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mardi 18 décembre 2012

VISION DU SACRIFICE DE LA CROIX ET DE LA GLOIRE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST.


Par le frère MALESO NGYUXU de la mission MARANATHA, MBANDAKA (RDC).

Notre Seigneur Dieu nous aime infiniment et n'abandonne jamais Ses enfants. Il ne repousse point celui qui vient à lui, qui invoque Son nom (Jean 3 : 16 ; Rom. 10. 13 ; 1 Jean 4. 3-10).
Le témoignage que je vous livre ici est un fait authentique, vécu, qui prouve l'amour de Dieu envers nous. Le récit que vous allez lire dans les lignes qui suivent vous montrera à quel point Notre Dieu nous aime et Il est toujours à nos côtés, dans la joie comme dans le malheur, car Il est le Bon Berger qui veille en tout temps sur Ses brebis (Jean 10. 11-16).
En envoyant Son Fils pour nous sauver, Il rétablit la communication directe avec nous. JESUS-CHRIST, Fils de Dieu, est Notre Sauveur. Il ne change jamais (Hébreux 13. 8). Il est Notre Avocat auprès du Père.


 Voici le récit de cette vision :

Je suis tombé gravement malade le jeudi 22 novembre 1990 à 22 heures. La sœur, mon épouse, et un frère en Christ m'ont amené à l'hôpital général de Mbandaka. Après m'avoir soigné, chose curieuse, le Médecin nous dit de rentrer à la maison en indiquant la manière de prendre les médicaments  qu'il a prescrits. Rentrés à la maison, nous nous sommes mis à louer le Seigneur, à le remercier pour les bienfaits dont Il nous comble toujours.
Le vendredi 23 novembre 1990, ma situation n'a presque pas changé malgré les soins reçus la veille ; le mal a continué à me ronger, mon organisme s'affaiblissait davantage. On m'a amené à l'hôpital où une fois de plus j'ai été soigné. Mais les Médecins n'ont pas envisagé de me garder en observation. Je me suis alors demandé pourquoi ne voulait-on pas faire attention à ma situation, peut-être trouvait-on que mon état était désespéré ? Car je n'avais presque plus de sensation dans mes membres. Alors, je me suis dit que c'est sans doute la fin. Toutes les voix que je percevais semblaient très éloignées ; on dirait que les personnes qui parlaient se trouvaient à un kilomètre alors qu'elles étaient juste à côté. Je ne cessais de dire au fond de mon cœur : Seigneur, que Ta volonté soit faite ! Je cherchais encore dans le plus profond de moi-même tout ce qu'il y avait à confesser à Dieu. Jusque dans la nuit de vendredi à samedi, il n'y a pas eu de changement.

Le Samedi à 3 heures du matin, je me suis mis à contempler le plafond, tout en restant couché puisque je ne pouvais pas me lever. Et puis brusquement, ce n'était plus le plafond que je regardais ;  je n'étais plus dans la chambre ; je me retrouvais au mont Golgotha, devant un spectacle délirant, affreux auquel il est pénible d'assister : j'étais debout au premier rang d'une foule dont les uns scandaient ''crucifie-le, Il mérite la mort !'' (Jean 19. 6-7). Les autres pleuraient mais ils n'étaient pas nombreux ceux-là ;  c'était un petit groupe. Je  voyais qu'on menait Notre Seigneur JESUS-CHRIST pour le crucifier. Arrivé à mon niveau, Il m'a regardé une première fois, puis Il a continué sa marche en direction de la croix. Juste devant la croix, Il m'a encore regardé.
Après avoir été crucifié et élevé, Il m'a regardé une troisième fois. Ses regards étaient pleins d'amour. Moi, je suis resté figé, mais très sensible à ce qui venait de se passer.
Mais brusquement, il y a eu changement de vision ; c'est comme si on a ouvert une autre page dans un livre, ou comme si on avait ouvert un autre écran ou un voile théâtral. Je me suis retrouvé dans un cadre. J'ai vu Notre Seigneur JESUS-CHRIST dans la plénitude de Sa gloire ; c'est le bonheur éternel. J'ai été pris dans l'engrenage d'une joie immense. À la droite de Notre Seigneur se tenait Moïse, à sa gauche Élie, devant l'Apôtre Pierre qui regardait les Douze alignés en demi-cercle devant le Roi des rois ; à gauche de l'Apôtre Pierre l'Apôtre Jacques. Notre Seigneur portait une ceinture étincelante, dorée et brillante de couleur feu ardent, une couronne splendide couleur or. Moi j'étais dans la foule, au premier rang et savourais cette joie, le bonheur éternel. Tous, nous portions des habits blancs, et nous étions d'une beauté extraordinaire, tous semblables. Le sol était couvert des métaux et pierres précieuses (or et émeraudes) et dégageait une couleur or- pourpre que jamais on ne peut comparer avec les couleurs de ce monde ; ainsi et le sol et nous resplendissons. Le tout ressemblait à la beauté du jardin d'Eden décrite dans la Bible (Ézéchiel 28.13-14).
Au vu de ce spectacle qui ressemblait à la transfiguration (Matthieu 17. 1-8), je m'écriais : Maman, je m'en vais ! Le Seigneur est venu me prendre ! Je me suis écrié ainsi plusieurs fois.  La joie me prenait, je n'étais plus dans ce monde des ténèbres, mais plutôt dans celui où la tristesse n'existe pas et où il n'y a que la joie éternelle (Apoc. 21. 4 ; 22. 5)

Lorsque j'ai regardé autour de moi, je me suis rendu compte que j'étais au lit. La sœur, mon épouse, me demandait si j'avais encore très mal, car elle m'a entendu parler sans avoir compris ce que je disais. Alors je me suis mis à lui raconter tout ce que j'ai vu. Après, je me suis levé et le mal a disparu.
Seulement j'ai regretté mon retour dans ce monde des ténèbres et de méchanceté. Ah, pourquoi le Seigneur ne m'a-t-il pas établi dans Son Royaume pour toujours et ne plus m'en détacher ?
Que Son Nom soit béni par toute la terre ! Amen !

Fait à Mbandaka (Zaïre) le 07 février 1990.
Frère BOUKU LANZILE  -MISSON MARANATHA MBANDAKA (ZAIRE)
                           Publié par mission Maranatha.1400 YVERDON Suisse


                                                                                     


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