MARCHER AVEC DIEU, AVEC SA PAROLE
Le plus bel exemple d’obéissance que nous connaissons est celui d’Énoch. Il nous est rapporté que depuis l’âge de 65 ans, il marcha 300 ans avec Dieu. Puis ne fut plus car Dieu le prit à Lui (Genèse 5. 24) . Il ne nous est pas dit ce qu’il a fait jusqu’à l’âge de 65 ans, mais l’on peut déduire que ce fut une période négative. Mais qu’à cet âge cité peut-être lors de la naissance de Métusélah, il s’est passé un fait qui a bouleversé sa vie. Dieu a fait irruption dans sa vie si bien que nous lisons qu’il marcha 300 ans avec Dieu. Ce qui nous apprend aussi que notre vie n’a de valeur qu’à partir du moment où Dieu peut entrer dans le programme de notre vie. Et qu’ainsi du négatif, nous entrons dans le positif, de la vie stérile dans la vie féconde, du mirage de l’éphémère, de l’illusion, dans la glorieuse réalité du Dieu vivant, des ténèbres, dans la Lumière.
La vie d’Énoch fut certainement très mouvementée puisque Jude nous rappelle qu’il fut prophète de Dieu, révélant à Son peuple les oracles de l’Éternel. À part cela, nous ne savons et ne connaissons rien de sa vie. Mais le fait important relaté est qu’il marcha d’une manière agréable à Dieu. Et il nous est dit, notez, non pas qu’il mourut mais que Dieu le prit à Lui. Rien d’étonnant là puisque le Christ lui-même a dit à Ses disciples : « Celui qui croit en Moi ne mourra jamais » (Jean 6. 50). Parce que Jésus en donnant Sa Vie pour nous, l’incarne en nous lorsque nous Le recevons en notre cœur et notre vie comme Seigneur et comme Sauveur. Nous avons ainsi la Vie éternelle comme Il l’a déclaré en disant dans Jean 6. 47 : « Celui qui croit en Moi a la Vie éternelle ».
En relisant le double d’une ancienne lettre, je me rappelais cette expérience merveilleuse que je fis lorsque pour la première fois, je rencontrais Jésus sur mon chemin :
« Aujourd'hui, ce fut un jour mémorable. J’ai trouvé et vécu dans une telle paix. Mon cœur était rempli d’une si débordante joie et d’un tel amour que c’est avec peine que je réalisais que je fus encore sur cette terre des humains. Hier encore, j’étais si accablé, lié par le péché, les soucis de la vie, et paralysé par le désordre d’une vie sans but et sans joie véritable. Même la Bible et ses promesses me semblaient si éloignées. Mais quelle libération, quand Il vint à moi pour me transformer.»
Cependant, je crois que Dieu permet ces déserts, ces effroyables solitudes, afin que nous estimions davantage Sa grâce et le prix de Son salut, la valeur de Sa présence si douce à nos cœurs, si précieuse et indispensable pour nous assurer dans notre marche en ce monde de péché. Ainsi éprouvés, nous veillons plus fermement à ce que l’Ennemi de nos âmes ne puisse nous surprendre et par toute sorte de tentations interrompre notre communion avec le Seigneur. Le roi David a bien dit : Celui qui veille sur nous ne sommeille, ni, ne dort. Combien cette fidélité, cette constance, nous l’apprécions, en pouvant ainsi aller de l’avant avec confiance et en comptant sur Lui. Et si parfois, tout semble obscur, sachons fonder notre foi non sur nos sentiments mais sur Sa vivante Parole qui devient agissante au travers de notre foi. L’Apôtre Paul disait aussi : Je ne consulte ni la chair, ni le sang, mais j’obéis à l’injonction du Saint-Esprit (Gal. 1. 16). Il n’y a pas d’autre ligne de conduite que celle qu’Il nous trace dans Sa Parole, devenue notre ligne de conduite. Ainsi, nous avons toujours la jouissance de Son approbation sur le chemin de cette vie, par Sa paix qui surpasse toute intelligence, contrairement à la tension qui règne et rend ce monde malade.
Avec raison, pouvons-nous ainsi aussi dire avec le Psalmiste : «Heureux celui qui met sa confiance en l’Éternel, car il est comme la montagne de Sion qui ne sera jamais ébranlée.» Quel repos, quelle consolation, quelle sécurité d’avoir une telle assurance, et cela en toutes circonstances de notre vie, si souvent bien mouvementée. Mais Lui demeure fidèle à Sa Parole donnée.
La vie d’Énoch fut certainement très mouvementée puisque Jude nous rappelle qu’il fut prophète de Dieu, révélant à Son peuple les oracles de l’Éternel. À part cela, nous ne savons et ne connaissons rien de sa vie. Mais le fait important relaté est qu’il marcha d’une manière agréable à Dieu. Et il nous est dit, notez, non pas qu’il mourut mais que Dieu le prit à Lui. Rien d’étonnant là puisque le Christ lui-même a dit à Ses disciples : « Celui qui croit en Moi ne mourra jamais » (Jean 6. 50). Parce que Jésus en donnant Sa Vie pour nous, l’incarne en nous lorsque nous Le recevons en notre cœur et notre vie comme Seigneur et comme Sauveur. Nous avons ainsi la Vie éternelle comme Il l’a déclaré en disant dans Jean 6. 47 : « Celui qui croit en Moi a la Vie éternelle ».
En relisant le double d’une ancienne lettre, je me rappelais cette expérience merveilleuse que je fis lorsque pour la première fois, je rencontrais Jésus sur mon chemin :
« Aujourd'hui, ce fut un jour mémorable. J’ai trouvé et vécu dans une telle paix. Mon cœur était rempli d’une si débordante joie et d’un tel amour que c’est avec peine que je réalisais que je fus encore sur cette terre des humains. Hier encore, j’étais si accablé, lié par le péché, les soucis de la vie, et paralysé par le désordre d’une vie sans but et sans joie véritable. Même la Bible et ses promesses me semblaient si éloignées. Mais quelle libération, quand Il vint à moi pour me transformer.»
Cependant, je crois que Dieu permet ces déserts, ces effroyables solitudes, afin que nous estimions davantage Sa grâce et le prix de Son salut, la valeur de Sa présence si douce à nos cœurs, si précieuse et indispensable pour nous assurer dans notre marche en ce monde de péché. Ainsi éprouvés, nous veillons plus fermement à ce que l’Ennemi de nos âmes ne puisse nous surprendre et par toute sorte de tentations interrompre notre communion avec le Seigneur. Le roi David a bien dit : Celui qui veille sur nous ne sommeille, ni, ne dort. Combien cette fidélité, cette constance, nous l’apprécions, en pouvant ainsi aller de l’avant avec confiance et en comptant sur Lui. Et si parfois, tout semble obscur, sachons fonder notre foi non sur nos sentiments mais sur Sa vivante Parole qui devient agissante au travers de notre foi. L’Apôtre Paul disait aussi : Je ne consulte ni la chair, ni le sang, mais j’obéis à l’injonction du Saint-Esprit (Gal. 1. 16). Il n’y a pas d’autre ligne de conduite que celle qu’Il nous trace dans Sa Parole, devenue notre ligne de conduite. Ainsi, nous avons toujours la jouissance de Son approbation sur le chemin de cette vie, par Sa paix qui surpasse toute intelligence, contrairement à la tension qui règne et rend ce monde malade.
Avec raison, pouvons-nous ainsi aussi dire avec le Psalmiste : «Heureux celui qui met sa confiance en l’Éternel, car il est comme la montagne de Sion qui ne sera jamais ébranlée.» Quel repos, quelle consolation, quelle sécurité d’avoir une telle assurance, et cela en toutes circonstances de notre vie, si souvent bien mouvementée. Mais Lui demeure fidèle à Sa Parole donnée.
Jean Schwab
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