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mercredi 16 janvier 2013

LEQUEL DES DEUX ? JESUS OU MOHAMED ?



G.-H. ROUSSE, M.A., D.D.

      Les musulmans et les chrétiens s’accordent sur plusieurs points de doctrine. Les uns et les autres reconnaissent qu’il y a un seul Dieu, créateur du genre humain ; que le premier homme et la première femme, Adam et Ève, déchus par Satan, tombèrent dans le péché ; que Dieu a envoyé plusieurs prophètes et prédicateurs dans le monde pour enseigner aux hommes à distinguer le bien du mal ; et que parmi ces envoyés, il y eut : Noé, Abraham, Joseph, Moïse, David, etc. Par leur entremise, Dieu donna aux hommes la Tourat (Pentateuque), le Zabor (Psaumes et Prophètes). Enfin, Il envoya Jésus, et par Lui, Il donna l’Injil (Évangile). Musulmans et chrétiens acceptent tout cela. Mais, nos frères musulmans vont plus loin et ajoutent qu’après Jésus-Christ, Mohammed vint ; qu’il est le dernier et le plus grand, le sceau des prophètes ; que sa religion est la seule vraie, et que seul celui qui en observera les règles obtiendra le salut. Non, répondent les Chrétiens, Jésus-Christ est le dernier et de beaucoup le plus grand de tous les prophètes envoyés de Dieu et c’est par Lui seul que nous pouvons être sauvés. La différence réelle entre les uns et les autres est donc celle-ci : Les chrétiens affirment que c’est Jésus, tandis que les musulmans soutiennent, au contraire, que c’est Mohamed. Comparons-les donc tous deux et acceptons celui que nous trouverons être le plus grand.

1.     Considérons-les d’abord en ce qui concerne leur naissance.
Le père de Mohamed se nommait Abd-Allah et sa mère Amina ; il naquit, ainsi que tout le monde, de son père et de sa mère. Aucun fait extraordinaire ne signala sa venue, et pendant plusieurs années aucun signe miraculeux ne le mit en relief ; et ce n’est qu’à l’âge de quarante ans qu’il prétendit que l’ange Gabriel lui avait parlé ; mais jusque-là rien ne le désigna à ses contemporains comme étant destiné à devenir un grand prophète. Il est vrai que quelques musulmans ignorants racontent de merveilleuses histoires sur la naissance de Mohamed ; mais les musulmans intelligents n’ignorent pas que rien de tout cela n’est écrit dans le Coran et que ces légendes furent inventées longtemps après sa mort.
Voyons maintenant comment naquit Jésus-Christ. Sa naissance fut miraculeuse à ce que dit le Coran lui-même. Dans la 19e Sourat, Mariam, verset 18 (d’après Kasimirski), nous lisons que lorsque l’ange Gabriel apparut à Marie elle en fut si terrifiée qu’elle dit : « Je cherche un refuge auprès du Miséricordieux. Gabriel lui répondit : Je suis l’envoyé de ton Seigneur, chargé de te donner un fils saint. — Comment, répondit-elle, aurais-je un fils ? Aucun homme n’a jamais approché de moi, et je ne suis point une femme dissolue. Il répondit : Il en sera ainsi ; ton Seigneur a dit : Ceci est facile pour moi. Il sera notre signe devant les hommes et la preuve de notre miséricorde. » Le Coran nous montre clairement que Gabriel vint de la part de Dieu pour annoncer d’avance à Marie la naissance de Jésus-Christ, et qu’elle l’enfanta sans avoir connu aucun homme. Nous trouvons encore dans la 21e Sourate, Les prophètes, verset 91 : « Souviens-toi aussi de celle qui avait conservé sa virginité et en qui nous soufflâmes une partie de notre esprit ; nous la constituâmes, avec son fils, un signe pour l’univers ».
Frères musulmans, vous dites que le Coran est la parole de Dieu, vous serez donc obligés de reconnaître que Jésus est né d’une façon merveilleuse. Les chrétiens n’acceptent pas le Coran mais l’Évangile, dans lequel le même fait se trouve mentionné. Plus de sept siècles avant la naissance de Jésus-Christ, le prophète Esaïe (7. 14) écrivait ces paroles : « Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. » Le récit de l’accomplissement de cette prophétie se trouve dans l’Évangile (Luc 1. 28-36) et est ainsi conçu : « L’ange étant entré dans le lieu où était Marie, lui dit : Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi. Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation. L’ange lui dit : Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il règnera sur la maison de Jacob éternellement, et Son règne n’aura point de fin. Marie dit à l’ange : Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme ? L’ange lui répondit : Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très-haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu ». Le Coran et l’Évangile concordent sur le fait de la naissance miraculeuse de Jésus-Christ. La différence entre Mohamed et Jésus c’est que le premier est né selon la loi commune, tandis que Jésus est né d’une manière extraordinaire et par la puissance immédiate de Dieu.

2.                Examinant ensuite leur caractère moral, nous verrons qu’une grande différence existe entre eux. Mohamed étant né, comme naissent tous les autres hommes, doit nécessairement hériter de la même nature pécheresse. Nous trouvons dans le Coran des preuves évidentes de ce que nous avançons. Dans la 93e Sourat, La Matinée, verset 7, nous lisons ce qui suit : « Il t’a trouvé égaré et il t’a guidé. » Et au 57e verset de la 40e Sourat, Le Croyant, nous lisons encore : « Implore auprès de Dieu le pardon de tes péchés. » De même dans la 110e Sourat, L’Assistance, et au verset 3, il est écrit : « Chante les louanges de ton Seigneur et implore son pardon. » Aussi dans la 48e Sourat, La Victoire, au verset 2, nous trouvons : « Que Dieu te pardonne tes fautes anciennes et récentes. » Ces divers passages du Coran prouvent surabondamment que Mohamed fut un pécheur comme le commun des mortels.
Jésus-Christ étant né d’une façon miraculeuse doit nécessairement hériter d’une nature pure et sans tache. Des preuves de ce fait peuvent être tirées du Coran même. Tous les prophètes qui y sont mentionnés cherchèrent auprès de Dieu le pardon de leurs péchés, donc c’est qu’ils se reconnurent pécheurs. Fait digne de remarque, le Coran ne mentionne pas la moindre faute à Jésus-Christ. Au contraire, dans la 4e Sourat, Les Femmes, verset 169, nous lisons : « Le Messie, Jésus, fils de Marie, est l’Apôtre de Dieu et Son Verbe qu’Il jeta dans Marie ; Il est un Esprit venant de Dieu. » De même dans la 3e Sourat, La Famille d’Imram, verset 40, il est écrit : « Les anges dirent à Marie : Dieu t’annonce Son Verbe. Il se nommera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre dans ce monde et dans l’autre, et un des familiers de Dieu. » Jésus, étant le Verbe et l’Esprit de Dieu, doit nécessairement être parfait, pur et sans tache. L’Évangile corrobore le même fait. Dès avant la naissance de Jésus, l’ange Gabriel annonça à Marie qu’Il serait saint (Luc 1. 35). Jésus Lui-Même dit : « Je fais toujours la volonté de celui qui M’a envoyé. » (Jean 8. 29). S’adressant à Ses ennemis, Il leur dit : « Lequel de vous Me convaincra de péché ? » (Jean 8. 46). Dans une autre circonstance, Il dit encore : « Le Prince de ce monde (Satan) vient, mais il n’a rien en moi. » (Jean 14. 30). Dans la 1e Épître de l’apôtre Pierre, il est dit, qu’Il fut sans défaut et sans tache.  Ainsi, le second point de différence entre Mohammed et Jésus est bien établi : Mohamed fut un pécheur, tandis que Jésus fut sans péché.

3.                Troisième point de différence entre Jésus-Christ et Mohamed : Jésus fit plusieurs miracles, tandis que Mohamed n’en fit aucun. Il est vrai que les musulmans affirment qu’il fendit la lune en deux et opéra plusieurs autres miracles. Mais, en examinant ce sujet, nous verrons que les récits des miracles de Mohamed ne furent écrits que plus de cent ans après sa mort ; nous ne pouvons donc pas assurer qu’ils soient authentiques. Si quelqu’un venait nous dire : Un tel a rendu la vue à un aveugle il y a vingt-cinq ans : cette assertion pourrait encore être affirmée ou infirmée par bien des gens. Mais s’il y a cent ou deux cents ans que le fait s’est accompli, comment pourrait-il être contrôlé si longtemps après avoir eu lieu ? Tous les gens vivants à cette époque seraient déjà disparus et faute de preuve personne n’accepterait cette allégation. De même, il n’existe aucune preuve des miracles de Mohamed. Nous regardons plutôt tous ces récits comme légendaires, puisque Mohamed dit lui-même dans le Coran qu’il n’a jamais fait de miracle. Dans divers passages du Coran il est écrit que les infidèles demandèrent à Mohamed de leur montrer un signe, mais il leur répondit que Dieu n’avait pas besoin d’accomplir des miracles par son moyen. Nous ne mentionnerons que deux passages à ce sujet. Dans la 29e Sourat, L’Araignée, verset 49, nous lisons : « Les infidèles disent : Si au moins des miracles lui étaient accordés de la part de son Seigneur, nous croirions. Réponds-leur : Les miracles sont au pouvoir de Dieu, et moi je ne suis qu’un envoyé chargé d’avertir ouvertement. » De même dans la 17e Sourat, Le Voyage Nocturne, verset 61, nous trouvons : ‘’Rien ne nous aurait empêché de t’envoyer avec le pouvoir des miracles, si les peuples d’autrefois n’avaient déjà traité de mensonges les précédents. » Ici encore, le Coran enseigne clairement que Mohamed ne montra aucun signe et ne fit aucun miracle parmi ses contemporains. Bien au contraire, la vie de Jésus-Christ est une suite continue de miracles.  Il rendit la vue aux aveugles, l’ouïe aux sourds et aux boiteux la force de marcher. Il purifia des lépreux, guérit beaucoup d’autres malades ; bien plus, il ressuscita trois morts, dont l’un était dans le tombeau depuis quatre jours. Les autres prophètes firent des miracles au nom de Dieu ; Jésus-Christ accomplissait ses œuvres miraculeuses en son propre nom et par sa propre puissance en communion avec Dieu. Celui qui a révélé Sa puissance et Sa miséricorde infinie par de telles œuvres est indubitablement le Sauveur.

4.                Voici maintenant le quatrième point de différence. Mohamed mourut, et chacun le sait. Il naquit comme tout le monde naît, et mourut et chacun le sait. Il naquit comme tout le monde naît, et mourut comme tout le monde meurt. Il naquit à la Mecque et mourut à Médine. Après sa mort, il fut enseveli, et son corps se corrompit comme celui des autres hommes. Telle ne fut pas la fin de Jésus-Christ. Sa mort est mentionnée plusieurs fois dans le Coran en ces termes : « Certes c’est moi qui te fais subir la mort, et c’est moi qui t’élève à moi. » La Sourat, La Famille d’Imram, verset 48. Dans la 10e Sourat, Mariam, verset 34, Jésus dit : « La paix sera sur moi au jour où je naquis, et au jour où je mourrai, et au jour où je serai ressuscité. » 5e Sourat, la Table, verset 117 : « Tant que je demeurai sur la terre, je pouvais témoigner contre eux ; et lorsque tu m’as fait mourir, tu avais les yeux fixés sur eux. » Mais dans la 4e Sourat. Les Femmes, verset 156, il est écrit : « Ils ne l’ont point tué, ils ne l’ont point crucifié ; un homme qui lui ressemblait fut mis à sa place… Ils ne l’ont point tué réellement. Dieu l’a élevé à lui. » Si ce second récit est authentique, les musulmans doivent reconnaître que Jésus ne mourut pas, mais qu’Il fut élevé vivant dans le ciel, tandis que Mohamed mourut et son corps revint à la poussière. Lequel donc de ces deux prophètes appellerons-nous le Sauveur du monde ? Celui qui est mort ou celui qui est toujours vivant ?

Mais il est formellement écrit dans l’Évangile que Jésus-Christ mourut. Les Romains le prirent et le clouèrent sur la croix. Six heures après, Il expirait et Son corps fut mis dans le sépulcre. Peut-être dira-t-on : Puisque Jésus et Mohamed sont morts, quelle est donc la différence entre eux ? La différence, la voici : Mohamed mourut, mais ne ressuscita jamais ; tandis que Jésus-Christ ne resta pas dans le tombeau, le troisième jour il revint à la vie, et sortit du sépulcre. Dans l’Évangile, les quatre évangélistes Matthieu, Marc, Luc et Jean ont écrit un récit de la vie de Jésus-Christ ; les quatre s’accordent pour dire qu’Il ressuscita du tombeau et apparut à plusieurs personnes. Très tôt le dimanche matin, lorsque quelques femmes croyantes vinrent au sépulcre pour embaumer le corps de Jésus, elles trouvèrent le tombeau ouvert et vide. Alors, deux anges leur apparurent et leur dirent : « Ne craignez point, car je sais que vous cherchez Jésus qui a été crucifié. Il n’est point ici : Il est ressuscité comme Il l’avait dit. Venez, voyez le lieu où Il était couché, et allez promptement dire à Ses disciples qu’Il est ressuscité des morts. » (Matthieu 28. 6-7). Après cela, Jésus apparut Lui-Même aux femmes, puis à Pierre et ensuite aux onze apôtres. Il apparut encore d’autres fois à plusieurs disciples et Il se montra à plus de cinq cents personnes en un même lieu. Après sa résurrection, il resta encore quarante jours sur la terre et se rencontra bien des fois avec Ses disciples. À ce moment-là Son corps n’était plus un corps ordinaire ; Il pouvait aller où et comme Il voulait ; il pouvait entrer et sortir, les portes étant fermées ; Il n’avait nul besoin de nourriture. Enfin, Il conduisit Ses disciples sur une montagne près de Jérusalem, et là Il les bénit ; et pendant qu’Il les bénissait, Il fut élevé au ciel du milieu d’eux dans une nuée.

Peut-être, demanderez-vous : Pourquoi Jésus-Christ mourut-Il, vu qu’Il naquit d’une si merveilleuse façon, qu’Il fut sans péché et fit de nombreux miracles ? S’Il était vraiment le plus grand prophète, pourquoi Dieu ne le délivra-t-Il pas de la main des Juifs ? Jésus-Christ est vraiment le seul qui fut sans péché. Mais Sa mort étant le salaire du péché, Il a pris nos péchés sur Lui et en a fait l’expiation pour nous. Voilà pourquoi Jésus-Christ est mort. Le prophète Esaïe, parlant de la venue de Messie, dit au 53e chapitre de sa prophétie : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, nous suivions chacun sa propre voie ; et l’Éternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. » Jésus Lui-Même dit : « Je suis venu pour donner ma vie en rançon pour plusieurs » et dans l’Évangile nous lisons : « Il a porté Lui-Même nos péchés en Son corps sur le bois. » ; « Christ a souffert pour les péchés, lui Le Juste pour les injustes. »
Jugez maintenant, frères musulmans, lequel des deux peut réellement nous sauver ? Mohamed ou Jésus ? Mohamed naquit selon la loi commune. Abd-Allah fut son père, Amina sa mère. Aucun ange n’annonça sa naissance à son père, ni à sa mère ; mais l’ange Gabriel parla de la grandeur de Jésus même avant Sa naissance. Il fut conçu du Saint-Esprit dans le sein de la vierge Marie. Il reçut les noms d’Esprit de Dieu (Rouh Allah) et de Parole de Dieu (Kalimat Allah).

Mohamed se reconnut pécheur. Dans sa naissance et dans sa vie, il fut semblable au reste des hommes. Il se maria plusieurs fois et eut plusieurs femmes à la fois, parmi lesquelles Zeïnab, la femme répudiée de Zeïd, son fils adoptif. Mohamed aussi fit périr plusieurs personnes. Mais Jésus-Christ ne vint pas sur la terre pour se complaire en Lui-Même, mais pour sauver les hommes ; ainsi, Il ne se maria jamais, ne fit jamais mourir personne ; Il vint du ciel non pour tuer, mais pour sauver les hommes. Il ne commit jamais de péché, soit en pensée, soit en parole, soit en action. Frères musulmans, en qui voulez-vous vous confier ? En Mohamed le pécheur, ou en Jésus Le Pur et Le Juste ? Lequel des deux peut vous sauver ? Comment celui qui est lui-même pécheur vous délivrera-t-il du péché ? Un aveugle peut-il conduire un autre aveugle ? Un débiteur peut-il cautionner un autre débiteur ? Seul celui qui n’a jamais péché peut vous délivrer du péché.
Mohamed ne fit jamais aucun miracle, mais Jésus accomplit plusieurs œuvres merveilleuses. Celui qui rendit la vue aux aveugles et la vie aux morts a la puissance de vous sauver des plus terribles conséquences du péché.

Finalement Mohamed est mort, son corps est revenu à la poussière ; mais Jésus-Christ, quoiqu’Il mourût pour expier nos péchés, n’est pas mort à l’heure présente, Il est ressuscité du tombeau, Il est monté au ciel où Il est éternellement vivant pour sauver Son peuple. Il intercède pour les pécheurs. Mohamed peut-il intercéder pour vous ? Un juge accepterait-il l’intercession d’un coupable pour un autre coupable ? Il vous faut un intercesseur qui soit Saint et Juste. Et cet intercesseur, c’est Jésus-Christ. L’apôtre Jean dit dans l’Évangile : « Si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père (Dieu), Jésus-Christ Le Juste ; Il est Lui-Même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (1 Jean 2. 1-2) Un autre apôtre a dit : « Il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par Lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. » (Hébreux 7. 25). Frères, réfugiez-vous en Jésus-Christ, mettez en Lui votre confiance, acceptez-Le comme seul Sauveur et vous obtiendrez la délivrance du péché, et serez sauvés pour l’éternité.

Écoutez Jésus-Christ Lui-Même, qui vous dit : « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. Prenez Mon joug sur vous et recevez mes instructions. Car Je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car Mon joug est doux et Mon fardeau léger. » Matthieu 11. 28-30.
Par Sa mort nous pouvons obtenir le pardon de nos péchés, et par Son secours être rendus capables de lutter contre le péché et de vaincre Satan. Il vous délivrera de tout mal, Il intercèdera pour vous auprès de Dieu le Père ; et lorsqu’Il viendra au dernier jour pour juger le monde, Il vous recevra comme Son peuple et vous fera entrer dans le ciel, dans Sa joie infinie. Il a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par Moi. » (Jean 14. 6). Il est le seul chemin qui conduit au ciel, et si vous vous confiez en Lui et que vous L’acceptiez comme votre seul Sauveur et Seigneur, vous serez sûrement sauvés et Il vous prendra pour toujours avec Lui dans le paradis.

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