Dans votre vie, il vous est certainement arrivé plus d’une fois que l’on vous adresse cette étrange recommandation imprégnée de sagesse et vous invitant à une certaine prudence. Pourtant cette curieuse mise en garde est-elle dite bien à propos ? Que d’égarements, que de cruels et amères déceptions n’ont-ils pas endurés certains de ceux qui se sont laissés surprendre par une propagande savamment orchestrée et cachant un amas de mensonges. Ceux qui vous ont invités à participer à certaines réunions étaient peut-être sincères et c’est cette sincérité qui vous a désarmé et que finalement, vous avez cédé en répondant à l’invitation. Mais la sincérité la plus absolue peut cacher l’erreur. Comme lors d’une sortie, vous pouvez monter dans un train et ne vous apercevoir qu’en cours de route que vous vous êtes trompé de ligne, incident toujours très désagréable.
Dans le domaine spirituel, il y a une possibilité de ne jamais se laisser surprendre par l’erreur ou le mensonge. C’est celle d’être droit de cœur, honnête envers soi-même et de prier ainsi : Seigneur, conduis-moi dans la vérité ! Alors Celui qui incarne la Vérité, Celui même qui a dit : "Je suis la Vérité”, vous éclairera et vous montrera le chemin. Il le fera toujours parce qu’Il a dit aussi : "Je suis le Chemin”. Il se révèlera à vous de cette manière que vous ne serez jamais dans l’incertitude. Le grand roi d’Israël a connu bien des situations embarrassantes, mais après avoir imploré l’Éternel, il était toujours au clair, puisque dans le Psaume 36. 10, il affirme : "Par Ta lumière, nous voyons la lumière”. C’est précisément dans la lumière de cette clarté divine qu’apparaît la ligne de démarcation entre le faux et le vrai, l’erreur et la vérité, le mal et le bien. Nous savons donc ainsi qui et quelles dénominations doivent être classés parmi les sectes et qu’aussi, nous savons qui est l’Eglise de Jésus-Christ.
Il est impérieux de dire que la Vérité ne peut être comprise que par la révélation du Saint-Esprit qui nous conduit dans toute la Vérité. Nous ne comprenons donc la Bible que par le même esprit que celui par lequel elle fut écrite. Lorsque le Christ demanda à Pierre, ce qu’il pensait qu’Il était, il Lui répondit : "Tu es le Christ, le Fils de Dieu !” Jésus lui dit alors : "Tu es heureux Simon, car ce n’est pas la chair ou le sang qui t’ont révélé ces choses, mais l’Esprit de Mon Père.” Ainsi, cette divine Parole écrite pour nos pères et transcrite au travers des siècles par Ses fidèles serviteurs est à la portée et à la compréhension de tous ceux qui de tout leur cœur veulent connaître la Vérité et servir Dieu en Esprit et en Vérité, afin que l’amen que le Seigneur prononce dans le ciel résonne aussi en nos âmes et consciences.
Si maintenant, nous pluralisons ce qui précède, nous arrivons à la définition de l’Église. Lorsque nous parlons d’Église, nous sous-entendons généralement un lieu, une construction, un édifice. Mais, à ce sujet, l’Écriture dit : Je n’habiterai plus dans des temples faits de mains d’hommes mais dans des cœurs régénérés par la Grâce (Éph. 3. 17-19). L’Église pilote, l’Église primitive est née où ? Là où Jésus a convoqué Ses disciples et c’est là sous l’action du Saint-Esprit manifesté en eux et sur eux qu’a été engendrée l’Église (Actes 2. 2-4). Il est donc clair que l’Église au sens scripturaire est non un édifice mais un corps dont la tête est le Christ et les membres l’ensemble des croyants transformés par l’œuvre rédemptrice de la croix du Calvaire (1Corinthiens 12. 27-30). C’est pourquoi, nous lisons ensuite que le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église, ceux qui étaient sauvés (Actes2. 47), parce que la prédication produisait la conviction de péché. Les âmes cherchaient le salut et dans l’humiliation le trouvaient, faisant ainsi d’elles des témoins remplis du Saint-Esprit, après avoir été baptisées d’eau selon la Parole du Seigneur (Marc 16. 16-20).
Or dans le chaos spirituel où nous vivons aujourd’hui, il faut admettre qu’il y a davantage de brouilleurs de conscience que de libérateurs de conscience, davantage de sectes (officielles ou non) que de groupements fondés sur la Parole révélée et manifestée par le Saint-Esprit (Marc 16. 20). Voici un exemple irréfutable ! Si lors de visites à des prisonniers dans leurs cellules, je pose la question à l’un ou à l’autre : Quelle religion pratiquez-vous ? Je suis catholique, je suis protestant Leurs réponses prouvent donc qu’une religion n’a pas la puissance de sauver et de transformer un cœur, une vie, mais seulement Jésus-Christ produit ce miracle fondamental. La religion n’est qu’une forme de vénération que l’homme donne à une divinité. C’est une idéologie, une théologie sans vie, sans puissance, incapable de briser un cœur endurci et irrégénéré. Vous pouvez écouter durant votre vie de belles prédications, mais quand de l’Évangile on en a renié ce qui fait sa force, il n’est bon qu’à être rejeté et foulé aux pieds (Romains 1. 25).
Dans le domaine spirituel, il y a une possibilité de ne jamais se laisser surprendre par l’erreur ou le mensonge. C’est celle d’être droit de cœur, honnête envers soi-même et de prier ainsi : Seigneur, conduis-moi dans la vérité ! Alors Celui qui incarne la Vérité, Celui même qui a dit : "Je suis la Vérité”, vous éclairera et vous montrera le chemin. Il le fera toujours parce qu’Il a dit aussi : "Je suis le Chemin”. Il se révèlera à vous de cette manière que vous ne serez jamais dans l’incertitude. Le grand roi d’Israël a connu bien des situations embarrassantes, mais après avoir imploré l’Éternel, il était toujours au clair, puisque dans le Psaume 36. 10, il affirme : "Par Ta lumière, nous voyons la lumière”. C’est précisément dans la lumière de cette clarté divine qu’apparaît la ligne de démarcation entre le faux et le vrai, l’erreur et la vérité, le mal et le bien. Nous savons donc ainsi qui et quelles dénominations doivent être classés parmi les sectes et qu’aussi, nous savons qui est l’Eglise de Jésus-Christ.
Il est impérieux de dire que la Vérité ne peut être comprise que par la révélation du Saint-Esprit qui nous conduit dans toute la Vérité. Nous ne comprenons donc la Bible que par le même esprit que celui par lequel elle fut écrite. Lorsque le Christ demanda à Pierre, ce qu’il pensait qu’Il était, il Lui répondit : "Tu es le Christ, le Fils de Dieu !” Jésus lui dit alors : "Tu es heureux Simon, car ce n’est pas la chair ou le sang qui t’ont révélé ces choses, mais l’Esprit de Mon Père.” Ainsi, cette divine Parole écrite pour nos pères et transcrite au travers des siècles par Ses fidèles serviteurs est à la portée et à la compréhension de tous ceux qui de tout leur cœur veulent connaître la Vérité et servir Dieu en Esprit et en Vérité, afin que l’amen que le Seigneur prononce dans le ciel résonne aussi en nos âmes et consciences.
Si maintenant, nous pluralisons ce qui précède, nous arrivons à la définition de l’Église. Lorsque nous parlons d’Église, nous sous-entendons généralement un lieu, une construction, un édifice. Mais, à ce sujet, l’Écriture dit : Je n’habiterai plus dans des temples faits de mains d’hommes mais dans des cœurs régénérés par la Grâce (Éph. 3. 17-19). L’Église pilote, l’Église primitive est née où ? Là où Jésus a convoqué Ses disciples et c’est là sous l’action du Saint-Esprit manifesté en eux et sur eux qu’a été engendrée l’Église (Actes 2. 2-4). Il est donc clair que l’Église au sens scripturaire est non un édifice mais un corps dont la tête est le Christ et les membres l’ensemble des croyants transformés par l’œuvre rédemptrice de la croix du Calvaire (1Corinthiens 12. 27-30). C’est pourquoi, nous lisons ensuite que le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église, ceux qui étaient sauvés (Actes2. 47), parce que la prédication produisait la conviction de péché. Les âmes cherchaient le salut et dans l’humiliation le trouvaient, faisant ainsi d’elles des témoins remplis du Saint-Esprit, après avoir été baptisées d’eau selon la Parole du Seigneur (Marc 16. 16-20).
Or dans le chaos spirituel où nous vivons aujourd’hui, il faut admettre qu’il y a davantage de brouilleurs de conscience que de libérateurs de conscience, davantage de sectes (officielles ou non) que de groupements fondés sur la Parole révélée et manifestée par le Saint-Esprit (Marc 16. 20). Voici un exemple irréfutable ! Si lors de visites à des prisonniers dans leurs cellules, je pose la question à l’un ou à l’autre : Quelle religion pratiquez-vous ? Je suis catholique, je suis protestant Leurs réponses prouvent donc qu’une religion n’a pas la puissance de sauver et de transformer un cœur, une vie, mais seulement Jésus-Christ produit ce miracle fondamental. La religion n’est qu’une forme de vénération que l’homme donne à une divinité. C’est une idéologie, une théologie sans vie, sans puissance, incapable de briser un cœur endurci et irrégénéré. Vous pouvez écouter durant votre vie de belles prédications, mais quand de l’Évangile on en a renié ce qui fait sa force, il n’est bon qu’à être rejeté et foulé aux pieds (Romains 1. 25).
Voilà pourquoi, Dieu dit dans Sa Parole : Sortez de Babylone, Mon Peuple, afin de ne point participer à son péché et à son jugement (2Corinthiens 6. 14-18 ; Apocalypse 18. 4). Reniez toutes les doctrines apostates qui ont fait de votre cœur un désert de tristesse, de fausses espérances et de révoltes. Recherchez plutôt la communauté de ceux qui connaissent la joie du salut, la paix du cœur, l’affranchissement du vice et du péché. Là, vous trouverez cette glorieuse réalité qui comblera le vide de votre cœur dont vous avez tant souffert dans cette solitude sans amour et sans paix. Seule la présence réelle et vivante de Jésus en vous produira le vrai et parfait bonheur de votre soupir. Ouvre-Lui donc ton cœur, cher lecteur, reçois-Le comme Seigneur et Sauveur dans ta vie et en lieu et place de ton pesant fardeau, tu réaliseras un bonheur qui coulera comme un fleuve.
Jean SCHWAB
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