un ami l'expérience que je venais de faire sur la route. Alléluia. Je sentis soudain la puissance de Dieu survenir sur moi. Quelqu'un me toucha le bras. Lorsque je levai les yeux je vis debout à côté de moi le même homme que celui qui avait subitement disparu de mon auto 4 jours auparavant. Loué soit le Seigneur. Il me parla de la voix la plus mélodieuse et la plus merveilleuse que j'aie jamais entendue et me donna le message suivant : ''Cette parole concerne l'Église : exhorte les frères à être un en Dieu, à éviter les sujets de dispute, car la fin est proche. La venue du Seigneur ne tardera pas''.
Message pour le peuple de Dieu : ''Travaillez avec zèle. Le temps est court, très court !''
Q. T. Swart, pasteur
CEUX QUI AURONT CRU …
ÉVANGILE DE MARC Chapitre 16 verset 17
QUAND UN PROFESSEUR EN MÉDECINE DÉCHIRE UN ACTE DE DÉCÈS
Il y a quelques années, par une fraîche soirée de juin, tandis que soufflait une âpre bise, nous attendions, assis dans une rame de wagons, les mains dans les poches, le départ de notre train qui devait nous ramener à notre domicile. Je venais de faire remarquer à mes camarades que le direct de Paris accusait déjà un retard de trois minutes, lorsque tout à coup, sous l'effet d'un choc terrible, nous fûmes projetés contre les parois et les uns contre les autres. Le train direct venait de se jeter contre l'arrière de notre train. Sur une trentaine de blessés, dix-huit durent être hospitalisés. Victime d'une commotion cérébrale, on m'avait relevé sans connaissance, saignant du nez et de la bouche. Après un premier et trop bref examen, on redressa mon nez complètement aplati et mes mâchoires fracturées. Le lendemain, on procéda à des radiographies qui révélèrent cinq fractures du crâne. L'os de la pommette droite était près de l'oreille. Le docteur me fit remarquer que pour éviter des complications, cet après-midi encore, il faudrait opérer ça. Je lui répondis gentiment que je détestais les cicatrices et de bien vouloir attendre au lendemain. Ce qu'il accepta. Cet après-midi-là je reçus la visite de ma femme qui me reconnut difficilement ; j'étais si défiguré. Elle pleura en rencontrant mon sourire et je lui dis : ''Ne crains rien, Jésus est là !″ Le matin, à mon réveil, la garde de nuit me dit : ''Mais ... votre pommette s'est remise en place ! – Oui, c'est le Seigneur qui l'a fait, comme je le Lui ai demandé, Il est fidèle envers ceux qui se confient en Lui !″
Il est vrai que je souffrais, mais Sa présence comme un baume me soulageait et me permettait de Le louer même dans cette souffrance. Jamais je n'ai mieux compris comment les chrétiens martyrs pouvaient chanter des cantiques attachés sur des bûchers au milieu des flammes. Je pus ainsi dans une bien faible mesure parler des bontés de Jésus. Tous les jours, je faisais des progrès dans ma convalescence et jamais je n'aurais pensé que cette épreuve durerait trois ans et demi. (!)
A cause du manque de place, je fus autorisé de rentrer à la maison pour y poursuivre là mon rétablissement, malgré que j'avais de cruelles céphalées à cause d'une hémorragie interne, suite du choc reçu. Mais ce qui m’inquiétait le plus, était que je titubais comme un homme ivre. En me rendant à la gare je rencontrai un ami qui me dit : ''Il y a déjà un moment que je t'observe, il me semble que tu aurais pu attendre d'être mieux avant de prendre ta cuite … !'' Il savait bien que ce n'était pas dans mes habitudes et qu'il s'agissait d'une autre manifestation. J'en fis mes plaintes au docteur traitant qui me dit qu'il ne fallait pas trop penser à mon mal et que tout rentrerait dans l'ordre. Mais ce fut le contraire qui se produisit. Mon état ayant tellement empiré, j'exigeai la visite d'un spécialiste de l'Assurance, lequel ordonna mon retour immédiat à l'hôpital. J'avais le côté droit paralysé, des nerfs blessés et la méningite. Ce même docteur remarqua sous mes cheveux, un endroit du crâne enfoncé de deux centimètres, ce qui avait provoqué la méningite qui me fit perdre toute ma mémoire et mes facultés intellectuelles. La seule chose dont je ne perdis jamais la conscience était la joie du salut de Christ. Le plus petit mouvement du doigt me donnait des crampes dans le cerveau, comme le moindre effort cérébral me faisait pousser un râle. Souvent, je perdais connaissance.
Ne réalisant aucune amélioration dans mon cas, où tant de choses échappaient à la science, ils crurent avoir affaire à un simulateur. On me le fit cruellement sentir, ce qui provoqua en moi un tel tourment moral que j'en fus vivement affecté. C'est avec beaucoup de résignation que j'encaissai cette grotesque accusation, étant par nature un travailleur énergique et infatigable. Ma femme, qui à ce moment attendait un enfant, en fut si traumatisée qu'elle accoucha d'un enfant mort-né. Après une enquête plus approfondie, on reconnut que je n'étais pas l'homme à jouer une telle comédie mais l'on continua à m'accabler en disant que mon état était la manifestation d'une maladie sans rapport avec mon accident. Ayant pris froid, je fis une broncho-pneumonie, puis une pleurésie qui affaiblirent considérablement mon état général. Après toutes ces déceptions, je recourus à un spécialiste américain qui diagnostiqua la fracture de deux vertèbres avec des nerfs coincés et diverses complications dans la colonne. Mais jamais les docteurs ne voulurent accepter ce diagnostic car cela eut été reconnaître du même coup leur erreur professionnelle et thérapeutique. Mais leur orgueil ne leur permit jamais de déroger, exception faite de deux docteurs dont les témoignages étaient insuffisants pour annuler la thèse de deux professeurs. Ainsi, je perdis toute prestation de l'Assurance et cela pour trois ans d'infirmité totale. (Il fallait une victime.) Cependant, on me permit de revoir tout mon dossier à condition que je me présente à l'hôpital de B. pour un examen plus approfondi. Ce que dans ma faiblesse et ma crédulité, j'acceptai. (!) Là, chaque jour on me tourmentait avec toutes sortes de recherches expérimentales, soit par des docteurs, soit par des étudiants qui pendant une à deux heures m'utilisaient comme un vulgaire cobaye. Je fis mes plaintes au docteur responsable qui me répondit textuellement : ''Ça n'a aucune importance, vous êtes ''foutu'' quand-même... !''
Jamais je n'ai mieux compris le psalmiste quand il disait à Dieu : '' Ne me laisse point tomber entre les mains des hommes.'' Sur le moment, il me fut impossible de comprendre pourquoi Dieu permit que je fusse ainsi jeté en pâture à la méchanceté humaine. Était-ce que je devais toucher les profondeurs de l'abîme de la détresse pour pouvoir mieux comprendre la souffrance des autres ? Nul être vivant ne pourra jamais sonder toute la mesure de détresse que l'injustice et la perversion humaine accumulèrent sur moi. Il est vrai que plusieurs fois, je dus réprimer en mon cœur de la haine qui cherchait à bouleverser ma confiance mais chaque fois, le Seigneur me secourut et me renouvela dans la foi et la persévérance pour tenir jusqu'à la victoire. Je me sentais si peu de chose. Ayant perdu le sens de l'équilibre, je m'efforçai de tenir debout par la force de la volonté mais cela me fatiguait à un tel point que je titubais après quelques pas en m'effondrant épuisé. En passant, j'aimerais souligner ici la patience et le dévouement de ma femme pendant cette grande épreuve, qui avec sa petite santé a pourvu à l'élémentaire quand elle-même n'était pas clouée au lit par le surmenage. Chaque jour elle priait avec moi pour dominer la vague et supporter les assauts de Satan jusqu'à la délivrance à laquelle nous ne cessions de croire. Tous les jours étaient pour nous, sur tous les plans, un maillon d'une chaîne de miracles qui nous retenait de glisser dans le gouffre du découragement et du néant. Quel repos lorsqu'on peut dire dans l'adversité des mauvais jours : ''Je sais en qui je crois !'' Un ami, le plus cher ami peut un jour avoir une défaillance mais Dieu demeure le Rocher qui n'abandonne jamais celui qui s'attend à Lui. La tempête peut s'abattre sur vous, un raz-de-marée peut emporter tout ce qui vous est cher, mais jamais le juste ne sera abandonné de Dieu. Celui qui parfois dépouille, ensuite nous enrichit (Job). Le Seigneur me dit un jour :'' Ne regarde pas à ce que tu perds mais à ce que tu gagnes : des biens éternels que tu retrouveras après le grand rendez-vous.'' Dans ma vie, je n'ai pas vécu de situations où je n'ai pas réalisé Sa délivrance. Si Dieu permet parfois l'épreuve, c'est pour sonder notre foi car comment saurions-nous si nous avons la foi sans l'expérience. C'est ce qui arriva alors qu'il ne subsistait en moi qu'un maigre soupçon de vie qui ne tenait plus qu'à un fil. Combien souvent nous lisons dans la Bible : Dans sa détresse, un tel cria à l'Éternel qui le sauva... Quand le juste crie, l'Éternel l'entend ! Quel privilège pour ceux qui connaissent ce chemin !
C'est à l'hôpital de B. que le Seigneur qui m'avait promis Sa délivrance m'attendait, alors qu'humainement parlant je réalisais que tout allait craquer. Là, dans ma chambre d'isolement, où je me trouvais depuis trois semaines, la garde de nuit m'apportait tout ce qu'elle pensait qui puisse me faire plaisir mais je n'avais plus la force de manger et de parler. Le médecin chef qui avait lui-même voulu m'ausculter dit à la garde de nuit : '' Prenez vos dispositions, S. ne passera pas la nuit.'' (Elle me le raconta le lendemain). Je réalisais parfaitement que j'étais au bout de la résistance humaine et je pensais à cette Parole de l'Écriture : ''J'ai attendu l'Éternel avec patience'' (Ps. 130. 5), et je me dis : ''Dieu est Fidèle, Il ne peut me décevoir.'' Je rassemblai alors les dernières forces qui étaient en moi, sachant bien que cet ultime effort, soit m'anéantirait ou alors serait ma planche de salut. Je priai : ''Seigneur, ce ne sont pas ceux qui descendent au séjour des morts qui te glorifieront mais ceux que tu relèves proclameront la gloire de Ton Nom. Maintenant, interviens et viens à mon secours !'' (cf. Psaume 115. 17)
Il était huit heures et demie lorsqu'il se fit dans ma chambre une si vive lumière que j'ai cru devenir aveugle. Je vis une forme humaine venir vers moi que je reconnus aussitôt, tellement Son visage reflétait l'amour et la bonté. Il me montra Ses mains percées pour me dire : Voici ce que j'ai fait pour toi ! Puis étendant Sa main droite vers moi, je la saisis par la foi et au moment où le contact entre le divin et l’humain s’établit, il se fit un tel craquement dans tout mon corps que j'ai cru que j'allais me désintégrer. Puis ce fut un baume d'amour qui traversa tout mon être, corps, âme et esprit. Je levai la tête, regardai à gauche, puis à droite. Je fis des mouvements avec mes pieds, mes mains. Je m'assis. Je réalisai que j'étais redevenu un être vivant capable de me mouvoir, de penser, de parler. Je me mis à crier ma joie et ma reconnaissance au Seigneur pour ce merveilleux miracle que je venais d'expérimenter. Et voici que la garde de nuit accourut pour voir ce qui se passait. Elle crut que c'était la dernière réaction de la vie. Elle voulait me calmer, mais impossible... Je lui dis alors : ''Il y a quelques minutes, Jésus est venu vers moi et m'a entièrement guéri !'' Puis vint le professeur Y., avec une feuille à la main, interpellant la garde dans le couloir en lui demandant : ''A quelle heure, je marque ?… Elle ne put s'empêcher de rire, ce qui fâcha le professeur qui lui dit : ''Je n'aime pas les plaisanteries mal placées !'' Elle lui dit encore en insistant : Je vous assure Monsieur, il paraît en bonne santé.'' Il répondit : '' C'est moi qui l'ai ausculté hier-soir, je ne suis pas... à commettre une telle erreur.'' Puis timidement il entrouvrit la porte et voyant son (moribond) qui joyeusement lui demandait s'il avait bien dormi, il referma la porte et questionna la garde de nuit. Après un instant il vint vers moi tout blême en me disant : ''Je m'incline devant le miracle incroyable que vous venez de vivre. Ce que je n'ai pu faire, Dieu l'a fait pour vous. J'étais catholique, mais un athée sans aucune foi. Dès aujourd'hui, ma vie prendra une autre signification car vous avez bouleversé toute ma science. Votre miracle a donné une nouvelle orientation à ma vie. Priez pour moi !''
Il n'est pas rare que la médecine s'avoue impuissante. C'est alors que dans notre désarroi, nous crions à Dieu. Je dirai que c'est la première chose que nous devons faire puisque la Bible dit que le roi Asa, lors de sa maladie alla consulter les médecins au lieu de rechercher l'Éternel. Très souvent, une maladie est la conséquence d'une vie mal réglée ou plus exactement du péché (Mat. 9. 2-6 ; Jean 5. 14 ; 8. 11 ; 9. 2-3 ; Jacq. 5. 15-16 ; 3 Jean 1, 2). Le prophète Esaïe nous dit que sur la croix, Jésus porta nos péchés et nos maladies (Es. 53. 4-5). C'est donc un tout que l'homme ne devrait jamais dissocier. Ce qui correspond à dire que la profession de médecin devrait toujours être une vocation où la cure d'âme accompagne les soins prodigués à notre corps souffrant.
Durant ces trois ans et demi de souffrance où chaque jour représentait pour moi un miracle, j'ai toujours refusé les calmants. A la question des docteurs, je répondais invariablement : '' Je préfère souffrir avec la tête lucide en comptant sur le soutien de Dieu.'' Car si le Seigneur nous forme au travers de la souffrance, prendre un cachet, c'est en quelque sorte refuser la discipline de Son école. Nous avons le grand privilège de réaliser Sa grâce merveilleuse en attendant sa délivrance. (Lisez Psaume 41. 4 et 2 Corinth. 12. 9, etc.). Sinon comment TOUTES CHOSES peuvent-elles concourir au bien de ceux qui aiment Dieu ? (Romains 8. 28-29) Cette parole n'est point dure mais c'est l'invitation du Dieu d'amour qui ne fait aucune faute et qui n'a donc besoin d'aucun correctif.
Et toi, cher lecteur ou lectrice, après cette narration, comment pourrais-tu encore vivre en marge de la Vérité, rester victime de claustrophobie coupable ? Tu dois briser les amarres du cercle vicieux de ta misère et crier à Dieu ta détresse, car détresse il y a en toi puisqu'il est écrit : ''Maudit soit l'homme qui se confie en l'homme.'' Car tous, un jour, nous devrons nous tenir devant le grand Trône blanc. Comparaîtras-tu avec toute ta vie de péché passée loin de Lui et de Sa grâce ? Ou alors seras-tu du nombre de ceux qui l'auront reçu dans leur cœur comme Sauveur et Seigneur ? Par une sincère repentance, tu peux obtenir Son pardon car Il a payé le prix de ce pardon qu'Il t'offre, par le sang qu'Il a versé sur la croix du Calvaire pour toi comme pour moi et tous ceux qui viennent à Lui dans une foi totale. Il est le Réparateur des brèches, oui, comme Il le déclare dans Sa sainte Parole de Esaïe 58. 12. En nos cœurs, il y a de graves dégâts causés par le péché qui est la transgression des lois de Dieu, des commandements de Christ, dont nous n'avons fait aucun cas et dont la négligence a provoqué en nous de grands maux et une très mauvaise conscience. Cette absence du respect de Dieu et de Sa Parole a produit en nous un grand vide, un affreux désert qui rend très malheureux, mais la présence de Sa parole en nous est ce pouvoir qui crée la foi et la seule raison de vivre de toutes créatures humaines. C'est son absence qui est la cause qui nous afflige tous, sur le plan mondial comme sur le plan de l'individu. Car Dieu ne s'impose pas mais se propose à chacun. Le refuser est notre malheur. Le recevoir en notre cœur c'est la vie ; tout change en nous et tout prend en nous une nouvelle orientation, la vraie signification de la vie. Si tu l'appelles à venir habiter en ton cœur, quelle renaissance, quel miracle que celui de Sa présence. Il efface ton péché, transforme tes aspirations, change ton cœur triste et méchant autant que mauvais. Il te donne un cœur nouveau et un esprit nouveau comme le dit le prophète Ézéchiel. Oui, ce miracle est le plus grand des miracles qui devient ton expérience personnelle. Tu deviens une personne heureuse, heureuse à souhait. C'est exactement le bonheur que chacun recherche sans le trouver, dans les sources crevassées de ce monde où tout n'est que mirage et déceptions. Mais en Christ, il n'y a plus de place pour la neurasthénie. La joie, la paix et l'amour vrai de Jésus que produit Sa présence, est un tel bonheur que pour tout l'or du monde, on ne veut échanger. Une telle félicité remplira ton cœur, que sans crainte tu parleras de ton expérience à tous ceux qui sont dans la misère morale, la tristesse et le découragement qui tuent tant de nos semblables, alors que Jésus est là, toujours prêt à aider et sauver n'importe qui, de n'importe quelle situation. Oui, Son amour est grand aussi pour toi. Et au nom de cet amour merveilleux, je vous salue tous et Le prie que chaque lecteur et lectrice puisse faire la plus importante découverte de sa vie, Jésus, l'ami de tous !
En son Nom, Jean Schwab