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Prédication


L'APPEL DU DESTIN


Qui est pour vous Jésus-Christ ? Est-il pour vous un inconnu ? Je ne pense pas ! Alors l'Évangile qu'Il a apporté au monde vous a-t-il touché ? A-t-Il été un baume sur votre cœur meurtri par les déceptions de la vie ? Est-t-Il déjà devenu la solution dans votre vie gâchée, parce que vécue loin de Dieu ? La foi en Jésus-Christ a-t-elle fait de vous un racheté, un enfant de Dieu réintégré dans le plan de l'amour divin ? Avez-vous constaté que tout va mal sur notre planète ? C'est précisément parce que les hommes refusent l'autorité de Dieu et de Sa Parole, seule voie de salut car dans Sa sagesse infinie, Il a tout prévu pour porter remède au fiasco de notre pauvre humanité malade.

En attendant Sa solution finale, Il nous appelle tous en nous invitant à Le recevoir comme Seigneur et Sauveur dans notre cœur. Ainsi une nouvelle vie entre en tous ceux qui répondent à cet appel d'amour. Et s'il est des amis qui vous abandonnent ou que vous devez abandonner à cause de la nouvelle conception de la vie adoptée, Il vous donnera de nouveaux amis fidèles ayant fait cette même expérience merveilleuse. Ce n'est pas une nouvelle religion que vous embrassez mais vous croyez simplement au Seul Évangile qui nous est donné et qui est la puissance de Dieu pour le salut parfait de toute personne qui sincèrement cherche la Vérité, seule puissance de libération en ce monde.

Recherchez l'Éternel et invoquez-Le tandis qu'Il est près de vous, dit le Seigneur !                                                                                                                                                                                                               Esaïe 55. 6

                                                                                                                                        
Maintenant cher lecteur, parlons à cœur ouvert ! Qu'est pour vous la vie ? Se résume-t-elle en ces trois mots : Manger, boire, travailler et dormir, en jouissant des plaisirs que vous pouvez glaner sur votre passage ? Ce serait bien peu de choses, trop peu de choses pour vivre heureux. Si souvent, l'on entend dire : "Je crois avoir trouvé le bonheur ″... mais ce ne fut qu'un mirage. Tout est si éphémère en ce monde, si relatif. Salomon, malgré tout ce qu'il avait, exprime cette plainte amère : Vanité des vanités, tout n'est que poursuite de vent. Combien ces affirmations sont fondées et vraies.
Il y a quelques années succombait à une crise de désespoir un homme très connu, le marquis de C. et quelle ne fut pas la surprise des siens en lisant un billet qu'il avait encore griffonné avant de mourir : Je n'ai plus d'argent ; je n'ai plus d'amis. Je n'ai plus de raison de vivre. Je suis ruiné sur tous les plans... Rien n'est plus accablant que la solitude. Se sentir seul, lamentablement seul, et même dans notre vie mouvementée, on a peur de se trouver seul avec soi-même. Et c'est pour cela qu'on s'étourdit parfois dans les amusements les plus coupables comme l'alcool, la nicotine, la drogue ou le sexe. Mais après tout ce décor artificiel qui tombe dans la nuit du néant, que reste-t-il ? Sinon qu'un affreux vide en vous, un désert aride, qui n'est que le début de l'Enfer. Cet état d'âme se poursuit après la mort. Car il n'y a rien de changé par la mort de votre corps car votre vie se poursuit en sa nouvelle forme d'existence dans l'Éternité, avec ses terribles remords ; car après la mort, il n'y a plus rien à changer, plus rien ne peut être changé. Là où l’arbre tombe, il reste.

C'est pourquoi, l'Écriture dit : Aujourd'hui est le jour du salut, demain ne vous appartient pas. Aujourd'hui, il faut prendre conscience de la grande réalité pour ne pas avoir à subir cet horrible écueil, ce crépuscule sans espoir, parce que sans Dieu et sans salut. Jésus t'appelle au travers de ces lignes par amour pour toi, pour te sauver et te donner la seule vraie raison de vivre : Jésus, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes. Dépose les armes de la rébellion, renonce à ta folie. Livre-toi à Lui avec toute la misère de ton âme et conscience. Repends-toi, humilie-toi pour tes péchés que tu as commis contre Dieu et les hommes. Répare tout ce que tu peux réparer. Reçois Son amour par lequel Il t'a sauvé en mourant pour toi à la croix en portant tes péchés et te délivrant de la puissance du mal et que tu vives heureux par Sa présence en ton cœur, pleinement heureux en Lui. C'est là mon expérience et celle de beaucoup. Ce doit être aussi la tienne, qui que tu sois.
                                                                                                                                                           Jean Schwab
          
                      
 
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CE QUI VOUS ATTEND APRÈS LA MORT



          L’opinion générale qui prévaut lorsque l’on parle de la situation des morts est qu’ils gardent conscience et souvenir de ce qu’ils ont fait, dit et laissé derrière eux.
La mort n’est donc pas un état d’anéantissement de la conscience où l’âme du défunt repose comme dans un sommeil profond et où les sens ne répondent plus.
Cette perception de l’état après la mort est au regard de la Bible vraie. En effet, il est écrit dans la Bible :

« Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d’ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu’il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est consolé, et toi, tu souffres. D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.

Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d’envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j’ai cinq frères. C’est pour qu’il leur atteste ces choses, afin qu’ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu’ils les écoutent. Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu’un des morts va vers eux, ils se repentiront. Et Abraham lui dit : S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu’un des morts ressusciterait. » Luc 16. 19-31

Le passage ci-dessus cité est riche en informations et enseignements sur la vie après la mort. C’est un récit du Seigneur Jésus-Christ, ce qui du reste lui confère un poids supplémentaire.
Dans ce témoignage, celui qui est sorti du Dieu créateur du ciel et de la terre (Jean 8. 42) nous décrit ce qui se passe après la mort.

1. DESTINATION APRÈS LA MORT

Après la mort, il n’y a que deux endroits où le défunt peut se trouver. Ou il est dans le sein d’Abraham qui est le paradis, ou il est dans le séjour des morts qui est un endroit de souffrance très éloigné du paradis. Entre les deux lieux, il y a un grand abîme qui empêche tout déplacement d’un endroit à un autre. Il n’y a dans la Bible aucune trace du purgatoire !

2. L'ÉTAT DES SENSATIONS APRÈS LA MORT

Après la mort, la vue, l’ouïe, de même que les sensations corporelles sont intactes. Le riche leva les yeux, vit Abraham, lui parla, et entendit les réponses d’Abraham. De plus, il ressentait la soif et les brûlures du feu dans lequel il était plongé.

3. L’ÂME EST SENSIBLE À LA DOULEUR

L’âme, qui est notre véritable personnalité c’est-à-dire ce qui agit dans le corps, peut être tourmentée après la mort et souffrir cruellement.

4. LE MORT NE PERD PAS LA MÉMOIRE


Ce qui est dramatique après la mort, c’est que, celui qui s’est laissé tromper sur l’existence de Dieu ou sur la vie après la mort, se rend compte que son sort est scellé. Il se souvient clairement de sa maison, de ses parents, de ses biens, de sa femme et de ses enfants, de ses projets, etc. Aussi désire-t-il avertir ceux qu’il aime afin qu’ils se mettent en règle avec Dieu avant leur mort ; mais il ne le peut. C’est le sens de la prière de l’homme riche à Abraham. Il désirait que Lazare fût envoyé chez lui pour avertir ses cinq frères. Ceci nous montre que les défunts ne perdent pas la capacité d’aimer ou les affections.

5. LA MORT EST UN ÉTAT DÉFINITIF


Si le riche n’avait qu’un temps à passer dans la flamme, après quoi il reviendrait à la vie sous la forme de bébé, il n’aurait pas eu le désir d’éviter cela à ses cinq frères. C’est bien parce qu’il a compris que c’est pour toujours qu’il s’est soucié de ses frères. Il est clair, en lisant les versets 25 à 31, qu’on ne peut quitter les flammes pour le paradis. Le purgatoire et la réincarnation sont des mensonges du diable. Car il est écrit :

« Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement... »  
Hébreux 9. 27



Certains cependant affirment que Jean-Baptiste est la réincarnation d'Élie et ce, au mépris de tout l’enseignement de la Bible, partant de versets qu’ils ont mal compris. Il n’en est rien. Jean-Baptiste lui-même affirme qu’il n’est pas la réincarnation d'Élie (Jean 1. 19-27).

De plus, il est aussi écrit :

« Lorsque le Fils de l’homme (Jésus) viendra dans Sa gloire, avec tous les anges, Il s’assiéra sur le trône de Sa gloire. Toutes les nations seront assemblées devant Lui. Il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs ; et Il mettra les brebis à Sa droite, et les boucs à Sa gauche. (…) Ensuite il dira à ceux qui seront à Sa gauche : Retirez-vous de Moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. »                                                                                         Matt. 25. 31-33, 41

Ce passage déclare que le feu dans lequel sont jetés les pécheurs est éternel. Où est la réincarnation dans tout cela ? Ce n’est qu’une fable inventée par le diable pour séduire les hommes qui refusent de croire en la Bible comme l’homme riche de Luc 16. Chacun sait que la sorcellerie existe. Qui est derrière la sorcellerie ? Dieu ou le diable et ses démons ? L’homme en lui-même n’a aucun pouvoir ; il n’a aucune capacité extra-sensorielle à développer par de pseudo-exercices. Tous les pouvoirs extra-sensoriels se manifestant chez un homme qui pratique le péché viennent du diable.

Dieu le créateur qui jugera le monde par Son Fils Jésus-Christ (Actes. 17. 31 ; Jean 5. 22, 23 ; Romains 2. 16c) ne peut donc se trouver dans l’être de ceux qui pratiquent le péché et qui, de ce fait, passeront l’éternité en enfer. Quel blasphème !



QUI SONT CEUX QUI IRONT DANS LE FEU ÉTERNEL ?

« Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. »                                                                                                         Apocalypse 21. 8

a. Les lâches sont ceux qui, à cause des hommes, renient Jésus-Christ soit :

- en rejetant le christianisme (on craint le qu’en-dira-t-on) ;

- en péchant pour sauvegarder des intérêts ;

- en déclarant ne pas être chrétien afin de garder la vie.

b. Les incrédules sont ceux qui :

- ne croient pas en Jésus-Christ ;

- n’appliquent pas les commandements de Dieu ;

- ne reconnaissent pas la divinité de Jésus-Christ.

c. Les abominables sont ceux qui commettent des péchés que Dieu appelle abominations, tels que :

- l’horoscope (Jérémie 44 ; Galates 4. 3-11 ; Deut. 18. 14 ; Ésaïe 47. 9, 12-15...) ;

- la radiesthésie (Osée 4. 12) ;

- l’invocation des morts ou prières adressées à des morts, furent-ils saints (Deut. 18. 10-12) ;

- la divination (Ésaïe 3. 19 ; Deut. 18. 9-14 ; Lévitique 19. 31 ; Michée 11-12) ;

- la prostitution, l’inceste, la zoophilie, la fellation, l’homosexualité, le cunnilingus, la sodomie (Lévitique 8. 22-30 ; 19 ; 20. 11-21) ;

- manger du sang (Actes 15. 29) ;

- etc.

d. Les meurtriers sont ceux qui tuent leur prochain par :

- les armes ;

- la sorcellerie ;

- la divination (Ésaïe 3. 19 ; Deut. 18. 9-14 ; Lévitique 19. 31 ; Michée 11-12) ;

- la magie ;

- l’empoisonnement ;

- la haine (I Jean 3. 15) ;

- la fausse accusation ;

- la calomnie.

e. Les impudiques sont les fornicateurs (ceux qui couchent, c’est-à-dire ont des rapports sexuels sans être mariés), les adultères (ceux qui ont des rapports sexuels avec quelqu’un qui n’est pas leur conjoint), les prostitués, les pratiquants du nudisme et les adeptes de l’union libre (même si les parents cautionnent une union libre cela ne transformera jamais cette dernière en mariage ; et les parents et les enfants sont coupables devant Dieu).

f. Les enchanteurs ou magiciens : ici se trouvent les sorciers, les devins, les mystiques, et ceux qui se livrent aux incantations. Citons aussi les pratiques de la pensée positive, de la visualisation, de la clairaudiance, de la télékinésie, de la lévitation, de la télépathie, de la clairvoyance…

g. Les idolâtres sont ceux qui aiment ou adorent quelqu’un ou quelque chose à la place de Dieu.

Cela peut-être :

- un autre dieu que l'Éternel des armées ;

- les images taillées ;

- les statues ou photos de maître ;

- une représentation quelconque des choses qui sont dans les cieux, sur la terre, dans les eaux…

- les vodous, le trône des ancêtres, son propre moi ou le « dieu en soi » au travers du yoga, ou de la méditation transcendantale.

h. Les menteurs sont ceux qui ne disent pas la vérité, soit :

- par dissimulation ;

- par demi-vérité ;

- pour sauver autrui ou eux-mêmes ;

- par plaisanterie ;

- par exagération ;

- par minimisation ;

- volontairement ;

- involontairement.

Le mensonge dit dans le but de sauver quelqu’un ou dit par erreur demeure toujours un mensonge même si la société le tolère. Ceux qui commettent ces choses et bien d’autres contraires aux commandements de Dieu se livrent aux péchés ; car le péché est la transgression c’est-à-dire la violation de la Parole de Dieu selon qu’il est écrit que :

« Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi »
                                                                                                IJean 3. 4

De plus la Bible déclare que :

« Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. »
                                                                                                IJean 3. 8

Et :

« Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu. C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable » IJean 3. 9, 10

La place du diable est dans le feu éternel. Où seront ceux qui sont ses enfants ? Avec leur père le diable bien entendu. Veux-tu échapper à cela ?

Ne dis pas que Dieu ne te tiendra pas pour responsable des péchés involontaires, car il est encore écrit que :

« Lorsque quelqu’un péchera en faisant, sans le savoir, contre l’un des commandements de l’Éternel des choses qui ne doivent point se faire, il se rendra coupable et sera chargé de sa faute. » Lévitique 5. 17

C’est pourquoi prie avec foi en demandant à Jésus-Christ de venir dans ton cœur pour te sauver, car Lui seul peut le faire selon qu’il est écrit :

«Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » Jean 3. 16


Fais une prière semblable à celle-ci, et Jésus viendra dans ton cœur :

« Seigneur Jésus, je reconnais que j’ai péché contre Toi, en pensées, en paroles, et par mes actes, de sorte que je mérite d’aller en enfer. C’est pourquoi, je Te prie de me pardonner tous mes péchés, d’écrire mon nom dans le livre de vie au ciel et de venir dans mon cœur. Donne-moi la force d’être fidèle et garde-moi des pièges du diable. À partir d’aujourd’hui, Seigneur Jésus-Christ, fais de ma vie ce que Tu veux. Au nom de Jésus-Christ, j’ai prié. Amen ! »

Si ta prière est sincère, l’Esprit de Christ est entré en toi et tu es devenu une nouvelle créature (II Corinthiens 5. 17).

Commence par lire la Bible[1] et prie tous les jours. Si tu as des questions à poser, écris-moi vite, je te répondrai sans faute.


                                                                                 Pasteur Dewis HILLAH




[1] N’utilise pas d’autres versions de la Bible que celles-ci :

Ø Louis Segond de la Trinitarian Bible Society (TBS)

Ø La Bible Martin

Ø La Old King James (Version anglaise)                                                
                                                                                                                          
                                                                                                                          
                                                                                                             
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LA VRAIE FOI



 
                Le monde définit la foi comme une adhésion ferme de l’esprit (humain) en des systèmes religieux ou en des pratiques supposées apporter le salut, la guérison, la prospérité et même la protection. La foi de par sa définition même exclut l’usage de la raison ; elle n’est donc pas le fruit de la réflexion, mais plutôt de mouvements du cœur, entendu comme la partie la plus profonde de l’esprit humain, selon que la Bible nous le laisse comprendre dans :

       
        Ézéchiel 36. 25-27 : « Je vous ramènerai dans votre pays. Je répandrai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés ; Je vous purifierai de toutes vos souillures et de toutes vos idoles. Je vous donnerai un cœur nouveau, et Je mettrai en vous un esprit nouveau ; J’ôterai de votre corps le cœur de pierre, et Je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai Mon Esprit en vous, et Je ferai que vous suiviez Mes ordonnances, et que vous observiez et pratiquiez Mes lois. »

         Marc 7. 19-23 : « Car cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, puis s’en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments. Il dit encore : Ce qui sort de l’homme, c’est ce qui souille l’homme. Car c’est du dedans, c’est du cœur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres, les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l’orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l’homme. »

        
        Jean 13. 2 : « Et après le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au cœur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de Le livrer, »

De ce fait nous pouvons distinguer plusieurs fois :


- la foi chrétienne ;

- la foi catholique ;

- la foi islamique ;

- la foi communiste ;

- la foi animiste ;

- la foi bouddhiste ;

- la foi lamaïste ;

- la foi hindouiste ;

- la foi yogi ;

- la foi eckiste ;

- la foi rose-cruxienne ;

- la foi bahaïe ;

- la foi mahi-cari ;

- la foi athée (eh oui !) ;

- etc.



             La question de la foi est importante ; c’est à ce niveau que se déroule le drame qui précipite de nombreuses personnes dans le lac de feu éternel. Le diable, sachant que Dieu l’a déjà condamné pour subir le châtiment éternel, ne désire pas laisser les hommes jouir de la vie éternelle et des délices du ciel d’où lui Satan et ses anges les démons ont été précipités (Ez. 28) à cause de leur rébellion contre Dieu. Voilà ce pourquoi, Lucifer, devenu Satan, inspire aux hommes selon leurs goûts plusieurs formes d’adoration de lui-même c’est-à-dire de sa propre personne, de nature agréable mais tragique.

            La nature de ces pseudo-religions est agréable parce que permettant à l’homme de pécher volontairement tout en tranquillisant sa conscience. On reconnaît qu’il ne faut pas faire à autrui ce que nous ne désirons pas que l’on nous fît ; cependant, le mensonge, la fraude, le vol, l’adultère, le meurtre, l’avortement, la haine, la fausse accusation, l’ingratitude, le rejet de l’étranger, le mépris du pauvre, les injures, la méchanceté, l’avarice, le favoritisme, l’injustice, la corruption, le népotisme, les brimades, le clientélisme, l’abus de biens sociaux… sont astucieusement planifiés et froidement exécutés. L’excuse commune et bien établie est que tout le monde fait de même et que Dieu pardonnera puisque, quelque part, c’est Lui-Même qui permet que ces choses arrivent.


          Et pêle-mêle, Dieu est accusé d’injustice, de méchanceté, de non-assistance par les pécheurs qui payent leurs propres iniquités (Lamentations 3. 37-39) qui sont aigris parce qu’ayant oublié que Dieu ne laisse jamais impunie l’iniquité (Jn. 5. 14 ; Nah. 1. 2, 3 ; Romains 6. 23).

         Ces formes religieuses agréables destinées à tranquilliser celui qui viole les commandements de Dieu, celui qui triche, fraude et ment, sont tragiques en ce qu’elles ne lui permettront pas d’échapper au jugement de Dieu après la mort (Hébreux 9. 27). Au demeurant, on ne meurt qu’une seule fois. Le pécheur impénitent dira qu’après tout, plusieurs iront en enfer avec lui, et que là-bas ils continueront de se réjouir dans le vice.

         L’idée généralement répandue par le diable est que l’enfer est un lieu de plaisir avec une capitale appelée pandémonium.

         En réalité, il n’en est rien ; c’est plutôt un endroit ténébreux où nul ne verra son prochain (Matthieu 25) et ne pourra parler avec quelqu’un ; c’est un endroit où tous gémiront, grinceront des dents, pleureront, en proie aux tourments dans le feu qui ne s’éteint point et seront dévorés par les vers qui ne meurent point (Marc 9. 43, 44) et ceci, éternellement (Apocalypse 20. 10-15). C’est un endroit où l’homme passera l’éternité en pleine possession de sa conscience, loin de Dieu, et dans une souffrance indicible.

         En vue d’éviter cette souffrance aux hommes qu’Il aime, Dieu a envoyé à la croix Jésus-Christ Son Fils unique mourir pour nous (Romains 5. 8) afin que nous obtenions le pardon de nos péchés. Son sang devait nécessairement couler, car sans effusion de sang il n’y a pas de rémission des péchés (Hébreux 9. 22).

Jésus-Christ est le seul chemin pour aller au ciel (Jean 14. 6).


MAIS QUI EST JÉSUS ?

        Il faut savoir tout d’abord que Jésus n’est pas une créature de Dieu, ni un éon, ni une entité, ni un homme, encore moins un demi-dieu ou un maître arrivé à la perfection spirituelle. Jésus n’a eu recours à aucune source de connaissance mystique en Égypte pour devenir le Christ de Dieu. En vérité, Jésus a créé le ciel, la terre, les hommes, Lucifer, les anges dont plusieurs sont devenus des démons, et tout dans l’univers (Col. 1. 12-16). Il est le premier-né de toute la création en ce qu’Il est sorti de Dieu (Jean 3. 42, 57-58) avant Ses œuvres les plus anciennes (Hébreux 1. 1-3, 10). Et lorsque nous disons “sorti de Dieu”  nous reconnaissons ainsi qu’Il n’est pas une créature et qu’Il a toujours existé en forme de Dieu (Philippiens 2. 6). Il est authentiquement Dieu le Fils.


        Le Dieu créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible, est formé du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ces trois sont un ; et distinctement chacune des trois personnes est Dieu en toute plénitude sans rien en moins ou en plus quant à sa nature divine ; quoique le Père soit plus grand que le Fils en ce qu’Il a l’autorité sur le Fils.

Il est écrit :
                 Jean 5. 19 : « Jésus reprit donc la parole, et leur dit : En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-Même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. »
De plus, Il déclare : 
                Jean 8. 28 : « Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous connaîtrez ce que Je suis, et que Je ne fais rien de Moi-Même, mais que Je parle selon ce que le Père M’a enseigné. »
               Jean 16. 28 : « Je suis sorti du Père, et Je suis venu dans le monde ; maintenant Je quitte le monde, et Je vais au Père. »
              Jean 17. 5 : « Et maintenant Toi, Père, glorifie-Moi auprès de Toi-Même de la gloire que J’avais auprès de Toi avant que le monde fût. »
             Jean 10. 29 : « Mon Père, qui Me les a donnés, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de Mon Père. Moi et le Père, Nous sommes un. »

         Ainsi, Jésus existait déjà comme Dieu avant que ne fussent créés le monde, Adam et Ève, Abraham, Moïse, Marie mère de Jésus et les diverses religions du monde. Si tu ne reconnais pas la divinité de Jésus et ne l’acceptes pas comme ton unique Sauveur, tu adores un autre Dieu que le créateur du ciel et de la terre, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ; tu adores donc le diable sans le savoir. Marie mère de Jésus, Mahanta, Yogi Bajan, Guru Nanak, Krishna, ne sont pas le chemin pour aller au ciel. Les autres gurus, " Swami ”, ou maîtres ne le sont pas non plus ; si tu adores Jésus le grand réformateur, Jésus le prophète, Jésus le plus grand des initiés, Jésus la créature, sois sûr que tu adores un faux Jésus et que tu n’as pas la vraie foi.
          Seul celui qui confesse le Jésus créateur du ciel et de la terre, créateur de tous les hommes y compris de Marie (celle chez qui Il s’est incarné), seul celui qui reconnaît que ce Jésus-là est le seul médiateur entre Dieu et les hommes (ITimothée 2. 5), seul celui qui reconnaît que c’est Lui seul qui sauve (Actes 4. 12), seul celui qui reconnaît qu’Il est le seul chemin pour aller à Dieu (Jean 14. 6) et est le seul par qui nos péchés sont pardonnés, seul celui-là a la vraie foi et est donc sauvé. Si ce n’est pas en ce Jésus-là que tu crois, sache que tu n’es pas sur le bon chemin et que, à ta mort, tu iras en enfer.

         Déjà au temps de Jésus-Christ, et bien avant Lui, plusieurs s’appelaient Jésus qui en Hébreux a la même racine que Josué ; après Son incarnation, plusieurs aussi ont porté le nom de Jésus. Tu vois bien que Satan peut se jouer de toi et te conduire loin du seul chemin qui mène à Dieu.


         C’est pourquoi, humblement, je t’invite à chercher dans les Saintes Écritures qui est Jésus de Nazareth. C’est seulement lorsque tu l’auras connu que tu expérimenteras la vraie foi en Dieu car la Bible dit :
           IJean 5. 10-12 : « Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à Son Fils. Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans Son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. »
         Il est la clé pour ouvrir la porte de la vie éternelle, c'est-à-dire la porte du ciel. Si tu as une fausse clé, comment pourras-tu ouvrir la porte du ciel ?

Le Jésus-Christ, créature de Dieu ;

Le Jésus-Christ, l’ange de l’Éternel ;

Le Jésus-Christ appelé encore “ Père ou Saint-Esprit”  selon la dispensation ;

Le Jésus-Christ, être humain devenu un illuminé, un grand maitre ou un avatar ;

Le Jésus-Christ qui est encore appelé l’archange Michel ;

Le Jésus-Christ appelé peut-être encore Lucifer ;

sont des contrefaçons du vrai Jésus-Christ. Ces Jésus-là sont de pâles et simples imitations du vrai Jésus, créées par Satan pour perdre les hommes. C’est pourquoi délaisse-les et tourne-toi vers le Fidèle et le Véritable (Apocalypse 19. 11), le vrai Jésus, créateur du ciel et de la terre au côté du Père et du Saint-Esprit. C’est ce Jésus seul qui peut te sauver. C’est Lui la source de toute vraie sagesse, de toute vraie connaissance et de toute vraie foi. C’est Lui ton créateur : en L’adorant, tu n’adores pas un homme, encore moins un second Dieu ; mais tu adores le Dieu unique en qui il y a le Père, le Fils et le Saint-Esprit ; et ces trois-là sont un :
            I Jean 5. 7  : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. »
Jésus de Nazareth, le Christ de Dieu, est la Parole de Dieu :
          Jean 1. 1-14 : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue. Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean. Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui. Il n’était pas la lumière, mais il fut envoyé pour rendre témoignage à la lumière. Cette lumière était la véritable lumière, qui éclaire tout homme venant dans le monde. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par Elle, et le monde ne l’a point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne L’ont point reçue. Mais à tous ceux qui L’ont reçue, à ceux qui croient en Son Nom,  Elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé Sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.»
          Jésus-Christ de Nazareth seul sauve :
         Actes 4. 8-12 : « Alors Pierre, rempli du Saint-Esprit, leur dit : Chefs du peuple, et anciens d’Israël, puisque nous sommes interrogés aujourd’hui sur un bienfait accordé à un homme malade, afin que nous disions comment il a été guéri, sachez-le tous, et que tout le peuple d’Israël le sache ! C’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est par Lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous. Jésus est la pierre rejetée par vous qui bâtissez, et qui est devenue la principale de l’angle. Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. »

            Si tu es profondément convaincu de la véracité de ce que tu viens de lire, et si tu désires de tout ton cœur être sauvé et échapper ainsi au jugement de Dieu, ouvre ton cœur à Jésus et fais une prière selon le modèle suivant :

           « Seigneur Jésus, je croyais Te connaitre ; mais à la lecture de ce traité, je me suis rendu compte que j’étais dans l’erreur et dans l’ignorance sur bien de choses Te concernant. Je me repens profondément de tous ces mensonges du diable que j’ai acceptés dans mon cœur depuis bien longtemps. En les défendant et en les propageant, j’ai blasphémé contre Toi et j’ai entraîné plusieurs sur le chemin de la perdition éternelle. Seigneur Jésus, pardonne-moi toutes ces paroles injurieuses à Ton endroit, car Tu es effectivement le Créateur du ciel et de la terre, et de tout ce qui s’y trouve. J’accepte et je crois en Ton sacrifice sur la croix pour moi pauvre pécheur. Pardonne-moi mes nombreux péchés de mensonge, de vol, de colère, d’adultère en pensées (même en actes), de fornication, de jalousie, de haine, d’envie, d’injures, d’avortement, de magie, d’enchantement, d’occultisme, de fétichisme, de spiritisme, d’astrologie, de divination.Viens dans mon cœur par Ton Esprit ; écris mon nom dans Ton livre de vie ; fais de moi Ton disciple. Délivre-moi des ruses du diable et des faux prophètes. Merci de m’avoir exaucé. En Ton Nom, Seigneur Jésus, j’ai prié ».


Prie et lis ta Bible tous les jours. N’utilise pas la version Darby ou celle de l’Alliance Biblique Universelle[i]. Prie afin que Dieu t’indique une assemblée évangélique vivante où tu pourras communier avec des frères et des sœurs en Christ. Fuis Babylone la Grande et les Églises qui collaborent avec elle.



                                                                                                    Pasteur Dewis HILLAH



[i]

N’utilise pas d’autres versions de la Bible que celles-ci :

Ø                Louis Segond de la Trinitarian Bible Society (TBS)

Ø                La Bible Martin

Ø                La Old King James (Version anglaise)

                                                                                     
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Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés


 
            Cher frère dans le Seigneur Jésus, ce traité est adressé aux hommes qui sont surpassés par des problèmes et dont les entreprises échouent croyant qu'ils sont porteurs de facteur de malchance. Si tu connais ces gens, il sera mieux de leur passer ce traité et le Seigneur te bénira.

            Bien-aimé dans le Seigneur, à la création, Dieu Tout Puissant créa tout par Sa Parole et cette Parole était remplie de Sa Puissance Divine. Après avoir tout créé, Il marcha dans le monde et remarqua que le monde était bon, mais une chose manquait : la présence de l'homme. Et Dieu dit : Faisons l'homme à Notre image et selon Notre ressemblance. L'homme est la seule créature de grande valeur devant Dieu. La Bible nous le montre dans Son livre de Genèse chap. 1. 26-28.

            L’Éternel donna le pouvoir à l'homme de dominer sur la terre, c'est-à-dire que tout ce qui respire et qui ne respire pas, ce qui est visible et invisible (les poissons de la mer, les oiseaux, les animaux sauvages et domestiques, la puissance visible et invisible ) Lui soient soumis.

            Mais fort malheureusement, l'homme du 20ème siècle est devenu l'esclave de tout ce qui était créé pour lui, esclave du monde, esclave des maladies, esclave des problèmes. Beaucoup de chrétiens n'exercent plus leur autorité dans ce monde. Et du fait qu'ils sont surpassés par des problèmes et par manque de connaissance, ils se confient aux hommes, les soi-disant marabouts, sorciers, féticheurs, pour la résolution de leurs problèmes. D'autres se posent la question de savoir si Dieu agit toujours.



             Bien-aimé, notre Dieu est le Maître de la création. Tout ce que nous voyons, les cieux et la terre, sont l'ouvrage de Ses mains. Rien ne Lui est étonnant et impossible ici sur la terre, Il est vivant, différemment de ces dieux façonnés par les mains des hommes ou par leur intelligence, mais Lui, Il est vivant pour l'éternité, Il parle, Il écoute et Il agit (Jean 5. 17).

             Cher frère, dans ta vie d'étudiant, il y a toujours une puissance impure, supplantée en toi, qui fait toujours échouer tes projets. Il y a naissance de problèmes, des complications impossibles dues à des maladies chroniques, de maux de tête, des nerfs, etc... qui ne permettent pas une bonne croissance intellectuelle et ceci entraîne un désespoir dans ta vie estudiantine. Tu es travailleur, il n'y a pas de promotion dans ta vie sociale, tu n'es pas stable dans ta vie. Chaque fois que tu veux progresser, un problème se pose : soit les enfants malades à la maison, ou c'est la femme, leurs traitements exigent une dépense énorme. Tu démissionnes du lieu de ton travail et c'est après que tu te rends compte de ton erreur et tu regrettes. Le Seigneur t'appelle aujourd'hui en te disant : Viens à Moi (Josué 1. 8).



            Ma sœur, dans ta vie, tu es stérile ou tu connais des avortements spontanés. Ceci entraîne un déséquilibre dans ta vie conjugale (menace de divorce). Ce problème te préoccupe et t'ennuie. Tu es soucieuse de cela. As-tu rencontré le Seigneur déjà dans ta vie ? Il y a aussi des femmes stériles qui ont existé avant toi et le Seigneur leur a donné des enfants par leur foi. En qui tu te confies ma sœur ? Sara âgée de 90 ans avait mis au monde Isaac par la promesse de Dieu à Abraham ; Anne, la mère du prophète Samuel était aussi stérile mais par la grâce du Seigneur, elle conçut, donnant ainsi naissance à Samuel (I Samuel 1. 2, 10, 19-20). Et toi, touchée par cette stérilité, le Seigneur t'appelle aujourd'hui. Toi qui es toujours malade, souffrant de maladies incurables déclarées par les médecins, ou de temps en temps, tu es malade. Cela entraîne un désespoir dans ta vie. Une chose que tu dois connaître, aucune maladie n'est incurable devant notre Dieu et aucune maladie ne peut résister devant l'Esprit du Seigneur. Étant malade de sinusite depuis un certain temps, cette maladie était accompagnée d'une autre et depuis 1983, je consultais un médecin spécialiste chaque mois. Par la foi, j'étais guéri, parce que lors de ma conversion, j'ai fait une confession sincère à mon Dieu ; 3 mois après, je me suis rendu compte que j'étais guéri totalement. Toi aussi, mon frère, tu souffres d'une maladie incurable, mais tu veux être guéri.  Quelle que soit l'origine ou la puissance de cette maladie, par la foi en Jésus-Christ, tu seras guéri (Ex. 15. 26 ; És. 53. 4 et Matt. 9. 27-34).
           Tu es possédé d'un esprit impur très puissant (d'une femme ou d'un mari nocturne), tu es enchaîné dans ta vie ou tu as signé des pactes avec Satan (marabout, féticheur, sorcier), ou tu pratiques des sciences occultes (science chrétienne, rose-croix, mahicari), ou encore ensorcelé, tu cherches à être délivré et tu n'as jamais eu de solutions. Exode 20. 2 dit que le Seigneur est le Dieu qui te délivre. Aucune puissance impure ne peut lui résister (Matthieu 12. 22-23). 


           Chers frères, sûrement que votre problème n'est pas énuméré ; une chose est vraie, c'est que Dieu vous connaît ; votre problème, Il est capable de le résoudre aujourd'hui ; le Seigneur vous dit : VENEZ A MOI, VOUS TOUS QUI AVEZ DES PROBLÈMES ET DES CHARGES ET JE VOUS DONNERAI DU REPOS. (Matthieu 11. 28) 
            Veux-tu avoir ce repos ? Si tu veux l'avoir, c'est par le moyen de la foi que tu le peux. Or sans la foi, personne ne peut Lui plaire. La foi est une relation vraie, sincère et juste existant entre Dieu et l'homme. Ta relation à toi, mon frère, est-elle sincère avec ton Dieu ?

             Bien-aimé, le jour du salut est là. Le Seigneur Jésus t'appelle pour qu'Il te donne le repos, la paix et la joie, que le monde ne te donnera pas. Jésus-Christ, l'Agneau de Dieu, est venu pour que Ses élus aient la vie en abondance (Jean 10. 10) et cette vie est disposée à tous ceux qui confessent Son nom et Lui rendent un culte agréable. En dehors de Lui, aucune autre personne ne peut donner cette vie quelle que soit sa renommée mondiale ou biblique, car la Bible te dit : ''Il n'y a  de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés''.

             C'est pourquoi, je te demande de croire seulement au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta famille ; Lui seul est l'intermédiaire entre Dieu et les hommes (I Tim. 2. 5).



''A Lui, la gloire et la louange à perpétuité.''
Amen.
                                                                                                          Votre Frère KYUNGU J. P.
                                                                                  
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La paix du Moyen-Orient  = La paix universelle



Lequel d'entre nous ne s'est pas déjà posé cette question lancinante : Quand enfin verrons-nous la paix au Moyen-Orient ? Un seul peut répondre à cette cruciale question : Le Maître incontesté de l'Univers ! Par là, nous comprenons l'ampleur, comme aussi l'ambiguïté de la question et de sa solution, puisque son dénouement doit apporter non seulement une paix juste et durable pour cette région, mais pour le monde entier.

Israël fut dès les origines de la terre, non seulement le peuple de prédilection, mais le peuple élu, choisi de Dieu pour y manifester Sa gloire et Sa puissance souveraine. Mais à cause de son infidélité envers l'alliance qu'Il avait conclue avec les patriarches, Il dut souvent recourir à la manière forte pour les ramener dans le sillage de sa vocation (Jérémie 4. 1-2). Pour cela, ils vécurent plusieurs déportations, dont celle qui leur valut 400 ans d'exil en Égypte sous le règne des Pharaons et dont nous connaissons tous le retour en triomphe sous la conduite de Moïse et de Josué, 1500 ans avant notre ère. Au Sinaï, Dieu donna à Son peuple la loi, qui devait être la ligne maîtresse tel un pédagogue qui devait lui révéler la nécessité d'un Messie, d'un Médiateur : Le Christ ! Normalement, au travers de cette expérience, Israël aurait dû saluer l'apparition du Sauveur, comme le fit Jean-Baptiste : Voici l' Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde (Jean 2. 29).

Mais au lieu de cela, ils crièrent : Ôte-Le, nous ne voulons pas que Celui-ci règne sur nous ! Ils avaient pourtant compris le plan de Dieu, puisque même une femme à la conduite douteuse avait dit à Jésus : Nous savons que le salut vient des Juifs. Et l'Évangile le confirme en disant : Le salut est venu vers les siens et les siens ne l'ont pas reçu. Mais à tous ceux qui l'ont reçu, Il a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu, en passant par une nouvelle naissance (Jean 1. 11-12).

Ainsi pour avoir refusé le plan rédempteur de Dieu, en l'an 70 de notre ère, les Juifs subirent une nouvelle déportation parmi les nations, la grande diaspora dont la parenthèse est sur le point de se fermer selon la prophétie d'Ésaïe 66 : 20. Il est donc juste de dire que l'histoire d'Israël est l'accomplissement des prophéties, par la prescience du Dieu-Créateur. Depuis le règne de Titus, ils eurent à subir l'antisémitisme partout, afin qu'ils comprissent que leur malheur ne venait que de leur rébellion à la volonté de Dieu. Ils furent foulés aux pieds comme la boue des rues jusqu'à ce que le décret divin soit abrogé (Michée 7. 10-11). Tout cela s'est réalisé à la lettre jusqu'à aujourd'hui. Cependant, en 1897, lors du Ier Congrès mondial juif à Bâle, ils devinrent conscients que l'heure du destin avait sonné pour eux. C'est dès lors que les premiers immigrants Juifs embrassèrent le sol de la patrie perdue et retrouvée, et qu'avec la bénédiction du Très-Haut, ils virent refleurir le désert, selon, les prophéties d' Ésaïe 32. 14-18. Tout cela pour accomplir le plan messianique de Dieu (Ésaïe 43. 21). Durant plus de 19 siècles, ils attendirent le Jour de Lumière qui ne fut hélas que ténèbres (Amos 5. 18-20). Depuis la proclamation de l'État d'Israël, tout a changé ; puisque même à l'ONU, les États communistes, sans s'en rendre compte, approuvèrent la résolution des Nations Unies et confirmaient ainsi le plan de Dieu à l'égard du peuple juif ( Prov. 16. 17).


Il est assez compréhensible que les Arabes se sentirent frustrés et qu'ils prirent les armes. Mais quel ne fut pas l'étonnement du monde entier en voyant cette poignée de Juifs tenir tête à toutes ces armées arabes et les vaincre. Les guerres de 1956, 1967 et de 1973, ne furent simplement qu'une suite étonnante de miracles, fruits de l'intervention de l'Éternel-Dieu.
Jésus a dit : Priez pour la paix de Jérusalem ! Cette prière est partiellement exaucée puisque Jérusalem n'est plus foulée aux pieds par les Nations depuis 1967 (Luc 21.24). Et cette génération (nous) ne passera pas sans voir le règne de Dieu s'établir (Matt. 24. 34). Questionnez un Juif à ce sujet : Nous attendons le Messie d'un moment à l'autre. Cette déclaration est conforme à la Vérité. Nous aussi, chrétiens bibliques, nous l'attendons. Sa venue est très proche. Pour Israël, c'est sur le Mont des Oliviers que Ses pieds se poseront et c'est de là qu'Il réduira au silence tous ses ennemis, dans la Vallée de Meggido. Là, dit l'Éternel, Je détruirai tous Mes ennemis (Apoc. 11. 17-18 ; Jér. 2. 3 ; II Thess.2. 8). Quels sont ces ennemis ? Ce sera le sort d'un corps expéditionnaire communiste, puisque nous trouvons dans les prophéties les noms de Russie, Moscou, etc. Leurs cadavres tomberont comme du fumier (Jérémie 9. 22). Et voici un petit schéma qui donne les noms des ennemis qui en vain s'opposeront au plan de Dieu, dont chaque première lettre donne le nom d'Israël :

I =   Irak
S = Syrie
R = Russie
       A = Arabie-Saoudite
E = Égypte
L = Liban


Après avoir perdu les 2/3 de ses effectifs, Israël se tournera vers Celui qu'ils ont percé (Zach. 12. 9-10), se convertiront à Jésus, proclamé Roi de toute la terre (Zach. 9. 10). Puis prêcheront le salut en Christ sur toute la terre (Esaïe 66. 19). Jérusalem deviendra le siège d'un gouvernement mondial (Ésaïe 2. 2-4). Le mal sera vaincu et la connaissance de l'Éternel remplira toute la terre (Habac. 2. 14). A ce moment, comme un bruit de tonnerre, dans le Ciel et sur la terre, résonnera l'AMEN du SEIGNEUR-ÉTERNEL !
Qui sait, cher lecteur, lectrice, si tu passeras le cap des 1260 jours, temps de la confrontation dont parle l'ange de l'Apocalypse. Ne prends pas un tel risque. Demain ne t'appartient pas, mais aujourd'hui, au travers de ce message, Jésus t'appelle et t'invite à te réconcilier avec Lui. C'est nous qui sommes les coupables transgresseurs des Lois divines, mais c'est Lui qui a fait le premier pas en donnant Sa Vie sur la croix pour toi et pour moi. Reçois-Le donc en ton cœur comme ton Sauveur !
                                                                                                                                     Jean Schwab 


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LE FAMEUX PRÉSERVATIF



©Dewis Goubié HILLAH
Tous droits réservés pour tous pays. Ne sont autorisées que les copies à usage privé.


      Il se peut qu'il y ait encore sur cette terre des gens qui ne savent pas ce qu’est le Sida. Il est même certain que malgré toutes les campagnes de sensibilisation, tout le tapage médiatique, il y a encore des gens qui ne croient pas en l’existence effective de cette maladie. C’est bien dommage, car le S.I.D.A, Syndrome Immunodéficience Acquis existe bel et bien et tue.
Le SIDA est une maladie du sang ; il est l’étape finale de l’infection au VIH. Le VIH est un virus qui détruit les globules blancs, et de ce fait, laisse l’organisme sans défense contre toutes les autres maladies contagieuses qui, profitant de la déficience immunitaire, se développent aisément.
Ce virus, d’année en année, continue de se répandre dans le monde et en particulier au Bénin. Les chiffres sont éloquents :
Au Bénin, 0,28 % de la population étaient infectés par le VIH en 1992 ; ce pourcentage est passé en 1993 à 0,49 % puis à 1,46 % en 1994 pour atteindre finalement en l’an 2000, 4 % de la population. Ce pourcentage de 4 % équivaut à environ deux cent mille (200 000) personnes. Ces chiffres ne sont que des estimations. La réalité est pire. Les officiels du Ministère de la Santé Publique ont déclaré en Décembre 2003 que 1,9 % des femmes enceintes sont infectées. En Ouganda les ravages sont tels que des villages entiers sont dépeuplés et de nombreux enfants sont orphelins et sans soutien.
Le SIDA est la peste des temps présents. C’est une calamité mondiale. Il se transmet généralement, selon les médecins, de quatre manières :

  • par les rapports sexuels ;
  • par les transfusions sanguines faites avec du sang contaminé ;
  • par les injections faites avec les aiguilles contaminées ;
  • par le biais du placenta, de la mère au fœtus.

Mais ce qui est encore plus effrayant, c’est que jusqu’au jour d’aujourd’hui la communauté médicale internationale n’a trouvé aucun remède pouvant guérir cette maladie ; même pas un vaccin fiable pouvant empêcher de la contracter. Le sida est une maladie incurable. Aussi met-on l’accent sur les campagnes de sensibilisation au cours desquelles les conseils suivants sont donnés :

  1. Abstinence sexuelle pour ceux qui sont célibataires et qui le peuvent ;
  2. Fidélité au conjoint dans le cadre du mariage ou du concubinage ;
  3. Utilisation du préservatif ou condom si l’on a des partenaires multiples, si l’on a des doutes sur le partenaire (vagabond sexuel), ou si le partenaire est infecté ;
  4. Non-utilisation :

  • de la brosse à dents d’autrui ;
  • des aiguilles déjà employées par quelqu’un d’autre ;
  • des lames déjà employées par autrui ;
  • des seringues et aiguilles ayant déjà servi pour une injection.      
Malgré cet effort constant des autorités publiques, la maladie gagne du terrain, l’épidémie est dans une phase de croissance auto-entretenue. Pourquoi ?
Parce qu’on a fait croire aux gens que le préservatif, le fameux préservatif, cette petite poche en latex, est une protection parfaite contre le VIH. Aussi chacun donne-t-il libre cours à ses instincts sexuels, dans un élan collectif de lubricité.
La foi au « sexe sans risque » a engendré un tel engouement pour le sexe, une telle licence des mœurs que toutes les barrières morales sont en train de céder. On va jusqu’à distribuer gratuitement le condom à de jeunes élèves des collèges et lycées !
Mais toute la vérité n’a pas été dite sur le PRÉSERVATIF :

 Le CONDOM n’est pas infaillible !

Il faut tout d’abord savoir que :

  1. Le condom peut se rompre au cours de l’acte sexuel. Cet accident peut vous être fatal ;
  2. Il faut savoir également que : « Le virus du SIDA est vingt-cinq (25) fois plus petit que le spermatozoïde et peut traverser facilement les canaux et interstices les plus petits du préservatif.
Les chercheurs qui font des tests sur les gants chirurgicaux en latex (le même matériel utilisé pour fabriquer les préservatifs) ont découvert « des canaux de cinq (5) microns qui traversaient l'épaisseur entière du gant ». Le virus du Sida ne mesure qu’un dixième de micron (0,1 micron NDLR) ! Il peut donc traverser le condom et vous infecter# ;

  1. Enfin « Une étude de couples mariés où l’un des partenaires est séropositif (infecté NDLR) a révélé que 17 % des partenaires qui utilisaient les préservatifs comme protection attrapèrent quand même le virus en moins d’un an et demi. »#.

Vous avez donc, scientifiquement parlant, 17 % de chance d’être contaminé chaque fois que vous avez des rapports sexuels avec une personne infectée. Si donc vous avez le malheur de tomber sur un porteur asymptomatique du VIH-SIDA, c’est-à-dire une personne infectée mais qui ne développe pas encore la maladie, après six (6) rapports sexuels avec elle, si Dieu ne vous préserve pas dans sa bonté, vous serez aussi séropositif.
          Le préservatif n’est donc pas efficace pour vous préserver du Sida. Ne mettez pas votre foi en lui, mais mettez plutôt votre foi en Jésus-Christ en pratiquant :

  • l’abstinence sexuelle, si vous êtes encore célibataire
ou

  • la fidélité conjugale si vous êtes marié.

Le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, le Dieu créateur du ciel et de la terre, a créé le sexe non seulement pour la procréation (Genèse 1. 27, 28) mais aussi pour créer une profonde communion entre l’homme et la femme afin qu’ils deviennent une seule chair (Genèse 2. 24 ; Matthieu 19. 4-6 ; I Corinthiens 6. 16, 17). Cette union sexuelle selon le commandement de Dieu ne doit avoir lieu que dans le cadre strict du mariage. Aussi Dieu punissait-il de mort dans l’Ancien Testament les relations sexuelles qui sortaient de ce cadre :
Lévitique 20. 10 « Si un homme commet adultère avec une femme mariée, s’il commet adultère avec la femme de son prochain, l’homme et la femme adultères seront punis de mort. » ;
Deutéronome 22. 13-21 : « Si un homme, qui a pris une femme et est allé vers elle, éprouve ensuite de l’aversion pour sa personne, s’il lui impute des choses criminelles et porte atteinte à sa réputation, en disant : J’ai pris cette femme, je me suis approché d’elle, et je ne l’ai pas trouvée vierge, — alors le père et la mère de la jeune femme prendront les signes de sa virginité et les produiront devant les anciens de la ville, à la porte. Le père de la jeune femme dira aux anciens : J’ai donné ma fille pour femme à cet homme, et il l’a prise en aversion ; il lui impute des choses criminelles, en disant : Je n’ai pas trouvé ta fille vierge. Or voici les signes de virginité de ma fille. Et ils déploieront son vêtement devant les anciens de la ville. Les anciens de la ville saisiront alors cet homme et le châtieront ; et, parce qu’il a porté atteinte à la réputation d’une vierge d’Israël, ils le condamneront à une amende de cent sicles d’argent, qu’ils donneront au père de la jeune femme. Elle restera sa femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu’il vivra. Mais si le fait est vrai, si la jeune femme ne s’est point trouvée vierge, on fera sortir la jeune femme à l’entrée de la maison de son père ; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu’elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi. »

     Les rapports sexuels entre deux personnes célibataires, même dans le cadre du concubinage sont un péché aux yeux de Dieu qui les appelle fornication, impudicité ou prostitution ; mais si l’un des partenaires est légalement marié, il s’agit alors de l’adultère.
Dieu punira du châtiment éternel les adultères et les fornicateurs, tout comme les idolâtres, les enchanteurs, les incrédules, les menteurs et les meurtriers (avortement, suicide, assassinat, haine…). Dieu les jettera dans l’étang ardent de feu et de soufre :
Hébreux 13. 4 : « Que le mariage soit honoré de tous, et le lit conjugal exempt de souillure, car Dieu jugera les impudiques et les adultères. » ;
et encore :
Apocalypse 21. 8 : « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. »
Que vous croyez au jugement dernier ou non (Apocalypse 20. 11-15), cela ne changera rien à la sanction que vous écoperez à votre mort ; Dieu vous jettera dans l’étang ardent de feu et de soufre pour cause d’adultère ou de fornication entre bien d’autres péchés que vous commettez dans le cadre de ces relations illicites :

  • mensonge ;
  • dissimulation ;
  • tromperie ;
  • fausses promesses ;
  • jalousie ;
  • avortement ;
  • méchanceté ;
  • abomination.

Repentez-vous et tournez-vous vers Jésus, Il vous donnera la force de résister à la fornication et à l’adultère. Criez à Lui et Il vous délivrera de la masturbation et de l’impureté sexuelle.
         Si vous êtes sincère, adressez-vous à Jésus-Christ votre Sauveur et demandez-Lui de vous pardonner vos péchés selon l’immensité de Sa Grâce.
Enfin, il est bon de savoir que celui qui utilise le préservatif est un meurtrier aux yeux de Dieu, car il empêche par son geste la fécondation de la femme allant ainsi contre un commandement de Dieu : 
Genèse 1. 27-28 : « Dieu créa l’homme à son image, Il le créa à l’image de Dieu, Il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. »
Ce qu’il fait est en abomination à Dieu. L’utilisation du condom même dans le cadre du mariage est un péché :
Cela équivaut au péché d’Onan ; c’est « se souiller à terre » ; car le liquide séminal, la semence n’est pas déversée dans la femme. Dieu hait suprêmement une telle pratique selon qu’il est écrit que :
Genèse 38. 6-10 : «Juda prit pour Er, son premier-né, une femme nommée Tamar. Er, premier-né de Juda, était méchant aux yeux de l'Éternel ; et l'Éternel le fit mourir. Alors Juda dit à Onan : Va vers la femme de ton frère, prends-la, comme beau-frère, et suscite une postérité à ton frère. Onan, sachant que cette postérité ne serait pas à lui, se souillait à terre lorsqu’il allait vers la femme de son frère, afin de ne pas donner de postérité à son frère. Ce qu’il faisait déplut à l’Éternel, qui le fit aussi mourir. »
Repentez-vous donc et cessez d’utiliser cet objet abominable.

                                                                            Pasteur Dewis HILLAH
    
 
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N'ALLEZ PAS DANS LES SECTES !





Jean SCHWAB


Dans votre vie, il vous est certainement arrivé plus d’une fois que l’on vous adresse cette étrange recommandation imprégnée de sagesse et vous invitant à une certaine prudence.
Pourtant cette curieuse mise en garde est-elle dite bien à propos ? Que d’égarements, que de cruelles et amères  déceptions n’ont-ils pas endurés certains de ceux qui se sont laissés surprendre par une propagande savamment orchestrée et cachant un amas de mensonges. Ceux qui vous ont invités à participer à certaines réunions étaient peut-être sincères et c’est cette sincérité qui vous a désarmé et que finalement, vous avez cédé en répondant à l’invitation. Mais la sincérité la plus absolue peut cacher l’erreur. Comme lors d’une sortie, vous pouvez monter dans un train et ne vous apercevoir qu’en cours de route que vous vous êtes trompé de ligne, incident toujours très désagréable.
Dans le domaine spirituel, il y a une possibilité de ne jamais se laisser surprendre par l’erreur ou le mensonge. C’est celle d’être droit de cœur, honnête envers soi-même et de prier ainsi :
Seigneur, conduis-moi dans la vérité ! Alors Celui qui incarne la Vérité, Celui même qui a dit : "Je suis la Vérité”, vous éclairera et vous montrera le chemin. Il le fera toujours parce qu’Il a dit aussi : "Je suis le Chemin”. Il se révèlera à vous de cette manière que vous ne serez jamais dans l’incertitude. Le grand roi d’Israël a connu bien des situations embarrassantes, mais après avoir imploré l’Éternel, il était toujours au clair, puisque dans le Psaume 36. 10, il affirme : "Par Ta lumière,   nous voyons la lumière”. C’est précisément dans la lumière de cette clarté divine qu’apparaît la ligne de démarcation entre le faux et le vrai, l’erreur et la vérité, le mal et le bien.
Nous savons donc ainsi qui et quelles dénominations doivent être classés parmi les sectes et qu’aussi, nous savons qui est l’Eglise de Jésus-Christ.
Il est impérieux de dire que la Vérité ne peut être comprise que par la révélation du Saint-Esprit qui nous conduit dans toute la Vérité. Nous ne comprenons donc la Bible que par le même Esprit que celui par lequel elle fut écrite. Lorsque le Christ demanda à Pierre ce qu’il pensait qu’Il était, il Lui répondit : "Tu es le Christ, le Fils de Dieu !” Jésus lui dit alors : "Tu es heureux Simon, car ce n’est pas la chair ou le sang qui t’ont révélé ces choses, mais l’Esprit de Mon Père.” Ainsi, cette divine Parole écrite pour nos pères et transcrite au travers des siècles par Ses fidèles serviteurs est à la portée et à la compréhension de tous ceux qui de tout leur cœur veulent connaître la Vérité et servir Dieu en Esprit et en Vérité, afin que l’amen que le Seigneur prononce dans le ciel résonne aussi en nos âmes et consciences.
Si maintenant, nous pluralisons ce qui précède, nous arrivons à la définition de l’Église. Lorsque nous parlons d’Église, nous sous-entendons généralement un lieu, une construction, un édifice. Mais, à ce sujet, l’Écriture dit : Je n’habiterai plus dans des temples faits de mains d’hommes mais dans des cœurs régénérés par la Grâce (Éph. 3. 17-19). L’Église pilote, l’Église primitive est née où ? Là où Jésus a convoqué Ses disciples et c’est là sous l’action du Saint-Esprit manifesté en eux et sur eux qu’a été engendrée l’Église (Actes 2. 2-4). Il est donc clair que l’Église au sens scripturaire est non un édifice mais un corps dont la tête est le Christ et les membres l’ensemble des croyants transformés par l’œuvre rédemptrice de la croix du Calvaire
(ICorinthiens 12. 27-30). C’est pourquoi, nous lisons ensuite que le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église, ceux qui étaient sauvés (Actes2. 47), parce que la prédication produisait la conviction de péché. Les âmes cherchaient le salut et dans l’humiliation le trouvaient, faisant ainsi d’elles des témoins remplis du Saint-Esprit, après avoir été baptisées d’eau selon la Parole du Seigneur (Marc 16. 16-20)
Or dans le chaos spirituel où nous vivons aujourd’hui, il faut admettre qu’il y a davantage de brouilleurs de conscience que de libérateurs de conscience, davantage de sectes (officielles ou non) que de groupements fondés sur la Parole révélée et manifestée par le Saint-Esprit (Marc 16. 20). Voici un exemple irréfutable ! Si lors de visites à des prisonniers dans leurs cellules, je pose la question à l’un ou à l’autre : Quelle religion pratiquez-vous ? Je suis catholique, je suis protestant. Leurs réponses prouvent donc qu’une religion n’a pas la puissance de sauver et de transformer un cœur, une vie, mais seulement Jésus-Christ produit ce miracle fondamental.
La religion n’est qu’une forme de vénération que l’homme donne à une divinité. C’est une idéologie, une théologie sans vie, sans puissance, incapable de briser un cœur endurci et irrégénéré. Vous pouvez écouter durant votre vie de belles prédications, mais quand de l’Évangile on en a renié ce qui fait sa force, il n’est bon qu’à être rejeté et foulé aux pieds (Romains 1. 25).
Voilà pourquoi, Dieu dit dans Sa Parole : Sortez de Babylone, Mon Peuple, afin de ne point participer à son péché et à son jugement (IICorinthiens 6. 14-18 ; Apocalypse 18. 4). Reniez toutes les doctrines apostates qui ont fait de votre cœur un désert de tristesse, de fausses espérances et de révoltes. Recherchez plutôt la communauté de ceux qui connaissent la joie du salut, la paix du cœur, l’affranchissement du vice et du péché. Là, vous trouverez cette glorieuse réalité qui comblera le vide de votre cœur dont vous avez tant souffert dans cette  solitude sans amour et sans paix. Seule la présence réelle et vivante de Jésus en vous produira le vrai et parfait bonheur de votre soupir. Ouvre-Lui donc ton cœur, cher lecteur, reçois-Le comme Seigneur et Sauveur dans ta vie et en lieu et place de ton pesant fardeau, tu réaliseras un bonheur qui coulera comme un fleuve.
                                                  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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LEQUEL DES DEUX ? JÉSUS OU MOHAMED ?


G.-H. ROUSSE, M.A., D.D.

Les musulmans et les chrétiens s’accordent sur plusieurs points de doctrine. Les uns et les autres reconnaissent qu’il y a un seul Dieu, créateur du genre humain ; que le premier homme et la première femme, Adam et Ève, déçus par Satan, tombèrent dans le péché ; que Dieu a envoyé plusieurs prophètes et prédicateurs dans le monde pour enseigner aux hommes à distinguer le bien du mal ; et que parmi ces envoyés, il y eut : Noé, Abraham, Joseph, Moïse, David, etc. Par leur entremise, Dieu donna aux hommes la Tourat (Pentateuque), le Zabor (Psaumes et Prophètes). Enfin, Il envoya Jésus, et par Lui, Il donna l’Injil (Évangile). Musulmans et chrétiens acceptent tout cela. Mais, nos frères musulmans vont plus loin et ajoutent qu’après Jésus-Christ, Mohammed vint : qu’il est le dernier et le plus grand, le sceau des prophètes ; que sa religion est la seule vraie, et que seul celui qui en observera les règles obtiendra le salut. Non, répondent les Chrétiens, Jésus-Christ est le dernier et de beaucoup le plus grand de tous les prophètes envoyés de Dieu et c’est par Lui seul que nous pouvons être sauvés. La différence réelle entre les uns et les autres est donc celle-ci : Les chrétiens affirment que c’est Jésus, tandis que les musulmans soutiennent, au contraire, que c’est Mohamed. Comparons-les donc tous deux et acceptons celui que nous trouverons être le plus grand.


Considérons-les d’abord en ce qui concerne leur naissance.
Le père de Mohamed se nommait Abd-Allah et sa mère Amina ; il naquit, ainsi que tout le monde, de son père et de sa mère. Aucun fait extraordinaire ne signala sa venue, et pendant plusieurs années aucun signe miraculeux ne le mit en relief ; et ce n’est qu’à l’âge de quarante ans qu’il prétendit que l’ange Gabriel lui avait parlé. Mais jusque-là rien ne le désigna à ses contemporains comme étant destiné à devenir un grand prophète. Il est vrai que quelques musulmans ignorants racontent de merveilleuses histoires sur la naissance de Mohamed ; mais les musulmans intelligents n’ignorent pas que rien de tout cela n’est écrit dans le Coran et que ces légendes furent inventées longtemps après sa mort.
Voyons maintenant comment naquit Jésus-Christ. Sa naissance fut miraculeuse à ce que dit le Coran lui-même. Dans la 19e Sourat, Mariam, verset 18 (d’après Kasimirski), nous lisons que lorsque l’ange Gabriel apparut à Marie elle en fut si terrifiée qu’elle dit : « Je cherche un refuge auprès du Miséricordieux. Gabriel lui répondit : Je suis l’envoyé de ton Seigneur, chargé de te donner un fils saint. — Comment, répondit-elle, aurais-je un fils ? Aucun homme n’a jamais approché de moi, et je ne suis point une femme dissolue. Il répondit : Il en sera ainsi ; ton Seigneur a dit : Ceci est facile pour moi. Il sera notre signe devant les hommes et la preuve de notre miséricorde. » Le Coran nous montre clairement que Gabriel vint de la part de Dieu pour annoncer d’avance à Marie la naissance de Jésus-Christ, et qu’elle l’enfanta sans avoir connu aucun homme. Nous trouvons encore dans la 21e Sourate, Les prophètes, verset 91 : « Souviens-toi aussi de celle qui avait conservé sa virginité et en qui nous soufflâmes une partie de notre esprit ; nous la constituâmes, avec son fils, un signe pour l’univers ».
Frères musulmans, vous dites que le Coran est la parole de Dieu, vous serez donc obligés de reconnaître que Jésus est né d’une façon merveilleuse. Les chrétiens n’acceptent pas le Coran mais l’Évangile, dans lequel le même fait se trouve mentionné. Plus de sept siècles avant la naissance de Jésus-Christ, le prophète Esaïe (7. 14) écrivait ces paroles : « Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. » Le récit de l’accomplissement de cette prophétie se trouve dans l’Évangile (Luc 1. 28-36) et est ainsi conçu : « L’ange étant entré dans le lieu où était Marie, lui dit : Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi. Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation. L’ange lui dit : Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il règnera sur la maison de Jacob éternellement, et Son règne n’aura point de fin. Marie dit à l’ange : Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme ? L’ange lui répondit : Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très-haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu ». Le Coran et l’Évangile concordent sur le fait de la naissance miraculeuse de Jésus-Christ. La différence entre Mohamed et Jésus c’est que le premier est né selon la loi commune, tandis que Jésus est né d’une manière extraordinaire et par la puissance immédiate de Dieu.


Examinant ensuite leur caractère moral, nous verrons qu’une grande différence existe entre eux. Mohamed étant né, comme naissent tous les autres hommes, doit nécessairement hériter de la même nature pécheresse. Nous trouvons dans le Coran des preuves évidentes de ce que nous avançons. Dans la 93e Sourat, La Matinée, verset 7, nous lisons ce qui suit : « Il t’a trouvé égaré et il t’a guidé. » Et au 57e verset de la 40e Sourat, Le Croyant, nous lisons encore : « Implore auprès de Dieu le pardon de tes péchés. » De même dans la 110e Sourat, L’Assistance, et au verset 3, il est écrit : « Chante les louanges de ton Seigneur et implore son pardon. » Aussi dans la 48e Sourat, La Victoire, au verset 2, nous trouvons : « Que Dieu te pardonne tes fautes anciennes et récentes. » Ces divers passages du Coran prouvent surabondamment que Mohamed fut un pécheur comme le commun des mortels.
Jésus-Christ étant né d’une façon miraculeuse doit nécessairement hériter d’une nature pure et sans tache. Des preuves de ce fait peuvent être tirées du Coran même. Tous les prophètes qui y sont mentionnés cherchèrent auprès de Dieu le pardon de leurs péchés, donc c’est qu’ils se reconnurent pécheurs. Fait digne de remarque, le Coran ne mentionne pas la moindre faute à Jésus-Christ. Au contraire, dans la 4e Sourat, Les Femmes, verset 169, nous lisons : « Le Messie, Jésus, fils de Marie, est l’Apôtre de Dieu et Son Verbe qu’Il jeta dans Marie ; Il est un Esprit venant de Dieu. » De même dans la 3e Sourat, La Famille d’Imram, verset 40, il est écrit : « Les anges dirent à Marie : Dieu t’annonce Son Verbe. Il se nommera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre dans ce monde et dans l’autre, et un des familiers de Dieu. » Jésus, étant le Verbe et l’Esprit de Dieu, doit nécessairement être parfait, pur et sans tache. L’Évangile corrobore le même fait. Dès avant la naissance de Jésus, l’ange Gabriel annonça à Marie qu’Il serait saint (Luc 1. 35). Jésus Lui-Même dit : « Je fais toujours la volonté de celui qui M’a envoyé. » (Jean 8. 29). S’adressant à Ses ennemis, Il leur dit : « Lequel de vous Me convaincra de péché ? » (Jean 8. 46). Dans une autre circonstance, Il dit encore : « Le Prince de ce monde (Satan) vient, mais il n’a rien en moi. » (Jean 14. 30). Dans la 1e Épître de l’apôtre Pierre, il est dit qu’Il fut sans défaut et sans tache. Ainsi, le second point de différence entre Mohammed et Jésus est bien établi : Mohamed fut un pécheur, tandis que Jésus fut sans péché.


Troisième point de différence entre Jésus-Christ et Mohamed : Jésus fit plusieurs miracles, tandis que Mohamed n’en fit aucun. Il est vrai que les musulmans affirment qu’il fendit la lune en deux et opéra plusieurs autres miracles. Mais, en examinant ce sujet, nous verrons que les récits des miracles de Mohamed ne furent écrits que plus de cent ans après sa mort ; nous ne pouvons donc pas assurer qu’ils soient authentiques. Si quelqu’un venait nous dire : Un tel a rendu la vue à un aveugle il y a vingt-cinq ans, cette assertion pourrait encore être affirmée ou infirmée par bien des gens. Mais s’il y a cent ou deux cents ans que le fait s’est accompli, comment pourrait-il être contrôlé si longtemps après avoir eu lieu ? Tous les gens vivants à cette époque seraient déjà disparus et faute de preuve personne n’accepterait cette allégation. De même, il n’existe aucune preuve des miracles de Mohamed. Nous regardons plutôt tous ces récits comme légendaires, puisque Mohamed dit lui-même dans le Coran qu’il n’a jamais fait de miracle. Dans divers passages du Coran il est écrit que les infidèles demandèrent à Mohamed de leur montrer un signe, mais il leur répondit que Dieu n’avait pas besoin d’accomplir des miracles par son moyen. Nous ne mentionnerons que deux passages à ce sujet. Dans la 29e Sourat, L’Araignée, verset 49, nous lisons : « Les infidèles disent : Si au moins des miracles lui étaient accordés de la part de son Seigneur, nous croirions. Réponds-leur : Les miracles sont au pouvoir de Dieu, et moi je ne suis qu’un envoyé chargé d’avertir ouvertement. » De même dans la 17e Sourat, Le Voyage Nocturne, verset 61, nous trouvons : ‘’Rien ne nous aurait empêché de t’envoyer avec le pouvoir des miracles, si les peuples d’autrefois n’avaient déjà traité de mensonges les précédents. » Ici encore, le Coran enseigne clairement que Mohamed ne montra aucun signe et ne fit aucun miracle parmi ses contemporains. Bien au contraire, la vie de Jésus-Christ est une suite continue de miracles. Il rendit la vue aux aveugles, l’ouïe aux sourds et aux boiteux la force de marcher. Il purifia des lépreux, guérit beaucoup d’autres malades ; bien plus, il ressuscita trois morts, dont l’un était dans le tombeau depuis quatre jours. Les autres prophètes firent des miracles au nom de Dieu ; Jésus-Christ accomplissait ses œuvres miraculeuses en son propre nom et par sa propre puissance en communion avec Dieu. Celui qui a révélé Sa puissance et Sa miséricorde infinie par de telles œuvres est indubitablement le Sauveur.


Voici maintenant le quatrième point de différence. Mohamed mourut, et chacun le sait. Il naquit comme tout le monde naît, et mourut et chacun le sait. Il naquit comme tout le monde naît, et mourut comme tout le monde meurt. Il naquit à la Mecque et mourut à Médine. Après sa mort, il fut enseveli, et son corps se corrompit comme celui des autres hommes. Telle ne fut pas la fin de Jésus-Christ. Sa mort est mentionnée plusieurs fois dans le Coran en ces termes : « Certes c’est moi qui te fais subir la mort, et c’est moi qui t’élève à moi. » La Sourat, La Famille d’Imram, verset 48. Dans la 10e Sourat, Mariam, verset 34, Jésus dit : « La paix sera sur moi au jour où je naquis, et au jour où je mourrai, et au jour où je serai ressuscité. » 5e Sourat, la Table, verset 117 : « Tant que je demeurai sur la terre, je pouvais témoigner contre eux ; et lorsque tu m’as fait mourir, tu avais les yeux fixés sur eux. » Mais dans la 4e Sourat, Les Femmes, verset 156, il est écrit : « Ils ne l’ont point tué, ils ne l’ont point crucifié ; un homme qui lui ressemblait fut mis à sa place… Ils ne l’ont point tué réellement. Dieu l’a élevé à lui. » Si ce second récit est authentique, les musulmans doivent reconnaître que Jésus ne mourut pas, mais qu’Il fut élevé vivant dans le ciel, tandis que Mohamed mourut et son corps revint à la poussière. Lequel donc de ces deux prophètes appellerons-nous le Sauveur du monde ? Celui qui est mort ou celui qui est toujours vivant ?
Mais il est formellement écrit dans l’Évangile que Jésus-Christ mourut. Les Romains le prirent et le clouèrent sur la croix. Six heures après, Il expirait et Son corps fut mis dans le sépulcre. Peut-être dira-t-on : Puisque Jésus et Mohamed sont morts, quelle est donc la différence entre eux ? La différence, la voici : Mohamed mourut, mais ne ressuscita jamais ; tandis que Jésus-Christ ne resta pas dans le tombeau, le troisième jour il revint à la vie, et sortit du sépulcre. Dans l’Évangile, les quatre évangélistes Matthieu, Marc, Luc et Jean ont écrit un récit de la vie de Jésus-Christ ; les quatre s’accordent pour dire qu’Il ressuscita du tombeau et apparut à plusieurs personnes. Très tôt le dimanche matin, lorsque quelques femmes croyantes vinrent au sépulcre pour embaumer le corps de Jésus, elles trouvèrent le tombeau ouvert et vide. Alors, deux anges leur apparurent et leur dirent : « Ne craignez point, car je sais que vous cherchez Jésus qui a été crucifié. Il n’est point ici : Il est ressuscité comme Il l’avait dit. Venez, voyez le lieu où Il était couché, et allez promptement dire à Ses disciples qu’Il est ressuscité des morts. » (Matthieu 28. 6-7). Après cela, Jésus apparut Lui-Même aux femmes, puis à Pierre et ensuite aux onze apôtres. Il apparut encore d’autres fois à plusieurs disciples et Il se montra à plus de cinq cents personnes en un même lieu. Après sa résurrection, il resta encore quarante jours sur la terre et se rencontra bien des fois avec Ses disciples. À ce moment-là Son corps n’était plus un corps ordinaire ; Il pouvait aller où et comme Il voulait ; il pouvait entrer et sortir, les portes étant fermées ; Il n’avait nul besoin de nourriture. Enfin, Il conduisit Ses disciples sur une montagne près de Jérusalem, et là Il les bénit ; et pendant qu’Il les bénissait, Il fut élevé au ciel du milieu d’eux dans une nuée.
Peut-être, demanderez-vous : Pourquoi Jésus-Christ mourut-Il, vu qu’Il naquit d’une si merveilleuse façon, qu’Il fut sans péché et fit de nombreux miracles ? S’Il était vraiment le plus grand prophète, pourquoi Dieu ne le délivra-t-Il pas de la main des Juifs ? Jésus-Christ est vraiment le seul qui fut sans péché. Mais Sa mort étant le salaire du péché, Il a pris nos péchés sur Lui et en a fait l’expiation pour nous. Voilà pourquoi Jésus-Christ est mort. Le prophète Esaïe, parlant de la venue de Messie, dit au 53e chapitre de sa prophétie : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, nous suivions chacun sa propre voie ; et l’Éternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. » Jésus Lui-Même dit : « Je suis venu pour donner ma vie en rançon pour plusieurs » et dans l’Évangile nous lisons : « Il a porté Lui-Même nos péchés en Son corps sur le bois. » ; « Christ a souffert pour les péchés, lui Le Juste pour les injustes. »
Jugez maintenant, frères musulmans, lequel des deux peut réellement nous sauver ? Mohamed ou Jésus ? Mohamed naquit selon la loi commune. Abd-Allah fut son père, Amina sa mère. Aucun ange n’annonça sa naissance à son père, ni à sa mère ; mais l’ange Gabriel parla de la grandeur de Jésus même avant Sa naissance. Il fut conçu du Saint-Esprit dans le sein de la vierge Marie. Il reçut les noms d’Esprit de Dieu (Rouh Allah) et de Parole de Dieu (Kalimat Allah).
Mohamed se reconnut pécheur. Dans sa naissance et dans sa vie, il fut semblable au reste des hommes. Il se maria plusieurs fois et eut plusieurs femmes à la fois, parmi lesquelles Zeïnab, la femme répudiée de Zeïd, son fils adoptif. Mohamed aussi fit périr plusieurs personnes. Mais Jésus-Christ ne vint pas sur la terre pour se complaire en Lui-Même, mais pour sauver les hommes ; ainsi, Il ne se maria jamais, ne fit jamais mourir personne ; Il vint du ciel non pour tuer, mais pour sauver les hommes. Il ne commit jamais de péché, soit en pensée, soit en parole, soit en action. Frères musulmans, en qui voulez-vous vous confier ? En Mohamed le pécheur, ou en Jésus Le Pur et Le Juste ? Lequel des deux peut vous sauver ? Comment celui qui est lui-même pécheur vous délivrera-t-il du péché ? Un aveugle peut-il conduire un autre aveugle ? Un débiteur peut-il cautionner un autre débiteur ? Seul celui qui n’a jamais péché peut vous délivrer du péché.
Mohamed ne fit jamais aucun miracle, mais Jésus accomplit plusieurs œuvres merveilleuses. Celui qui rendit la vue aux aveugles et la vie aux morts a la puissance de vous sauver des plus terribles conséquences du péché.


Finalement Mohamed est mort, son corps est revenu à la poussière ; mais Jésus-Christ, quoiqu’Il mourût pour expier nos péchés, n’est pas mort à l’heure présente, Il est ressuscité du tombeau, Il est monté au ciel où Il est éternellement vivant pour sauver Son peuple. Il intercède pour les pécheurs. Mohamed peut-il intercéder pour vous ? Un juge accepterait-il l’intercession d’un coupable pour un autre coupable ? Il vous faut un intercesseur qui soit Saint et Juste. Et cet intercesseur, c’est Jésus-Christ. L’apôtre Jean dit dans l’Évangile : « Si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père (Dieu), Jésus-Christ Le Juste ; Il est Lui-Même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (1 Jean 2. 1-2) Un autre apôtre a dit : « Il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par Lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. » (Hébreux 7. 25). Frères, réfugiez-vous en Jésus-Christ, mettez en Lui votre confiance, acceptez-Le comme seul Sauveur et vous obtiendrez la délivrance du péché, et serez sauvés pour l’éternité.
Écoutez Jésus-Christ Lui-Même qui vous dit : « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. Prenez Mon joug sur vous et recevez mes instructions. Car Je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car Mon joug est doux et Mon fardeau léger. » (Matthieu 11. 28-30). Par Sa mort nous pouvons obtenir le pardon de nos péchés, et par Son secours être rendus capables de lutter contre le péché et de vaincre Satan. Il vous délivrera de tout mal, Il intercèdera pour vous auprès de Dieu le Père ; et lorsqu’Il viendra au dernier jour pour juger le monde, Il vous recevra comme Son peuple et vous fera entrer dans le ciel, dans Sa joie infinie. Il a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par Moi. » (Jean 14. 6). Il est le seul chemin qui conduit au ciel, et si vous vous confiez en Lui et que vous L’acceptiez comme votre seul Sauveur et Seigneur, vous serez sûrement sauvés et Il vous prendra pour toujours avec Lui dans le paradis.




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