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vendredi 28 décembre 2012

L’INSENSÉ DIT ''DIEU N'EXISTE PAS''


Apocalypse 1.12-20
Témoignage de IVAN BABULEV de KOLAREVO-PETRICH (Bulgarie)
(Avec autorisation de Mr. Chaix)

        Je suis né en 1925 à KOLAREVO, d'une famille Orthodoxe. Jamais je n'ai été athée, mais je croyais comme la plupart des gens, sans connaître Dieu. En 1925, au mois de mai, j'entrais dans les rangs de la police politique dite ''milice''. Huit ans, je travaillais comme Milicien et j'étais bon dans ce travail. J'étais très vigilant et c'est la raison pour laquelle on me plaçait souvent à faire le guet devant le siège du parti. Souvent, j'étais mentionné au tableau comme étant excellent dans le Service.
       Comme je manipulais les armes, ma mère avait très peur. Elle me disait de prier afin que Dieu me garde. Ne sachant comment prier, je priais ainsi comme me l'avait enseigné ma mère : ''Dieu, qui gardez les oiseaux et les fourmis, gardez-moi aussi!''. Les mots étaient simples, mais ma prière fut exaucée de Dieu.
Le 28 Août 1960, tandis que je montais la garde devant le siège du parti communiste, Le SEIGNEUR JÉSUS m'apparut. Il était vêtu d'une longue robe blanche ; une grande lumière sortait de Lui et elle éclairait toute la cour du parti ; tout était beauté. Il se mit devant moi et me dit avec une voix douce : ''JE SUIS L'ALPHA ET L'OMEGA''. Ces mots étaient inconnus pour moi ; jamais je ne les avais entendus. Plus tard, j'appris qu'ils étaient écrits dans la Bible. Après cela, Jésus cria à voix forte : ''JEAN, JEAN, dis à tes chefs qui font la guerre contre moi, que je suis vivant et existant ; qu'ils se présenteront devant ma justice. Viens et suis-moi ; tu seras témoin dans cette ville''.

        Est-ce que j'aurais alors le courage de me présenter devant mes Chefs, de dire tout cela, car je savais qu'ils combattaient contre Dieu ! J'étais si timide, qu'à la plus petite remarque, je me sentais si mal à l'aise ! Jésus me donnait une telle Mission que je ne pouvais accomplir ! Je ne trouvais pas la force en moi. Alors le Seigneur m'incita à prier et je me mis à intercéder afin que le Seigneur me remplisse de force dans ce but, et que je sois capable de résister sans peur, de mener à bien cette œuvre pour laquelle Il m'avait choisi. Je préférais être saint sur la terre et avoir une Vie Éternelle, plutôt que de continuer à vivre la vie facile que je menais.
Le Seigneur continua à m'apparaître. Il me dit de lire l'Ancien Testament pour l'éducation et le nouveau afin de le pratiquer. Tout cela était étrange pour moi, parce que, jusque-là, je n'avais lu ni l'Ancien ni le nouveau Testament. Dans une apparition, le Seigneur me prévint de me garder de mon ami ARMEVOV, parce qu'il me trahirait. Durant 6 mois, je vis la présence de Dieu, mais tout cela, je le gardais en secret.

       Un jour pourtant, je partageais mon secret avec ARMENOV, lui disant qu'il me trahirait. Armenov me répondit que jamais il ne le ferait, parce que nous étions de bons amis, vivant comme des frères. Un jour, ARMENOV ne put garder le secret. Il alla chez le chef de la police, GALABOV, et il lui raconta tout à mon sujet.
      Avant de me présenter devant mes chefs, DIEU me permit de voir le paradis afin que je puisse témoigner pour Lui. J'étais de garde devant le comité municipal du parti ; après quoi, je montais dans ma chambre de réserve pour me reposer. Ici, je profitais du repos pour prier. Je m'agenouillais et commençais une fervente prière. En ce temps, Jésus vint et me prit avec lui. je vis que nous nous élevions vers le ciel tandis que mon corps restait dans la chambre où j'avais prié. Peu de temps après, nous nous trouvâmes devant une porte de perles ; de chaque côté, il y avait deux anges vêtus de blanc. Devant la Ville de Dieu, il y avait un beau jardin avec des fleurs que je n'avais pas vues sur la terre. En allant avec mon Sauveur, tout le temps, je répétais : ‘‘Ah quelle beauté ! Quelle beauté ! Au milieu du jardin, il y avait un grand arbre avec des fruits intéressants. C'était l'arbre de la Vie. Quand nous arrivâmes dans la Ville, je vis que toutes les rues étaient pavées d'or ; que les bâtiments étaient de perles et brillaient comme des vitraux. Tout était d'une beauté indescriptible. La Ville était entourée de forêts ; et je ne trouve pas de mots pour les décrire. Nous entrâmes dans un grand corridor. Il y avait beaucoup de chambres. Dans la première chambre, il y avait seulement des enfants ; dans la deuxième, des jeunes ; dans la troisième, des gens plus âgés. Tous étaient habillés d'un blanc argenté. Ils étaient assis aux tables couvertes de nappes blanches et ils mangeaient aussi quelque chose de blanc. À l'intérieur, tout était de soie blanche. Le Christ me dit : ‘‘JEAN, voilà, cette chambre est à toi''. En la voyant je dis : ''Non, Seigneur ! Regarde mes habits : je ne suis pas pour cette chambre''. Jésus me répondit : ''Non, tu t'habilleras en vêtement blanc''. Alors, je dis : ''Oh ! Seigneur, maintenant je peux y entrer !
      Marchant dans la Ville, je me réjouissais comme un enfant de toutes ces beautés que je voyais et que je ne pouvais comparer à aucune autre chose terrestre. Alors, Jésus me dit : ''Qui garde mes commandements sera ici et se réjouira pour l’éternité''. Pendant tout ce temps, je disais : Seigneur, je Te remercie, parce que je suis avec Toi ! Peu de temps après, je me retrouvais dans la chambre de repos. Regardant autour de moi, il me semblait que je me trouvais dans une prison. Pour moi, la terre représentait une prison comparativement à ce que j'avais vu, et que Dieu m'avait montré.

       Durant sept jours, je pleurais comme un enfant, parce que Dieu m'avait renvoyé sur la terre. Je ne voulais plus vivre ici-bas. Ma femme et les locataires, gens croyants, me consolaient en me disant que Dieu m’avait donné de voir tout cela pour témoigner aux hommes.
Tandis que j'étais dans le Paradis, un des chefs m'avait cherché dans la chambre de repos, mais DIEU avait aveugle ses yeux et il ne put me voir. Plus tard il me dit : ''Jean, où étais-tu ?'' Je lui répondis que j'étais dans la chambre. Il ne voulut pas me croire et me dit qu'il irait avertir le chef.
       Après cela, je voulus voir l'Enfer pour témoigner devant les hommes que l'Enfer existe. Un jour, le Seigneur me donna de le voir en disant : ''JEAN, là-bas n'est pas pour toi !'' Je regardais en bas et je vis un abîme profond. Il y avait des gens innombrables. On pouvait seulement entendre des pleurs et des grincements de dents. Il me fut donné de reconnaître ma Grand-mère. Alors, je criais : ''Mon Dieu, je ne peux regarder davantage ! Fais-moi sortir de ce lieu de souffrances''.

       Malgré les apparitions que j'eus plusieurs fois durant 6 mois, je n'avais pas le courage de me présenter ouvertement devant mes chefs et je décidais, en secret, de me faire révoquer en donnant un autre motif. Mais la Volonté de Dieu n'était pas la mienne. Il voulait que je déclare Son Nom devant tout le monde qu'Il est vivant et existant ! À la fin, le temps de me présenter devant mes chefs et de témoigner pour Dieu arriva. Un Milicien vint me chercher. Je sus pourquoi il m'appelait et je priais Dieu de m'accorder des forces. Tandis que je montais les escaliers, le Seigneur me remplit d'une si grande force comme un feu qui sortait de mon corps. Sans peur, j'entrais chez le chef. Il me demanda : ''Est-ce vrai ce qu'ARMENOV m'a dit à ton sujet ? Il paraît que tu es devenu croyant et que tu as vu Dieu ? Où est ce Dieu ? Alors avec un grand courage, je lui répondis : ''Oui, camarade chef, il y a 6 mois que je suis croyant. Je vois le SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST. Je vois aussi des anges. Je ne peux plus servir dans la milice populaire et je vous prie de me congédier. Alors, il cria : ''Comment te congédier ? Nous allons te dissuader au lieu de te congédier ! Comment peux-tu te tromper ainsi ? Tu es fou !'' Je lui répondis : Camarade, mon chef, je ne suis pas fou ! Mais tout cela, je le dis avec une pure conscience et avec bon sens ; pour moi, Dieu vit et existe. Le 28 Août 1960, quand je montais la garde devant le siège du parti, m'apparut le CHRIST. Il m'a dit de vous communiquer qu'il est vivant, qu'il existe, que vous tous, vous vous présenterez devant sa justice''. Il fut encore plus furieux et il me dit : ''Tu vas nous enterrer vifs ! Est-il possible d'avoir un tel homme dans la Milice ?'' On essaya de me détromper ; on voulait m'amener un Savant pour me faire comprendre que Dieu n'existe pas. Je répondis qu'aucun Savant n'avait la possibilité de me prouver que Dieu n'existe pas,. Je L'ai vu ; j'ai écouté Sa Voix ; tout ce qu'Il m'a dit s'est réalisé ! Je posais cette question : ''Camarade mon chef, si quelqu'un entre chez vous et vous dit que je ne suis pas ici, pourrez-vous le croire ? ''Non !, répondit-il''. Alors, je rétorquais : ''Après que j'ai vu le SEIGNEUR, jamais je ne dirai qu'il n'existe pas''. Le  chef demanda d'écrire un rapport et de le lui remettre. J'écrivis le rapport ainsi : ''Je vous prie de me congédier de mon poste de milicien parce que, depuis 6 mois, je suis un croyant. Je regarde constamment à la présence de Dieu et je ne peux servir dans la milice. Je portais le rapport au chef Cantonal, mais il se mit en colère et me dit : ''Sais-tu que ce rapport ira jusqu'au Ministère ? ''Oh ! Mon chef, qu'il aille au Ministère. Je veux qu'ils lisent aussi qu'il y a un Dieu !''

        Quand ils virent leur incapacité de me détourner, ils décidèrent de convoquer une réunion pour formuler l'acte d'accusation. Durant tout ce temps, je jeûnais et je priais afin que Dieu me fortifie dans la foi. Christ, de nouveau, se mit devant moi et me dit : ''JEAN, JEAN, courage, n'aie pas peur, je suis avec toi, je parlerai par ta bouche ; toi, seulement, après deux jours, tu seras licencié télégraphiquement''.
            L'heure de la réunion à laquelle assistaient tous les Miliciens, le chef de la Milice, le chef Cantonal, les Dirigeants du Comité Municipal du parti Communiste sonna. Le chef ouvrit la Séance avec ces mots : ''Camarades ! Savez-vous pourquoi nous sommes réunis ce soir ? C'est une chose triste : Notre camarade BABULEV est devenu un chrétien croyant ! Comment est-il possible, Camarades, que notre bon Jean se soit laissé égarer.''Mes camarades baissaient la tête et n'osaient pas me regarder. Seul, ARMENOV le traitre, me regardait du coin de l'œil de temps en temps. Le chef cria : ''Mes camarades, dites-moi, y aurait-il, parmi vous, quelqu'un qui soit séduit ?'' Tout le monde se taisait et continuait à baisser la tête. Alors, je repris : ''Mon chef, puis-je parler ? ''Parle !'' hurla le chef.
 ''Je veux qu'on me pende au platane de la place publique devant tous, mais, avant, je veux que vous me permettiez de parler du Seigneur en qui je crois !
''Tais-toi !'' Cria le chef. ''Sais-tu que nous avons le pouvoir de te mettre en prison, de t'envoyer au camp de concentration, de te tuer ?
''Envoyez-moi où vous voudrez, mon chef, je n'ai pas peur de la mort. Pour moi, la mort est l'acquisition de la vie éternelle. Je sais où je vais,'' répondis-je !
''Donne-moi ton pistolet, '' cria le chef.
Je sortis le pistolet et le mis sur la table. J'ajoutais : ''Je remercie le Seigneur puisque l'heure est venue de remettre cette arme rouillée''. Ils enrageaient. Ils me montraient mes galons et me disaient : ''Ces épaulettes, qui te les a données ?'' Je les pris avec les deux mains pour les déchirer. Un des Miliciens me mit le pistolet sur la poitrine en me disant : ''Si je tire, ton Dieu viendra-t-Il t'aider ? À l'instant, je vis sur ma poitrine la main du Seigneur Jésus-Christ qui me disait : ''N'aie pas peur, JEAN, ma main est forte, cuirassée et la balle retournera en lui''.
Je rétorquais alors au milicien ; '' Tire, mais la balle retournera contre toi ''. Il retira le pistolet et dit :
''Je trouverai de faux témoins contre toi et je te mettrai en prison. Je lui répondis : ‘‘Si c'est la Volonté de Dieu, tu me mettras en prison, mais si ce n'est pas, tu en seras incapable !''
Quand ils virent que rien ne pouvait me dissuader, ils me congédièrent par télégramme.
(Peu de temps après cela, on découvrit que ce camarade avait commis beaucoup de vols. Il fut condamné à 8 ans de prison pour choses viles !)

Toutes les paroles que Dieu m'avait dites étaient vraies, authentiques. Qu'II soit loué le Seigneur Jésus-Christ qui m'a donné la force de témoigner de Son Nom devant mes supérieurs qui mènent une guerre acharnée contre Lui ; et de leur dire qu'Il est vivant, qu'Il existe. Vous qui lisez mon témoignage, si vous ne le connaissez pas, cherchez-Le afin de Le trouver et qu'Il devienne votre Ami personnel.
                                                                                                         Jean Babulev


Du docteur DAVID M... Médecin psychiatre qui vous communique ce bouleversant témoignage

      ''Ce témoignage du Frère JEAN BABULEV a amené un grand nombre de personnes à la connaissance de Jésus-Christ ; il a fortifié la foi de beaucoup. Ces apparitions quant au Paradis ou à l'Enfer ne sont pas des illusions. Je connais depuis longtemps la personne qui rend ce témoignage. J.B. n'est atteint d'aucune maladie psychique. Il est un homme équilibré au sein de sa famille. Tous sont consacrés à Dieu, témoignent et vivent une vie exemplaire.
        Nous rencontrons ces phénomènes spirituels dans la Parole de Dieu. 
 Médite 2 Corinthiens 12. 1-4
       Dans les pays totalitaires, quand le pouvoir tente de bâillonner l'Église et d'éteindre le flambeau de l’Évangile ; quand le peuple des chrétiens est dispersé et que les serviteurs de Dieu sont traqués, le Seigneur se révèle souvent par des manifestations surnaturelles semblables à ce témoignage. Les exemples sont nombreux et divers. C'est ainsi que des Vies changent d'orientation ; que des Consciences sont bouleversées de fond en comble ; que des malades pour lesquels la science médicale était impuissante... sont miraculés !
Des médecins, athées le confessent dans le secret. Et toi, quelle position prends-tu ?

                                                                                   Jean Schwab