Les musulmans et les chrétiens
s’accordent sur plusieurs points de doctrine. Les uns et les autres
reconnaissent qu’il y a un seul Dieu, créateur du genre humain ; que le
premier homme et la première femme, Adam et Ève, déchus par Satan, tombèrent
dans le péché ; que Dieu a envoyé plusieurs prophètes et prédicateurs dans
le monde pour enseigner aux hommes à distinguer le bien du mal ; et que
parmi ces envoyés, il y eut : Noé, Abraham, Joseph, Moïse, David, etc. Par
leur entremise, Dieu donna aux hommes la Tourat (Pentateuque), le Zabor
(Psaumes et Prophètes). Enfin, Il envoya Jésus, et par Lui, Il donna l’Injil
(Évangile). Musulmans et chrétiens acceptent tout cela. Mais, nos frères
musulmans vont plus loin et ajoutent qu’après Jésus-Christ, Mohammed
vint ; qu’il est le dernier et le plus grand, le sceau des
prophètes ; que sa religion est la seule vraie, et que seul celui qui en
observera les règles obtiendra le salut. Non, répondent les Chrétiens,
Jésus-Christ est le dernier et de beaucoup le plus grand de tous les prophètes
envoyés de Dieu et c’est par Lui seul que nous pouvons être sauvés. La
différence réelle entre les uns et les autres est donc celle-ci : Les
chrétiens affirment que c’est Jésus, tandis que les musulmans soutiennent, au
contraire, que c’est Mohamed. Comparons-les donc tous deux et acceptons celui
que nous trouverons être le plus grand.
1.
Considérons-les d’abord en ce qui concerne
leur naissance.
Le père de Mohamed se nommait Abd-Allah et
sa mère Amina ; il naquit, ainsi que tout le monde, de son père et de sa
mère. Aucun fait extraordinaire ne signala sa venue, et pendant plusieurs
années aucun signe miraculeux ne le mit en relief ; et ce n’est qu’à l’âge
de quarante ans qu’il prétendit que l’ange Gabriel lui avait parlé ; mais
jusque-là rien ne le désigna à ses contemporains comme étant destiné à devenir
un grand prophète. Il est vrai que quelques musulmans ignorants racontent de
merveilleuses histoires sur la naissance de Mohamed ; mais les musulmans
intelligents n’ignorent pas que rien de tout cela n’est écrit dans le Coran et
que ces légendes furent inventées longtemps après sa mort.
Voyons
maintenant comment naquit Jésus-Christ. Sa naissance fut miraculeuse à ce
que dit le Coran lui-même. Dans la 19e Sourat, Mariam, verset
18 (d’après Kasimirski), nous lisons que lorsque l’ange Gabriel apparut à Marie
elle en fut si terrifiée qu’elle dit : « Je cherche un refuge auprès
du Miséricordieux. Gabriel lui répondit : Je suis l’envoyé de ton
Seigneur, chargé de te donner un fils saint. — Comment, répondit-elle,
aurais-je un fils ? Aucun homme n’a jamais approché de moi, et je ne suis
point une femme dissolue. Il répondit : Il en sera ainsi ; ton Seigneur
a dit : Ceci est facile pour moi. Il sera notre signe devant les hommes et
la preuve de notre miséricorde. » Le Coran nous montre clairement que
Gabriel vint de la part de Dieu pour annoncer d’avance à Marie la naissance de
Jésus-Christ, et qu’elle l’enfanta sans avoir connu aucun homme. Nous trouvons
encore dans la 21e Sourate, Les prophètes, verset 91 :
« Souviens-toi aussi de celle qui avait conservé sa virginité et en qui
nous soufflâmes une partie de notre esprit ; nous la constituâmes, avec
son fils, un signe pour l’univers ».
Frères musulmans, vous dites que le Coran
est la parole de Dieu, vous serez donc obligés de reconnaître que Jésus est né
d’une façon merveilleuse. Les chrétiens n’acceptent pas le Coran mais
l’Évangile, dans lequel le même fait se trouve mentionné. Plus de sept siècles
avant la naissance de Jésus-Christ, le prophète Esaïe (7. 14) écrivait ces
paroles : « Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils et
elle lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. » Le
récit de l’accomplissement de cette prophétie se trouve dans l’Évangile (Luc 1.
28-36) et est ainsi conçu : « L’ange étant entré dans le lieu où
était Marie, lui dit : Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ;
le Seigneur est avec toi. Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que
pouvait signifier une telle salutation. L’ange lui dit : Ne crains point,
Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras
enceinte et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera
grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le
trône de David, son père. Il règnera sur la maison de Jacob éternellement, et
Son règne n’aura point de fin. Marie dit à l’ange : Comment cela se
fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme ? L’ange lui
répondit : Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du
Très-haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra
de toi sera appelé Fils de Dieu ». Le Coran et l’Évangile
concordent sur le fait de la naissance miraculeuse de Jésus-Christ. La
différence entre Mohamed et Jésus c’est que le premier est né selon la loi
commune, tandis que Jésus est né d’une manière extraordinaire et par la
puissance immédiate de Dieu.
2.
Examinant ensuite leur caractère moral,
nous verrons qu’une grande différence existe entre eux. Mohamed étant né, comme
naissent tous les autres hommes, doit nécessairement hériter de la même nature
pécheresse. Nous trouvons dans le Coran des preuves évidentes de ce que nous
avançons. Dans la 93e Sourat, La Matinée, verset 7, nous
lisons ce qui suit : « Il t’a trouvé égaré et il t’a guidé. » Et
au 57e verset de la 40e Sourat, Le Croyant, nous
lisons encore : « Implore auprès de Dieu le pardon de tes
péchés. » De même dans la 110e Sourat, L’Assistance, et
au verset 3, il est écrit : « Chante les louanges de ton Seigneur et
implore son pardon. » Aussi dans la 48e Sourat, La Victoire,
au verset 2, nous trouvons : « Que Dieu te pardonne tes fautes
anciennes et récentes. » Ces divers passages du Coran prouvent
surabondamment que Mohamed fut un pécheur comme le commun des mortels.
Jésus-Christ étant né d’une façon
miraculeuse doit nécessairement hériter d’une nature pure et sans tache. Des
preuves de ce fait peuvent être tirées du Coran même. Tous les prophètes qui y
sont mentionnés cherchèrent auprès de Dieu le pardon de leurs péchés, donc
c’est qu’ils se reconnurent pécheurs. Fait digne de remarque, le Coran ne
mentionne pas la moindre faute à Jésus-Christ. Au contraire, dans la 4e
Sourat, Les Femmes, verset 169, nous lisons : « Le Messie,
Jésus, fils de Marie, est l’Apôtre de Dieu et Son Verbe qu’Il jeta dans
Marie ; Il est un Esprit venant de Dieu. » De même dans la 3e
Sourat, La Famille d’Imram, verset 40, il est écrit : « Les
anges dirent à Marie : Dieu t’annonce Son Verbe. Il se nommera le Messie,
Jésus, fils de Marie, illustre dans ce monde et dans l’autre, et un des
familiers de Dieu. » Jésus, étant le Verbe et l’Esprit de Dieu, doit nécessairement
être parfait, pur et sans tache. L’Évangile corrobore le même fait. Dès avant
la naissance de Jésus, l’ange Gabriel annonça à Marie qu’Il serait saint (Luc
1. 35). Jésus Lui-Même dit : « Je fais toujours la volonté de
celui qui M’a envoyé. » (Jean 8. 29). S’adressant à Ses ennemis, Il
leur dit : « Lequel de vous Me convaincra de
péché ? » (Jean 8. 46). Dans une autre circonstance, Il dit
encore : « Le Prince de ce monde (Satan) vient, mais il n’a rien
en moi. » (Jean 14. 30). Dans la 1e Épître de l’apôtre
Pierre, il est dit, qu’Il fut sans défaut et sans tache. Ainsi, le second
point de différence entre Mohammed et Jésus est bien établi : Mohamed fut
un pécheur, tandis que Jésus fut sans péché.
3.
Troisième point de différence entre
Jésus-Christ et Mohamed : Jésus fit plusieurs miracles, tandis que Mohamed n’en
fit aucun. Il est vrai que les musulmans affirment
qu’il fendit la lune en deux et opéra plusieurs autres miracles. Mais, en
examinant ce sujet, nous verrons que les récits des miracles de Mohamed ne
furent écrits que plus de cent ans après sa mort ; nous ne pouvons donc
pas assurer qu’ils soient authentiques. Si quelqu’un venait nous dire : Un
tel a rendu la vue à un aveugle il y a vingt-cinq ans : cette assertion
pourrait encore être affirmée ou infirmée par bien des gens. Mais s’il y a cent
ou deux cents ans que le fait s’est accompli, comment pourrait-il être contrôlé
si longtemps après avoir eu lieu ? Tous les gens vivants à cette époque
seraient déjà disparus et faute de preuve personne n’accepterait cette
allégation. De même, il n’existe aucune preuve des miracles de Mohamed. Nous
regardons plutôt tous ces récits comme légendaires, puisque Mohamed dit
lui-même dans le Coran qu’il n’a jamais fait de miracle. Dans divers passages
du Coran il est écrit que les infidèles demandèrent à Mohamed de leur montrer
un signe, mais il leur répondit que Dieu n’avait pas besoin d’accomplir des
miracles par son moyen. Nous ne mentionnerons que deux passages à ce sujet.
Dans la 29e Sourat, L’Araignée, verset 49, nous lisons :
« Les infidèles disent : Si au moins des miracles lui étaient
accordés de la part de son Seigneur, nous croirions. Réponds-leur : Les
miracles sont au pouvoir de Dieu, et moi je ne suis qu’un envoyé chargé
d’avertir ouvertement. » De même dans la 17e Sourat, Le
Voyage Nocturne, verset 61, nous trouvons : ‘’Rien ne nous aurait
empêché de t’envoyer avec le pouvoir des miracles, si les peuples d’autrefois
n’avaient déjà traité de mensonges les précédents. » Ici encore, le Coran
enseigne clairement que Mohamed ne montra aucun signe et ne fit aucun miracle
parmi ses contemporains. Bien au contraire, la vie de Jésus-Christ est une
suite continue de miracles. Il rendit la vue aux aveugles, l’ouïe aux
sourds et aux boiteux la force de marcher. Il purifia des lépreux, guérit
beaucoup d’autres malades ; bien plus, il ressuscita trois morts, dont
l’un était dans le tombeau depuis quatre jours. Les autres prophètes firent des
miracles au nom de Dieu ; Jésus-Christ accomplissait ses œuvres miraculeuses
en son propre nom et par sa propre puissance en communion avec Dieu. Celui qui
a révélé Sa puissance et Sa miséricorde infinie par de telles œuvres est
indubitablement le Sauveur.
4.
Voici maintenant le quatrième point de
différence. Mohamed
mourut, et chacun le sait. Il naquit comme tout le monde naît, et mourut et
chacun le sait. Il naquit comme tout le monde naît, et mourut comme tout le
monde meurt. Il naquit
à la Mecque et mourut à Médine. Après sa mort, il fut enseveli, et son corps se
corrompit comme celui des autres hommes. Telle ne fut pas la fin de
Jésus-Christ. Sa mort est mentionnée plusieurs fois dans le Coran en ces
termes : « Certes c’est moi qui te fais subir la mort, et c’est moi
qui t’élève à moi. » La Sourat, La Famille d’Imram, verset 48. Dans la
10e Sourat, Mariam, verset 34, Jésus dit : « La
paix sera sur moi au jour où je naquis, et au jour où je mourrai, et au jour où
je serai ressuscité. » 5e Sourat, la Table,
verset 117 : « Tant que je demeurai sur la terre, je pouvais
témoigner contre eux ; et lorsque tu m’as fait mourir, tu avais les yeux
fixés sur eux. » Mais dans la 4e Sourat. Les Femmes,
verset 156, il est écrit : « Ils ne l’ont point tué, ils ne l’ont
point crucifié ; un homme qui lui ressemblait fut mis à sa place… Ils ne
l’ont point tué réellement. Dieu l’a élevé à lui. » Si ce second récit est
authentique, les musulmans doivent reconnaître que Jésus ne mourut pas, mais
qu’Il fut élevé vivant dans le ciel, tandis que Mohamed mourut et son corps
revint à la poussière. Lequel donc de ces deux prophètes appellerons-nous le
Sauveur du monde ? Celui qui est mort ou celui qui est toujours
vivant ?
Mais il
est formellement écrit dans l’Évangile que Jésus-Christ mourut. Les Romains le
prirent et le clouèrent sur la croix. Six heures après, Il expirait et Son
corps fut mis dans le sépulcre. Peut-être dira-t-on : Puisque Jésus et
Mohamed sont morts, quelle est donc la différence entre eux ? La
différence, la voici : Mohamed mourut, mais ne ressuscita jamais ;
tandis que Jésus-Christ ne resta pas dans le tombeau, le troisième jour il
revint à la vie, et sortit du sépulcre. Dans l’Évangile, les quatre
évangélistes Matthieu, Marc, Luc et Jean ont écrit un récit de la vie de
Jésus-Christ ; les quatre s’accordent pour dire qu’Il ressuscita du
tombeau et apparut à plusieurs personnes. Très tôt le dimanche matin, lorsque
quelques femmes croyantes vinrent au sépulcre pour embaumer le corps de Jésus,
elles trouvèrent le tombeau ouvert et vide. Alors, deux anges leur apparurent et
leur dirent : « Ne craignez point, car je sais que vous cherchez
Jésus qui a été crucifié. Il n’est point ici : Il est ressuscité comme Il
l’avait dit. Venez, voyez le lieu où Il était couché, et allez promptement dire
à Ses disciples qu’Il est ressuscité des morts. »
(Matthieu 28. 6-7). Après cela, Jésus apparut Lui-Même aux femmes, puis à
Pierre et ensuite aux onze apôtres. Il apparut encore d’autres fois à plusieurs
disciples et Il se montra à plus de cinq cents personnes en un même lieu. Après
sa résurrection, il resta encore quarante jours sur la terre et se rencontra
bien des fois avec Ses disciples. À ce moment-là Son corps n’était plus un
corps ordinaire ; Il pouvait aller où et comme Il voulait ; il
pouvait entrer et sortir, les portes étant fermées ; Il n’avait nul besoin
de nourriture. Enfin, Il conduisit Ses disciples sur une montagne près de
Jérusalem, et là Il les bénit ; et pendant qu’Il les bénissait, Il fut
élevé au ciel du milieu d’eux dans une nuée.
Peut-être,
demanderez-vous : Pourquoi Jésus-Christ mourut-Il, vu qu’Il naquit d’une
si merveilleuse façon, qu’Il fut sans péché et fit de nombreux miracles ?
S’Il était vraiment le plus grand prophète, pourquoi Dieu ne le délivra-t-Il
pas de la main des Juifs ? Jésus-Christ est vraiment le seul qui fut sans
péché. Mais Sa mort étant le salaire du péché, Il a pris nos péchés sur Lui et
en a fait l’expiation pour nous. Voilà pourquoi Jésus-Christ est mort. Le
prophète Esaïe, parlant de la venue de Messie, dit au 53e chapitre
de sa prophétie : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour
nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et
c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants
comme des brebis, nous suivions chacun sa propre voie ; et l’Éternel a
fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. » Jésus Lui-Même
dit : « Je suis venu pour donner ma vie en rançon pour
plusieurs » et dans l’Évangile nous lisons : « Il a porté
Lui-Même nos péchés en Son corps sur le bois. » ; « Christ
a souffert pour les péchés, lui Le Juste pour les injustes. »
Jugez
maintenant, frères musulmans, lequel des deux peut réellement nous
sauver ? Mohamed ou Jésus ? Mohamed naquit selon la loi commune.
Abd-Allah fut son père, Amina sa mère. Aucun ange n’annonça sa naissance à son
père, ni à sa mère ; mais l’ange Gabriel parla de la grandeur de Jésus
même avant Sa naissance. Il fut conçu du Saint-Esprit dans le sein de la vierge
Marie. Il reçut les noms d’Esprit de Dieu (Rouh Allah) et de Parole de Dieu
(Kalimat Allah).
Mohamed se
reconnut pécheur. Dans sa naissance et dans sa vie, il fut semblable au reste
des hommes. Il se maria plusieurs fois et eut plusieurs femmes à la fois, parmi
lesquelles Zeïnab, la femme répudiée de Zeïd, son fils adoptif. Mohamed aussi
fit périr plusieurs personnes. Mais Jésus-Christ ne vint pas sur la terre pour
se complaire en Lui-Même, mais pour sauver les hommes ; ainsi, Il ne se
maria jamais, ne fit jamais mourir personne ; Il vint du ciel non pour
tuer, mais pour sauver les hommes. Il ne commit jamais de péché, soit en
pensée, soit en parole, soit en action. Frères musulmans, en qui voulez-vous
vous confier ? En Mohamed le pécheur, ou en Jésus Le Pur et Le
Juste ? Lequel des deux peut vous sauver ? Comment celui qui est
lui-même pécheur vous délivrera-t-il du péché ? Un aveugle peut-il
conduire un autre aveugle ? Un débiteur peut-il cautionner un autre
débiteur ? Seul celui qui n’a jamais péché peut vous délivrer du péché.
Mohamed ne fit jamais aucun miracle, mais
Jésus accomplit plusieurs œuvres merveilleuses. Celui qui rendit la vue aux
aveugles et la vie aux morts a la puissance de vous sauver des plus terribles
conséquences du péché.
Finalement
Mohamed est mort, son corps est revenu à la poussière ; mais Jésus-Christ,
quoiqu’Il mourût pour expier nos péchés, n’est pas mort à l’heure présente, Il
est ressuscité du tombeau, Il est monté au ciel où Il est éternellement vivant
pour sauver Son peuple. Il intercède pour les pécheurs. Mohamed peut-il
intercéder pour vous ? Un juge accepterait-il l’intercession d’un coupable
pour un autre coupable ? Il vous faut un intercesseur qui soit Saint et
Juste. Et cet intercesseur, c’est Jésus-Christ. L’apôtre Jean dit dans l’Évangile :
« Si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père (Dieu),
Jésus-Christ Le Juste ; Il est Lui-Même une victime expiatoire pour nos
péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde
entier. » (1 Jean 2. 1-2) Un autre apôtre a dit : « Il
peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par Lui, étant toujours
vivant pour intercéder en leur faveur. » (Hébreux 7. 25). Frères,
réfugiez-vous en Jésus-Christ, mettez en Lui votre confiance, acceptez-Le comme
seul Sauveur et vous obtiendrez la délivrance du péché, et serez sauvés pour
l’éternité.
Écoutez Jésus-Christ Lui-Même, qui vous dit : « Venez à
Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos.
Prenez Mon joug sur vous et recevez mes instructions. Car Je suis doux et
humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car Mon
joug est doux et Mon fardeau léger. » Matthieu 11. 28-30.
Par Sa mort nous pouvons obtenir le pardon de nos péchés, et par Son
secours être rendus capables de lutter contre le péché et de vaincre Satan. Il
vous délivrera de tout mal, Il intercèdera pour vous auprès de Dieu le
Père ; et lorsqu’Il viendra au dernier jour pour juger le monde, Il vous
recevra comme Son peuple et vous fera entrer dans le ciel, dans Sa joie
infinie. Il a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie.
Nul ne vient au Père que par Moi. » (Jean 14. 6). Il est le seul
chemin qui conduit au ciel, et si vous vous confiez en Lui et que vous
L’acceptiez comme votre seul Sauveur et Seigneur, vous serez sûrement sauvés et
Il vous prendra pour toujours avec Lui dans le paradis.
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