Qui est pour vous Jésus-Christ ? Est-il pour vous un inconnu ? Je
ne pense pas ! Alors l'Évangile qu'Il a apporté au monde vous a-t-il touché ?
A-t-Il été un baume sur votre cœur meurtri par les déceptions de la vie ?
Est-Il déjà devenu la solution dans votre vie gâchée, parce que vécue loin de
Dieu ? La foi en Jésus-Christ a-t-elle fait de vous un racheté, un enfant de
Dieu réintégré dans le plan de l'amour divin ? Avez-vous constaté que tout va
mal sur notre planète ? C'est précisément parce que les hommes refusent
l'autorité de Dieu et de Sa Parole, seule voie de salut car dans Sa sagesse
infinie, Il a tout prévu pour porter remède au fiasco de notre pauvre humanité
malade.
En attendant Sa
solution finale, Il nous appelle tous en nous invitant à Le recevoir comme
Seigneur et Sauveur dans notre cœur. Ainsi une nouvelle vie entre en tous ceux
qui répondent à cet appel d'amour. Et s'il est des amis qui vous abandonnent ou
que vous devez abandonner à cause de la nouvelle conception de la vie adoptée,
Il vous donnera de nouveaux amis fidèles ayant fait cette même expérience
merveilleuse. Ce n'est pas une nouvelle religion que vous embrassez mais vous
croyez simplement au Seul Évangile qui nous est donné et qui est la puissance
de Dieu pour le salut parfait de toute personne qui sincèrement cherche la
Vérité, seule puissance de libération en ce monde.
Recherchez l'Éternel et invoquez-Le tandis qu'Il est
près de vous, dit le Seigneur ! Ésaïe 55. 6
Maintenant cher
lecteur, parlons à cœur ouvert ! Qu'est pour vous la vie ? Se résume-t-elle en
ces trois mots : Manger, boire, travailler et dormir, en jouissant des plaisirs
que vous pouvez glaner sur votre passage ? Ce serait bien peu de choses,
trop peu de choses pour vivre heureux. Si souvent, l'on entend dire : "Je
crois avoir trouvé le bonheur ″... mais ce ne fut qu'un mirage. Tout est si
éphémère en ce monde, si relatif. Salomon, malgré tout ce qu'il avait,
exprime cette plainte amère : Vanité des vanités, tout n'est que
poursuite de vent. Combien ces affirmations sont fondées et vraies.
Il y a quelques
années succombait à une crise de désespoir un homme très connu, le marquis
de C. et quelle ne fut pas la surprise des siens en lisant un billet qu'il
avait encore griffonné avant de mourir : Je n'ai plus d'argent ; je n'ai
plus d'amis. Je n'ai plus de raison de vivre. Je suis ruiné sur tous les
plans... Rien n'est plus accablant que la solitude. Se sentir seul,
lamentablement seul, et même dans notre vie mouvementée, on a peur de se
trouver seul avec soi-même. Et c'est pour cela qu'on s'étourdit parfois dans
les amusements les plus coupables comme l'alcool, la nicotine, la drogue ou le
sexe. Mais après tout ce décor artificiel qui tombe dans la nuit du néant, que
reste-t-il ? Sinon qu'un affreux vide en vous, un désert aride, qui n'est que
le début de l'Enfer. Cet état d'âme se poursuit après la mort. Car il n'y
a rien de changé par la mort de votre corps car votre vie se poursuit en sa
nouvelle forme d'existence dans l'Éternité, avec ses terribles remords ; car
après la mort, il n'y a plus rien à changer, plus rien ne peut être changé. Là
où l’arbre tombe, il reste.
C'est pourquoi,
l'Écriture dit : Aujourd'hui est le jour du salut, demain ne vous
appartient pas. Aujourd'hui, il faut prendre conscience
de la grande réalité pour ne pas avoir à subir cet horrible écueil, ce
crépuscule sans espoir, parce que sans Dieu et sans salut. Jésus t'appelle au
travers de ces lignes par amour pour toi, pour te sauver et te donner la seule
vraie raison de vivre : Jésus, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes.
Dépose les armes de la rébellion, renonce à ta folie. Livre-toi à Lui avec
toute la misère de ton âme et conscience. Repens-toi, humilie-toi pour tes
péchés que tu as commis contre Dieu et les hommes. Répare tout ce que tu peux
réparer. Reçois Son amour par lequel Il t'a sauvé en mourant pour toi à la
croix en portant tes péchés et te délivrant de la puissance du mal et que tu
vives heureux par Sa présence en ton cœur, pleinement heureux en Lui. C'est là
mon expérience et celle de beaucoup. Ce doit être aussi la tienne, qui que tu
sois.
Jean Schwab