1 Thessaloniciens 4. 17 : Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur.
Ce qui suit
m’a été révélé le matin du 11 décembre 1952 à Bergen (Norvège), alors que je
lisais une brochure, et que j’étais loin de penser à l’enlèvement de l’Église.
Je me sentis poussé de l’écrire, car cette vision m’avait bouleversé, mais cependant,
des doutes subsistaient en moi. Je dis à Dieu : ‘’Je ne puis me souvenir
de tout. Si tu veux que je l’écrive, donne-moi encore une fois cette
révélation. Après quelques semaines, ‘’elle’’ vint à nouveau. Il était dix heures du soir, et ce fut comme
si quelqu’un s’asseyait à mes côtés pour lire un rapport dans un journal. De
suite je pris un crayon et un cahier, et je me mis à écrire sans discontinuer
jusqu’à près d’une heure du matin.
Arrivé là, n’en pouvant plus car j’avais
alors 79 ans, je priais le Seigneur lui demandant de pouvoir me reposer. Je lui
proposais de bien vouloir me donner la suite le jour suivant, si toutefois il
avait davantage à me montrer. Je m’étendis sur mon lit et m’endormis
aussitôt. Une semaine plus tard, également à 22 heures, je reçus à
nouveau cette vision. En fait, c’était une continuation de la précédente. Elle
commençait exactement à l’endroit où nous nous étions arrêtés la dernière fois.
Je souhaite que ces quelques lignes
servent au réveil des âmes.
Il est 9
heures du matin, Mme Anderson, assise devant le poste de radio, écoute
‘’l’heure des enfants’’. Elle trouve le
programme à son goût aujourd’hui. Cette émission mélange un peu de religion à
son programme –juste ce qu’il faut, afin de ne rien exagérer. Alors que
l’émission se poursuit depuis 4 à 5 minutes celle-ci s’interrompt subitement. Une nouvelle sensationnelle :
Oslo, la capitale est dans une horrible panique : La police communique
qu’un événement inexplicable vient de se produire. Un grand nombre
d’enfants et d’adultes ont disparu sans laisser aucune trace. On ne sait encore
le nombre de disparus, il est si grand que les autorités sont impuissantes pour entreprendre des
recherches. Elles demandent aux familles touchées par cet événement de fournir
des informations détaillées sur le lieu et l’heure des disparitions, car cela est
indispensable pour faire face à la situation et en éclaircir les causes ;
quelques vendeurs avaient disparu alors qu’ils exerçaient leur travail. Une
dame, qui achetait des fleurs, vit le fleuriste qui cherchait la monnaie à lui
rendre disparaître subitement. Elle entendit bien qu’ïl disait : ‘’Merci Jésus’’, mais elle ne le vit plus. Elle se frotta
les yeux, car il lui semblait avoir du brouillard devant elle, mais l’homme
n’était plus là, et le brouillard avait également disparu. Une jeune femme hurlait
à faire frissonner jusqu’à la
moelle des os. Elle cherchait dans une poussette
vide, criant : ‘’Quelqu’un a volé mon enfant : C’est un garçon de 8
mois. Où est-il ? Où est la police ? ’’ La police était bien là, mais
que pouvait-elle faire ? De toutes parts, on criait et un grand tumulte se
faisait entendre. Un commerçant de forte taille sortit de son magasin en
criant : ‘’Au secours’’ : Deux de ses vendeuses venaient de disparaitre
de derrière l’étalage.
Qu’était-ce
donc que cela ? Stockholm annonçait aussi la disparition de beaucoup de
personnes et la ville était plongée dans la panique. On rapportait que même
plusieurs gendarmes avaient disparu. Maintenant, pareilles nouvelles
arrivaient de Copenhague et d’Helsinki.
Les informations parvenues de la campagne annonçaient de plus en plus de disparitions. Partout des
enfants et des adultes manquaient. La police ne sut pas qu’entreprendre, face à
ce mystère. Mme Anderson se leva en
soupirant : ‘’Mon Dieu, mon Dieu, qu’est-ce que cela ?’’ Elle sortit
de son jardin et regardant dans la rue bordée de coquettes villas environnées
de beaux jardins, elle vit accourir Mme Holland qui, les mains en visière sur ses
yeux criait : Ruth ! Ruth ! Lorsqu’elle aperçut Mme Anderson,
elle lui demanda : ‘’As-tu vu passer un étranger par ici ? Ruth a
disparu. Elle était assise devant notre maison sur l’escalier, pendant que je
m’occupais des rosiers, et subitement elle a disparu ! Plus de trace
d’elle ! Je l’appelais et criais ! Ruth. Mais personne ne répondit.
J’avais l’impression que quelque chose avait passé dans la rue, mais je suis
toute troublée car je ne comprends plus rien. Ruth ! Où es-tu ? Qui
l’a enlevée. Mme Holland pleurait dans son désespoir.
Maintenant,
c’est Monsieur Anderson qui arrive. ‘’Comment, tu viens déjà ? Ce n’est pourtant
pas l’heure, il n’est que 9 heures ½ ?’’ lui dit sa femme. ‘’Je n’ai plus
envie de travailler lui rétorque-t-il. ‘’Dans notre atelier tout est en
désordre, car beaucoup d’ouvriers ont disparu. On supposait d’abord que des
accidents en étaient responsables et nous avons fait des recherches, mais sans
trouver la moindre trace d’eux. Alors, un homme qui fréquentait des réunions et
qui se disait chrétien se mit à dire : ‘’Maintenant c’est arrivé :
‘’Quoi, lui ai-je demandé ? ‘’Jésus
a enlevé les siens’’ me dit-il en se tordant les mains. Il pleurait éperdument
en continuant de dire : ‘’Et moi je suis resté ici’’. Je le priais de cesser de dire des bêtises, mais il
sanglotait de plus en plus, et c’était
vraiment terrible de l’entendre. Certainement que d’autres se trouvent dans la même situation.
Je pense qu’on devra faire des heures supplémentaires ce soir. ’’En ville, la
situation est plus mauvaise encore. Un embouteillage monstre s’était créé, car des conducteurs d’autobus et de voitures privées avaient été enlevés et beaucoup de
passagers avaient disparu. Les tramways durent s’arrêter, bloquées comme les bus et
les taxis, formant de longues files dans les rues. Parmi cet embouteillage, les
voitures ayant encore des conducteurs cherchaient à se frayer un passage. Les
gens étaient comme fous, courant çà et là en cherchant leurs disparus. La
police était impuissante.
Mme Holland rentra en pleurant, ainsi que
monsieur et madame Anderson. Le poste de Bergen disait : ‘’De tous côtés
on annonce des personnes disparues. Toute la matinée, le téléphone a sonné. Les
gens questionnent ou apportent leur témoignage. Sur mer, de nombreux bateaux annoncent
des personnes disparues. À la maternité, tous les nouveau-nés ont disparu et
les employées sont effrayées ; Parmi les sœurs religieuses, quelques-unes
manquent à l’appel. À l’asile des vieillards, plusieurs ont disparu’’. De
Londres cette fois, à 11 heures, la radio communique que ce matin dès 9 heures, des nouvelles
arrivaient subitement de toutes les
parties de l’Angleterre annonçant la disparition d’une multitude d’enfants et
d’adultes sans qu’ils aient laissé la moindre trace. Aucun n’a été retrouvé.
C’est un grand mystère. Quelques pasteurs ont convoqué les membres de
leur communauté, et ils ont découvert que les plus pieux, les plus fidèles dans
la prière ont disparu. Une partie des pasteurs manque aussi. L’évêque d’une
grande Église a convoqué le corps pastoral pour ce soir. Trois heures et demie
se sont écoulées depuis le premier rapport venu d’Oslo, et ceux-ci continuent
d’affluer de tous les pays. La nouvelle la plus sensationnelle vient d’Extrême-Orient,
de la Corée où l’on évalue le nombre des disparus à plusieurs centaines de
milliers, parmi lesquels beaucoup de soldats. Les évènements qui se succèdent sont impossibles à décrire au
fur et à mesure. Tous sont profondément effrayés. Dans les rues, les gens
cherchent désespérément les leurs, particulièrement les mères privées de leurs
enfants. Par contre, plusieurs se moquent et maudissent aussi bien Dieu
que les hommes. Un homme arrive en courant, criant : ‘’Attention,
attention nous serons bientôt tous enlevés’’. Il a probablement perdu la
raison. Au coin d’une rue, les mains jointes et les yeux levés au ciel, une
femme âgée dit : O non, si nous ne nous sommes pas préparés à temps, maintenant
plus personne ne sera enlevé. Seigneur aie pitié ! Maintenant, c’est
arrivé ! J’ai toujours été religieuse, mais je ne pensais pas qu’il
viendrait si tôt. Je ne pensais pas que ce soit aussi sérieux !’’
La
direction des chemins de fer communique qu’aucun accident ne s’est produit
jusqu’ici. Seul un convoi est demeuré à Finse sans conducteur, ni contrôleur.
L’ordre a été donné à tous les surveillants de chercher le long des voies les
personnes qui auraient éventuellement sauté du train car plusieurs
voyageurs sont portés manquants. Pareillement, des nouvelles venaient des
bateaux faisant le service des côtes et des Fjords. Les journaux du soir
publiaient une manière d’explication, recommandant que tous restent calmes et
raisonnables. La police et les autorités font tout leur possible pour publier
un rapport sur le nombre de personnes disparues. Les savants, particulièrement
les météorologues travaillent à trouver le plus vite possible la cause de ce phénomène
extraordinaire.
On vient d’apprendre des États-Unis que les rapports
commencent d’affluer à la police. Les nouvelles sont pareilles à celles de
Norvège. D‘ énormes difficultés de
circulation eurent lieu et l’on déplore
la perte de vies humaines. Les journaux annoncent pour le lendemain un aperçu
plus complet de ce qui est arrivé dans les différents États. Vingt heures. Il
ressort des nouvelles parvenues du monde entier que tous ont été surpris de la
même manière par cette catastrophe. Les rapports sur le nombre des disparus
arrivent principalement des villes mais aussi des campagnes. Dans l’hémisphère
sud, pareilles choses se sont produites. Une terrible inquiétude règne partout.
Les gens n’osent pas se coucher, et l’on discute jusqu’à l’hystérie dans les
rues sur ce qui s’est passé. De plus en plus, la conclusion est que tout cela
se trouve en rapport avec les chrétiens et le christianisme. Ceux qui ont connu
les disparus disent, en accord avec la parenté, que ceux-ci étaient exclusivement
des chrétiens fanatiques et d’innocents enfants. Un ouvrier de brasserie
racontait ce soir. «Oui, Hans Olson est loin. Il lui est arrivé ce qu’il croyait
et prêchait par ici, disant que bientôt, Jésus allait venir le chercher’’. Oui,
répondit un autre, nous en avions aussi un pareil qui a été emporté. Mais maintenant
les autorités vont bien prendre les choses en main et interdire toute religion,
afin que pareille chose ne se reproduise plus. ‘’Oh, non, s’écria un autre, non
cela n’arrivera plus jamais ! Ils ont tout de même eu raison ces
chrétiens, car ils avaient un pressentiment. Oh ! si seulement nous les
avions écoutés, nous serions maintenant dans une meilleure situation, au lieu
de devoir vivre dans cet enfer, dans ce chaos. Et je crains que cela empire.
‘’Ah ! Si tu croyais en eux, pourquoi donc n’es-tu pas parti avec
eux ? Lui rétorqua un autre. ''Je souhaite bien d’avoir pu le faire‘’, dit-il,
puis il s’en alla. Quelqu’un cria après lui, ‘’On devrait te pendre, toi et
tous ceux qui s’occupent de ce christianisme imbécile !’’
Le lendemain de ce jour, les journaux ne
pouvaient encore donner d’explications à ce mystère. Les rapports de tous les pays
concordaient. Des champs de mission, les nouvelles disaient que les chrétiens
avaient disparu en masse. Seul, un petit nombre de pasteurs sont restés. Lors
de l’assemblée convoquée le soir précédent, un bon nombre de pasteurs étaient
présents, mais beaucoup avaient aussi
été enlevés. Aucun doute ne subsistait quant à la nature de l’événement :
c’était l’enlèvement des saints prédit par l’écriture, l’élévation de l’Église-Épouse.
Quelques pasteurs reconnaissent que malgré leurs études théologiques, ils ne
s’étaient pas imaginé l’événement de cette manière. Ils n’avaient jamais
expérimenté la nouvelle naissance, ni connu l’Esprit-Saint donné aux enfants de Dieu. Un jeune pasteur
disait : ‘’Ce n’est pas de cette manière que j’ai été enseigné. Un jeune
pasteur disait : ‘’Ce n’est pas dit que cela arriverait comme nous venons de
l’expérimenter’’. Les journalistes prétendaient qu’une forte tendance à la
discussion se faisait jour, cependant, les gens étaient trop excités pour être
objectifs. La police s’était adressée au public pour connaître le point de vue
général, un rapport fut rédigé par les pasteurs et approuvé par la majorité. Il
disait en substance : Ce qui vient d’arriver pourrait bien être un événement
prédit par la Bible, qui est appelé ‘’l’enlèvement de l’Épouse’’. Jésus serait
venu chercher les siens. Pour l’instant, c’est tout ce que nous pouvons dire’’.
Pourtant la police ne voulait pas publier cette déclaration, estimant qu’elle
était le fruit d’une imagination hystérique névrosée. Vu la portée de ces
événements, elle estimait que le gouvernement devrait s’en occuper. Puisque la
religion chrétienne était en rapport avec ces choses, elle demandait que toutes
les églises et lieux de rassemblement
religieux soient fermés jusqu’à ce que tout soit éclairci. Elle
déclarait que c’est un problème qui touche toutes les nations, de sorte qu’une
décision commune devrait être prise. Ce serait à l’ONU d’examiner cette question à fond.
Les
chrétiens semblent être très déprimés. Hier, qui était un dimanche, toutes les
églises et salles du culte étaient bondées. Quelques églises se trouvaient
démunies de pasteurs, et beaucoup de membres manquaient. Dans plusieurs
assemblées, il ne restait que peu de croyants, mais par contre, un grand nombre
de gens du dehors affluaient, principalement ceux qui avaient été frappés par
‘’le grand malheur’’ comme on l’appelait généralement. Le peuple voulait
entendre la Parole de Dieu, mais c’était comme si elle avait été enlevée. Un
homme essayait bien de lire, mais il
devait y renoncer, disant : ‘’Je n’y
comprends rien’’. Un autre, qui avait repris la Bible de ses mains
disait : ‘’Je ne peux lire la Bible’’. D’autres pleuraient, mais la grande
masse s’accordait à dire que les chrétiens devaient donner une explication valable. Pourtant un grand nombre venait
chercher le secours de Dieu. Ils étaient profondément malheureux. Dans la plupart
des assemblées, la confusion régnait. Un homme se leva, montrant du poing le
pasteur et lui dit : ‘’C’est de ta faute si tant des nôtres sont restés.
Tu ne nous a jamais avertis que Jésus allait bientôt venir chercher les siens,
et que nous devions nous réconcilier avec notre prochain et que nous devions
avoir un cœur pur, rempli du Saint-Esprit. Je sais ce qui m’a retenu, ce ne
sont que des peccadilles. Mais, mais… Seigneur, aide-nous ! Le pasteur qui
estimait avoir fait son devoir lui disait de se taire, et tous s’accusaient
mutuellement en pleurant et en criant. Ils frappaient mais la porte demeurait
fermée. Il est impossible de décrire la situation. Le peuple se rendait compte
qu’ils marchaient tous au-devant d’un temps terrible. C’est comme si l’on
sentait dans l’air que tout espoir avait
disparu. La porte était fermée, et tous ceux qui s’étaient contentés
d’expressions traditionnelles vides de sens se mettaient maintenant à crier et à frapper. Les uns étaient venus
par camaraderie, les autres avaient été attirés par le chant ou la musique,
mais aucun n’était né de nouveau. Ils n’avaient pas reçu l’Esprit d’adoption,
ni un droit à l’héritage céleste. Pour
beaucoup, la fréquentation des réunions n’était qu’un dada, un passe-temps intéressant,
mais maintenait, ils frappaient tous à la porte fermée, disant :
’’Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !’’
Le problème
de l’enlèvement n’avait pas préoccupé longtemps les gouvernements. Ils
défendaient sous peine de mort, de prononcer le nom de Jésus. Ainsi commençait
la plus horrible de toutes les époques de l’humanité. Un grand nombre de chrétiens
qui continuaient à invoquer Dieu ne se soumirent pas à l’interdiction des autorités. Ils
furent arrêtés et interrogés selon les méthodes de la Gestapo. On leur disait :
‘’Si tu renies Jésus-Christ et que tu le maudisses, tu peux sauver ta vie’’.
Mais des milliers tinrent ferme et le massacre devint indescriptible. Plusieurs
furent torturés terriblement, jusqu’à ce que mort s’en suive.
La loi et la justice n’existaient plus. Satan se déchaînait véritablement.
’’Malheur à la terre, et à ceux qui l’habitent’’, disait l’Écriture. Dans cette
détresse plusieurs faiblirent et cédèrent. Ils ne savaient où s’enfuir car le
monde entier se trouvait sous la domination du mal. Les nations étaient
unanimes à vouloir l’extermination des chrétiens. Le prince de ce monde
manifestait la puissance de son règne. Les enfants trahirent leurs parents de
telle manière que la vie de ceux-ci était en danger. La parole de Luc 21. 16
s’accomplissait ! ‘’Vous serez livrés même par vos parents, par vos
frères, par vos proches et par vos amis et ils feront mourir plusieurs d’entre
vous. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom’’. Il est impossible de
décrire les conditions de cette tribulation, mais Dieu avait tout annoncé dans le livre de l’Apocalypse. Le grand cri
de ces malheureux était : ‘’Seigneur, veuille abréger ces jours’’.
Cher ami,
ne prends pas le risque de demeurer en arrière. Plie-toi devant la face du Dieu
Tout Puissant et demande-lui humblement Sa lumière et Sa grâce. Il est encore
temps aujourd’hui d’être scellé par Jésus-Christ pour Lui appartenir en propre.
Ainsi, tu seras prêt pour le jour où Il reviendra.
CE JOUR EST PROCHE
Seigneur, après cette lecture de cette révélation que tu nous as donnée, donne-nous de la
prendre au sérieux, afin de ne pas avoir
à passer par cette terrible tribulation survenant après cet enlèvement qui est
si proche. Donne-nous de nous engager de tout notre cœur dans cette voie de
salut que tu as préparée pour nous au travers de l’œuvre de Golgotha où tu as
tout accompli pour notre libération de nos péchés et de la puissance du péché
et te remercions, Amen ! J.S.
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